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| Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] | |
| Aidan K. Abbott | ۞ Psych Psychologie
Neurotic psychologist simply trying to help.
"The foundation of all mental illness is the unwillingness to experience legitimate suffering."
(sisi, je suis modo) Surnom : Aka, Ai', Dan. Âge du Perso : 25 ans. Orientation : Bisexuel Autorisé à sortir : Accordée
Teen's : 4064
Age : 30 Messages : 25 Disponibilité : 5/10
MEDAILLES :
SECTES :
| | Sujet: Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] Mar 19 Nov 2013 - 2:42 | |
| • Nom & Prénom : Aidan Keazy Abbott • Surnom : Aka, Ai’, mais ici personne n’est assez intime avec lui pour l’appeler comme ça.
• Age : 25 ans • Date de Naissance : vingt septembre 1988 • Lieu de Naissance : London Bridge Hospital, à Londres, Angleterre
• Sexe : Aux dernières nouvelles, masculin. • Orientation Sexuelle : S’il faut choisir on peut dire pansexuel, mais très franchement il serait plutôt Sapiosexuel. Même si depuis qu’il est ici sa vie sexuelle se résume à lire les Ecrits Pornographiques de Boris Vian. Depuis quelques années, il s’affiche plutôt avec des femmes, puisqu’il a plus d’affinités avec la gent féminine, préférant garder la compagnie masculine pour des occasions rares et de courte durée.
• Profession : Psychologues, bientôt docteur en psychologie. • Qualifications & Etudes : Il a étudié la psychologie à la London School of Human Sciences, a obtenu une équivalence à Cambridge grâce à ses notes. Il est en pleine rédaction d’une thèse qu’il doit soutenir courant de l’année prochaine et qui couronnera plusieurs années d’efforts passionnés, et dont l’intitulé est « Délinquance juvénile et pathologies mentales : en quoi l’un influence-t-il l’autre et vice versa ? »
• Présent depuis : Un mois, un mois et demi peut être. Et il a déjà eu le temps de remplir son bureau et sa chambre de trucs et de machins qui prennent déjà la poussière, d'apprendre à connaître un peu les résidents et le personnel, de se faire son opinion sur les lieux et de prendre ses marques (et surtout de ranger ses bouteilles bien à l'abri).
Aidan est quelqu’un de grand, voire même de très grand. Il doit mesurer environ 6 feet 2 inches, ce qui donne environ 188cm en système métrique. De plus, la manière dont il s’habille a tendance à l’allonger encore, si bien qu’il peut parfois sembler immense, pour peu qu’on ne soit qu’un peu plus petit que lui. Cependant, il peut replier son corps d’insecte, parfois, tant et si bien qu’on ne peut pas dire sur le moment s’il est vraiment si grand que ça. Son poids, quant à lui, est dans ce qu’on pourrait appeler la moyenne basse. Il n’est pas en sous-poids, mais est très, très loin d’être musculeux. Si quelques lignes se dessinent sur son torse ou ses bras, c’est surtout parce qu’il est très sec. En effet, sans chercher à se muscler, il mange assez sainement, probablement pour tenter de pallier à ses excès de tabac et d’alcool. Il a cependant un dos plutôt large, marqué de trois grains de beauté : un juste au dessus des reins, l’autre à gauche de la colonne vertébrale, juste en dessous de l’omoplate, et un dernier à la base du cou, celui-ci en relief. Il se dit régulièrement que c’est sans doute cancéreux et qu’il faudra penser à le faire enlever, cependant il l’aime bien et a tendance à le tripoter lorsqu’il réfléchit ou est en porte-à-faux. Ce qui semble le plus représentatif de sa minceur, c’est son cou, assez long mais surtout très fin pour un homme. Ah, il faut bien évidemment parler aussi de ses cheveux. Ils sont certainement la première chose qu’on remarque chez lui. C’est une masse châtain avec un volume extraordinaire qui semble tenir sur sa tête par on ne sait quel tour de magie. La plupart du temps, ils sont à peu près peignés et équilibrés sur le côté droit (et on se demande comment il tient sa tête avec son cou si mince, après avoir remarqué ça), et la mèche qui est le plus sur le devant vient régulièrement lui balayer le visage, et parfois même le gêne en se mettant devant ses yeux, comme exprès pour l’embarrasser. Les yeux en question sont vert-marron, pas très grand même s’ils semblent avoir une capacité infinie à s’ouvrir lorsque le jeune homme est surpris ou intéressé. Ils sont très profondément enfoncés dans leurs orbites, sous une arcade sourcilière imposante sur laquelle reposent des sourcils extrêmement peu fournis, à tel point qu’ils sont presque invisibles. Bien que difficilement observables, les yeux d’Aidan sont très expressifs et ils trahissent souvent ses sentiments malgré le self-control dont il tente de faire preuve. Sous emprise de l’alcool, ils deviennent très brillants et un peu rouge, et il lui est donc généralement impossible de cacher son ébriété. Le fait de s’être abimé les rétines en passant de longues heures dans des bibliothèques sombres à lire des bouquins denses et aux petits caractères serrés l’oblige, dans certaines occasions, à porter des lunettes, aux verres assez larges, ronds, et aux montures en écaille qui ornent la totalité de l’accessoire. Elles reposent sur un nez aux larges narines un peu épatées, mais néanmoins d’une longueur plus que respectable. Une bouche assez boudeuse et néanmoins très expressive elle aussi rappelle son front buté, avec des lèvres fines et plutôt pâles, comme la totalité de sa carnation. Son menton un peu avancé qui termine une mâchoire imposante et entre le carré et le triangle finit le tableau, ce qui nous donne un physique atypique, presque dérangeant, mais dont l’assemblage de parties ne semblant pas du tout faites pour aller ensemble a été plutôt heureux, puisque, si on ne peut pas objectivement dire qu’Aidan est un canon de beauté, il est difficile de ne pas remarquer son charme, particulièrement lorsqu’il prend certaines expressions qui semblent modifier totalement son physique.
• Qualités : Tout d’abord, on ne peut nier que le futur Docteur est quelqu’un de très compréhensif, ce qui l’a poussé en partie à faire les études qu’il a fait (et fait encore). Il est également studieux, passionné par ce qu’il fait, et altruiste. Il a développé sa persévérance à force d’obstacles à franchir, et en serait presque devenu opiniâtre. Passer des heures dans une bibliothèque ou sur internet à faire des recherches sur quelque chose ou quelqu’un simplement pour satisfaire sa curiosité maladive. C’est aussi quelqu’un de très ouvert et qui a la capacité très utile dans son métier de ne pas juger les gens peu importe ce qu’ils lui racontent. Il est aussi ouvert en termes de passe-temps : il peut aussi bien aller passer toute une journée dans un musée ou une bibliothèque que dans une cuisine à expérimenter de nouvelles choses, mais aussi à ne rien faire d’autre que fumer cigarette sur cigarette avec un brandy à la main en écoutant du Chopin ou du Beethoven. On pourrait également considérer son charisme et son calme comme des qualités, bien qu’il perde totalement ces capacités dans certains cas. • Défauts : En effet, parmi ses nombreux défauts on trouve un penchant assez exacerbé pour l’alcool, de préférence fort, de bonne qualité et surtout en grande quantité. Il est rare de le voir sans un verre de gin, de brandy ou de scotch hors de ses heures de consultation (durant lesquelles il boit du thé en quantité industrielle). Si cela peut, au début, le rendre jovial et bien plus agréable que d’habitude et en faire un charmant compagnon de beuverie, au bout d’un certain nombre de verres il a l’alcool triste et est assez difficile à gérer, dès lors. Il a également une tendance au cynisme, sans doute pour tenter de se défendre contre un monde qui lui paraît bien trop intense pour lui, et pour cacher son empathie avec ses patients. Il peut donc, au premier abord, paraître froid et désagréable, même s’il laisse souvent échapper des preuves de sa sensibilité. Il est également très méfiant en ce qui concerne ses relations, qu’elles soient amicales ou amoureuses : il est assez misanthrope et asocial, et a donc du mal à se faire de véritables amis. Ceux-ci peuvent avoir la vie dure, entre la fumée de cigarette qui flotte autour de lui dès qu’il est dans un endroit où fumer est autorisé, ses crises de déprime alcoolisées. Mais ils doivent aussi, parfois, faire face à une véritable tête de mule à qui il est impossible de faire changer d’avis une fois qu’il a une idée ou un plan en tête, ceux-ci généralement complètement farfelus et/ou sans intérêt et/ou dangereux. En bref, il est assez impulsif et peut faire parfois preuve d’une immaturité sans bornes, et agir sans réfléchir. • Centres d'intérêts : Aidan est végétarien, ou plutôt flexitarien (c’est à dire qu’il lui arrive parfois, mais rarement, de manger de la viande, et qu’il mange aussi du poisson) et adore expérimenter de nouvelles recettes durant son temps libre. Il adore aussi lire toute sorte de littérature, depuis les classiques de toutes origines aux livres religieux en passant par les polars, les romans fantastiques, la science fiction, et les romans philosophiques. Il s’intéresse aussi à la peinture et à toutes les formes d’art en général, amoncelant des livres, catalogues d’expositions, vinyles, vieux Cds, Dvds etc à n’en plus finir, et amassant une culture assez impressionnante. Son bureau ainsi que sa chambre sont des lieux empoussiérés où il est difficile de se déplacer à son aise sans faire tomber une pile de livres ou de marcher sur un vieux catalogue d’exposition allemand des années 20. Il a aussi beaucoup de goût pour les boissons alcoolisées, les cigarettes et les sorties dans les bars dont Londres regorge. A ce propos, c’est un véritable patriote : s’il ne rejette pas les autres, il est en revanche fou amoureux de son pays, de sa pluie, de ses températures basses et de son thé, et n’a donc, naturellement, fait aucun effort pour se débarrasser de son accent anglais, voire même Londonien.
• Aime : L’angleterre, le gin, le brandy, le thé, l’odeur des vieux livres, l’odeur de la terre après la pluie (petrichor en anglais), les nœuds papillons, les vestes en tweed, les bretelles, l’odeur de la menthe fraîche, fumer, les animaux, les orages violents, Boris Vian, parler Français, le Victorian Sandwich, le Carrot Cake, les vieux fauteuils en velour, les pulls à motifs de flocons, les films noirs, la science fiction. • N’aime pas : Le climat trop chaud de la Californie, la musique commerciale, les pubs pour la lessive, quand ses vêtements grattent, perdre ses lunettes, les endroits trop bien rangés, le bruit que font deux assiettes quand on les cogne l’une contre l’autre, la majorité de la nourriture américaine, la junk food, qu’on l’empêche de fumer alors qu’il en a envie.
• Goûts Musicaux : Aidan a commencé l’élaboration de sa culture musicale avec les classiques : ses deux préférés ont toujours été Chopin et Beethoven, qui transmettent selon lui des émotions d’une profondeur extraordinaire. Il adore également Satie, qui fait partie de ses amours de jeunesse. Autrement, il aime à peu près tous les styles de musique, du chillwave au rock-punk, ayant une légère préférence pour l’indie, le folk ainsi que l’alternatif. Il a plus de mal, cependant, avec le métal, dont il considère qu’il n’a pas tous les outils culturels pour le comprendre. Il n’a en revanche rien contre le rap ou le dubstep, qu’il écoute parfois, selon son humeur. • Goûts Culinaires : Comme mentionné plus haut, Aidan est flexitarien, ce qui signifie qu’il ne mange en général pas de viande, mais n’a pas abandonné le poisson, et surtout, qu’il lui arrive de faire une exception à la règle, que ce soit en société ou par pure envie personnelle. Ainsi, en général, il se contente de substituts ou d’autres sources de protéines animales, ce qui ne le dérange pas outre mesure puisqu’il adore les légumes, les légumineuses, les graines et les féculents. Il a des goûts culinaires très anglais : il lui est difficile de se passer de sauce à la menthe, de jelly, de ginger ale, mais si ce n’est ces quelques addictions, il aime expérimenter des nouvelles choses, et goûter aux cuisines qui lui sont étrangères ou lui paraissent exotiques. • Goûts Vestimentaires : Cela va paraître exagérément caricatural des anglais, mais on peut dire que son style vestimentaire a quelque chose de très dandy. En effet, la majorité du temps, du moins lorsqu’il a des consultations, il porte une chemise et un nœud papillon assortis d’une veste en tweed ou en laine tissée arrivant aux hanches ou un peu plus longue, légèrement cintrée, de bretelles ou d’un gilet, d’un pantalon cigarette noir ou gis accompagné de bottines à lacets en cuir noir ou marron. En dehors de ces jours ou heures là, il se laisse parfois aller à porter des jeans avec des baskets (toujours des Converse ou des Fred Perry) et des polos ou t-shirts à motifs modernes, typiquement anglais ou ironiques : imprimés d’animaux comme des canards, des chats ou des cerfs, flocons, pois de toutes les couleurs, ou à l’effigie de groupes qu’il aime particulièrement : Queen, les Beatles, Pink Floyd, les Ramones, the XX, Alt-J, etc, même si son t-shirt préféré reste indubitablement celui à l’effigie de Scott Fitzgerald. Il possède également une impressionnante collection de jumpers à manches longues et cols tunisiens, par dessus lesquels, lorsque le temps l’exige, il porte des pulls en laine à sa taille ou un petit peu trop grand, à motifs de flocons, astèques, ou comme ceux qui sont à la mode depuis quelques temps, à motifs géométriques ou de Noël, sur l’intégralité du vêtement ou sur le pull. En termes de manteaux, il porte, soit, lorsqu’il est en consultation, une veste en tweed plus longue et une écharpe en laine, ou, lorsqu’il est dans un cadre plus casual, des duffle coats à capuche ou ces manteaux plus larges, généralement en toile doublée de fausse fourrure ou de laine, à capuche.
Le jour où je suis né, il pleuvait. Je suis venu au monde alors même que l’averse commençait. Mon père est un flic Londonien, de la criminelle, et bossait (et bosse encore) sur les affaires les plus sordides de Londres, de préférence dans les bas quartiers. Il n’est pas un excellent policier, mais il met tout son cœur dans ce qu’il fait, c’est certain. Ma mère est propriétaire de deux salons d’esthétique, et ils s’étaient rencontrés quand mon père travaillait sur l’un de ses premières affaires, alors qu’ils avaient tous les deux à peu près mon âge. Ils m’ont eu trois ans plus tard et je dois avouer que je commence à songer qu’il va bientôt être trop tard pour moi. Puis, je me rappelle que je ne crois pas à toutes ces conneries de femme de votre vie et je hausse les épaules en me servant un verre de vieux scotch.
Issus de millieux moyens, mes parents firent pourtant tout leur possible pour m’offrir toute la culture qu’ils pouvaient : ils m’emmenaient au moins une fois par mois dans différents musées de la capitale, au cinéma et me prirent, aussitôt que je sus lire, une carte dans la bibliothèque la plus proche de chez nous à Bexley. J’eus une enfance heureuse, sans être un de ces mioches gâtés pourris, et, en grandissant, mis un point d’honneur à rendre mes parents fiers en ayant les meilleurs résultats possibles. Vers mes dix ans, je commençais à faire de nombreuses crises d’angoisse, aussi le psychologue scolaire conseilla à mes parents de m’emmener voir un psy régulièrement, ce qu’ils firent. Cette année là nous ne partîmes même pas à Cornouailles pour les congés estivaux de mon père. Cependant, on me diagnostiqua « zèbre », à savoir enfant précoce, avec un syndrome du monde intense plutôt développé. Mais j’avais aussi trouvé ce que je voulais faire dans la vie. Avec mon propre esprit, j’avais découvert toutes les circonvolutions de la pensée humaine, et je n’avais plus qu’une envie : en apprendre plus.
Au lycée, je connus ma première histoire d’amour. Elle s’appelait Lisa et venait de Stoke-on-Trent, et c’était, apparemment, mon côté timide et « mystérieux » qui lui avait plu. Nous sommes restés ensemble cinq mois, je suis même allé chez elle dans le Staffordshire pour les vacances de printemps, avant de nous séparer. Ce fut d’un commun accord bien qu’elle initie la rupture, sans doute exaspérée par ce qui l’avait d’abord attirée chez moi, à savoir mon questionnement existentiel permanent, mes angoisses et mon caractère le plus souvent sombre et introverti. Je sortais du lycée avec les notes maximum, mais, n’ayant aucune envie de faire payer mes parents plus que de raison, je décidais d’aller, plutôt qu’à Harvard ou Cambridge, près de chez moi, à la London School of Human Sciences, et de prendre un job dans un foyer pour jeunes délinquants. Je n’avais pas encore l’idée de ma thèse alors, mais elle germait doucement dans mon esprit.
C’est à l’université que je découvris que les filles n’étaient pas les seules à être intéressantes. Certes elles me fascinaient toujours et davantage que jamais, mais il m’arriva quelquefois de dormir chez des garçons, et cela demeurait rarement chaste. Mais je réservais ce genre d’évènements à des nuits sporadiques et généralement uniques. Lors de ma deuxième année de licence, mon père fut muté à Leeds et il déménagea avec ma mère. Je me trouvais donc un appartement, dans lequel différentes petites amies se succédèrent, restant rarement plus de quelques mois et séparées par deux ou trois mois en général, leurs affaires oubliées s’accumulant chez moi en même temps que les vinyles, les livres, les cartes, les films. Ce qui m’amena finalement jusqu’à la fin de mon master, et le moment où je devais décider ce que je ferais de ma vie. Je pouvais parfaitement m’établir, en profession libérale, ou décider de me mettre en service dans un centre social. Mais la question était : devais-je m’engager dans une soutenance de thèse, ou non ? Je décidais de le faire et me mettais cependant en quête d’un terrain fertile pour effectuer mes recherches tout en me rendant utile. De préférence à l’étranger, dans un endroit où je resterais sans doute seulement pendant les deux ans de ma soutenance de thèse. Je cherchais d’abord en France, ma maîtrise du langage me le permettant, mais, au détour d’une recherche Google, je tombais sur le site de l’institut Teenagers, en Californie. Le lieu semblait passionnant ainsi que ses pensionnaires, et je me disais que par-dessus tout, un peu de soleil ne ferait pas de mal à mon teint blafard de britannique. Sur ce dernier point, et peut être sur les deux autres, je me trompais. Mais il n’était plus temps de faire marche arrière, me répétais-je, en garant la voiture de location pleine à ras bord d’objets divers devant les portes de l’institut.
• Mot de Passe pour la Validation : A.K.A. • Comment avez vous découvert le forum : Coucou c’est moi Moon je suis là depuis fort longtemps. • Commentaire : L'histoire est assez synthétisée, je ne l'ai pas faite trop longue pour avoir les moyens de la compléter en RP. Sinon ben je suis contente de revenir ici.
Dernière édition par Aidan K. Abbott le Lun 25 Nov 2013 - 15:45, édité 1 fois |
| Rose Noctalis | o Gardien de Nuit
Surnom : Rosy, l'As de Trèfle Âge du Perso : 21 ans Orientation : Bisexuelle Admission : Avant ou en tant que membre du personnel 8D ? Autorisé à sortir : Accordée
Teen's : 4660
Age : 28 Messages : 266 Jeux +16 : Oui Disponibilité : Variable
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Casier Judiciaire Avertissement: Aucun Nombre d'Arrestations: 13 Délits Commis: | | Sujet: Re: Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] Mar 19 Nov 2013 - 20:52 | |
| Rebienvenue !
Docteur Who *-* Question HS. Pourquoi tu reprends pas Moon xD ? |
| Isaac F. Pitkeathley | ♦ Secrétaire
Je suis Administrateen les enfants, mais mon rang image ne peut m'être attribué pour le moment, faudra attendre le new design !
Surnom : Is' Âge du Perso : 24 ans Orientation : Bisexuel Autorisé à sortir : Accordée
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Casier Judiciaire Avertissement: Aucun Nombre d'Arrestations: Aucun Délits Commis: | | Sujet: Re: Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] Mar 19 Nov 2013 - 21:05 | |
| Moooooooon ♥ Re-bienvenue avec ce nouveau personnage alors :3
Après lecture, pour moi, je ne trouve rien à redire ! Je pré-valide !
Edit : J'oubliais ! En attendant le passage de Kyllian pour la validation, passe lire l'intrigue sur les militaires si ce n'est pas déjà fait (mais je pense que si :3) ♥ |
| Kyllian Andrews | ☼ Administrateen © Snide Bitch ♪
Prince Kelly.ian ~ Like A Bitch.
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Casier Judiciaire Avertissement: Aucun Nombre d'Arrestations: Quatre. Délits Commis: | | Sujet: Re: Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] Mar 19 Nov 2013 - 23:00 | |
| En espérant te voir de nouveau sur le forum et en rp.
Je te souhaite la re-bienvenue sur le forum !
Accès +16 j'imagine :p ?
Je valide ta fiche, mais je m'occuperai de tes rangs plus tard, promis ~ ! |
| Aidan K. Abbott | ۞ Psych Psychologie
Neurotic psychologist simply trying to help.
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| | Sujet: Re: Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] Mer 20 Nov 2013 - 1:07 | |
| Merci bien ! On fait ça, pas de problème. Et, oui, accès +16 (huhuhu tu me connais si bien) J'imagine que par rang tu veux dire que tu me mets modo sur ce compte et plus celui de Moon ? auquel cas, je me répète, pas de problème ! J'essaierai d'être plus active à présent, mais ça ne devrait pas poser problème. Reste à placer Andreas à l'adoption, et classer Moon, mais si c'est possible j'aimerais bien qu'on ne détruise pas ces comptes pour l'instant, au moins pas celui de Moon. voilà voilà, je pense faire la fiche d'adoption d'andreas sous peu : )
Edit : Rose, si je ne reprends pas Moon c'est parce que j'ai évolué, et beaucoup trop pour qu'elle me corresponde encore. J'ai beaucoup d'affection pour ce personnage et il n'est pas impossible que je la reprenne quelquefois, mais mon style d'écriture et ma manière de gérer mes personnages ont trop changé pour que je puisse l'y adapter. voilà voilà : ) |
| | Sujet: Re: Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] | |
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| | Aidan K. Abbott ► Neurosis only attaches itself on fertile ground where it can flourish. [fini] | |
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