— Eyh ! Lâchez-moi !
— Ça, ma grande, c’est pas dans nos intentions.
Une cellule, en Californie. Une jeune fille, dans la cellule. Dix-huit ans au plus, seize au moins. Après une incarcération de deux jours qui avait laissé les gardiens aussi épuisés que la gardée, on venait enfin la chercher, au grand soulagement des policiers en faction dans la prison.
Cependant, il semblerait que la détenue soit loin d’accepter de se laisser emmener au tribunal par ces agents. Elle se débattait de toutes ses forces (mais comment pouvait-il lui en rester autant après deux jours et une nuit à taper contre les barreaux et à hurler ?) et les hommes peu entraînés à faire face à ce genre de comportement peinaient terriblement à l’extraire de sa cellule bien qu’ils soient à trois contre une.
Finalement un policier en eu assez.
Il cessa le combat se recula, laissa ses deux congénères occuper la gamine.
Occuper l’attention de la gamine.
Il leva le bras.
Le rabattit brusquement.
Alice, sans conscience, s'abattît contre le sol de la prison.

Les deux policiers regardèrent celui qui avait assommé la fille quelques secondes, puis semblèrent se reprendre et la portèrent jusqu’à leur fourgon.
Alice ne reprit conscience qu’arrivée au tribunal.
Les chaînes qu’elle portait ne semblaient pas l’intimider le moins du monde, et à peine eut-elle retrouvé ses forces et ses sens qu’elle se débattait de nouveaux contre ses geôliers en la personne des deux policiers qui se tenaient derrière elle.

Au bout d’une heure de lutte, d’injections de sédatifs, de persuasion, d’hypnoses et de méthodes désespérées pour lui faire conserver son calme, il fut admis que la volonté d’Alice était plus forte que tous les traitements qu’ils parvenaient à tenter sur elle, et pour la première fois sans doute dans l’histoire de la Californie, sinon du monde, le procès se déroula dans témoin.
Le marteau du juge s’abat sur la table.

— Silence, mesdames et messieurs, silence.

Le juge parcourut l’assemblée du regard puis repris :

— En respect de la procédure inhabituelle qui est tenue…

Un frisson d'excitation parcourut le dos du juge à la pensée qu’il allait certainement entrer dans les annales pour avoir tenu un procès sans accusé.

— …Portrait sera fait de l’accusée, afin que vous, jurés, puissiez vous faire une idée plus précise de celle-ci que la furie que vous avez vu débarquer ici.

Quelques rires naquirent, puis moururent, rapidement.
Le juge rassembla quelques feuilles sur son bureau, puis en entama la lecture :

— Alice Wall, née le 29 février 1992, en Californie, lieu exact inconnu. Première infraction commise le 12 décembre 2000, alors qu’elle avait 8 ans : coups et blessures sur la personne de Jack Deller, 10 ans. Seconde infraction répertoriée le 30 mars 2003 (11 ans) : meurtre sur la personne de Marc Lewwy, 16 ans. Légitime défense, il tentait de la violer…

Pas la moindre inflexion dans la voix du juge, il continuait son monologue d’une voix morne, atone, en parcourant d’un œil vif les feuilles qu’il avait devant lui. Indifférent au frisson de la foule, il continue :

— Troisième et dernière infraction : 1er décembre 2010, elle a tué ses deux parents. Sans doute ne voulaient-ils pas lui souhaiter bon anniversaire.

La boutade, placée toujours sans aucune intonation, tomba complètement à plat tant le regard du juge était dénué de joie.

— C’est pourquoi nous sommes ici, mesdames et messieurs… Tenter de découvrir si cette femme est coupable ou non du meurtre de ses parents.
— Un instant !

Le juge soupira puis regarda l’avocat de la défense qui venait de s’exprimer avec force. Il s’agissait d’un jeune homme qui faisait de talentueux débuts comme avocat qui avait été payé on ne sais comment par cette Alice Wall pour assurer sa défense. Il paraîtrait même qu’il avait pris la défense de cette fille gratuitement.
D’un geste, le juge lui fit comprendre qu’il pouvait continuer.

— Vous avez dépeint l’aspect judiciaire de ma cliente, avec beaucoup de brio je dois l’avouer…

La lueur d’amusement qui dansait dans les yeux du jeune homme n’échappa à personne.

— …Mais vous avez omis la description physique et mentale qui s’impose pour que les jurés savent bien à qui ils ont affaire.
— En effet, maître, et puisque vous le rappelez, je vous invite à dépeindre vous-même votre cliente.

Le juge pensait ainsi mettre l’avocat mal à l’aise, le surprendre, peut-être même le pousser à faire une erreur. Il ignorait qu’il venait d’offrir à son interlocuteur exactement ce qu’il voulait.
Et qu’il prévoyait.

— Merci. Mesdames et messieurs les jurés, je ne serais pas long.

Il s’éclaircit la gorge, puis :

— Alice Wall a 17 ans, mesure un mètre soixante-quinze pour cinquante kilos, silhouette fine, mais plutôt musclée…

Si ses paroles auraient pu prêter au rire, son regard, lui, ne riais pas.

— …Elle avait les cheveux noirs mais ce les ai volontairement décolorés pour qu’ils deviennent gris. Les yeux bleus, la peau rosée sans bronzage. Des vêtements simples. Tout le temps.

Après avoir scruté la salle et les jurés, il reprit :

— Voilà pour ce qui est de la description physique. Pour ce qui est de la description mentale, à présent.
L’avocat chercha ses mots un instant, puis continua :

— Cette fille à un sens de la liberté très particulier. Elle considère que son droit le plus strict est d’être libre, et est totalement révulsée à l’idée que quiconque puisse l’en priver. Ceci a déjà expliqué ses deux précédentes confrontations avec la police et explique cette dernière. En effet, ma cliente ne peux supporter l’incarcération, et ne peux non plus supporter qu’on lui impose quoi que ce soit. Cela explique facilement sa réaction à l’arrivée au tribunal. Sachant qu’elle était assommée pendant le trajet.

Son regard alla scruter les trois policiers qui l’avait emmenée sans toutefois que l’intonation de sa voix change le moins du monde.
Dans la salle les trois policiers eurent soudain très chaud et se dandinèrent sur leurs pieds.

— Ses deux précédentes condamnations étaient minimes aussi les supporta-t-elle. De plus elle était alors trop jeune pour opposer la résistance farouche à laquelle vous avez assisté. En effet, en plus d’un sens de la liberté particulier, ma cliente possède une volonté extraordinaire qui semble parfois lui permettre d’obnubiler les limites de la résistance communément admises. En effet vous avez pu le remarquer vous-même, elle résiste au sédatifs mieux que n’importe qui et une heure n’a pas suffit à l’éreinter.
— Êtes-vous en train de nous dire que cette fille souffre d’une maladie mentale, maître ?
— Oui.

La réponse, concise au possible, laissa planer un lourd silence dans le tribunal avant qu’un juré intervienne.

— Dites-moi, cette jeune fille fume, n’est-ce pas ?
— En effet.
— Comment pardonne-t-elle l’addiction à la cigarette si elle perçois aussi mal une quelconque atteinte à sa liberté ?
— Elle ne subit pas d’addiction.
— Hein ?
— Cette jeune femme est capable, à n’importe quel moment, d’arrêter de fumer.
— Pourquoi ne cesse-t-elle pas, alors ?
— Pour la même raison qu’elle a commencé : s’opposer à ses parents.
— Vous reconnaissez donc qu’elle et ses parents n’étaient pas en bons termes !
— Je ne l’ai jamais nié.

Le procès se poursuivit, et de par l’absence de témoins, ne dura pas très longtemps. Au bout de deux heures, les jurés revenaient dans la salle.

— Nous avons débattu et, en notre âme et conscience, déclaré Mme. Wall coupable des charges retenues contre elle. Sans circonstances atténuantes.

Le juge conserva le silence. Il réfléchissait à une sentence. Il était convaincu de la culpabilité de la gamine (qui ne l’était pas ? Même son avocat l’était !), mais il pensait qu’elle méritait des circonstances atténuantes. Il ne pouvait pas s’opposer à la décision des jurés, mais il pouvait adoucir un peu la condamnation, un peu, pas beaucoup.
Comment faire ?
Un policier entra dans le tribunal et vint jusqu’à lui pour lui chuchoter un mot à l’oreille.
Un seul.
Teenagers.
Le juge se souvint instantanément de la description qu’on lui avait faite de l’institut, et puisque cette Alice devait de toute manière enfermée, ce devait être ce qui se rapprochait le plus de la liberté, et tant qu’elle ne s’estimerait pas lésée dans sa liberté, cette fille ne représenterait pas de danger pour ses collègues… Il faudrait par contre qu’il écrive une lettre au directeur de l’établissement pour l’avertir qu’Alice devait à tout prix bénéficier d’une chambre, si possible isolée. Et puis si elle était bien aussi taciturne qu’on le disait, il y avait peu de risque qu’elle se hasarde à fréquenter d’autres résidents, ainsi le risque était minime…

Autour de lui la salle s’impatientait.
Finalement, lorsqu’il tapa du marteau sur la table, sa décision était prise.

Alice, assommée de nouveau, était à présent ballottée dans un fourgon.
Le même fourgon qui l’avait amenée au tribunal.
Un fourgon qui l’emmenait sur sa demeure de - au moins - ces cinq prochaines années.
Teenagers.

► État Civil

• Nom & Prénom : Alice Wall.
• Surnom : N/A

• Age : 17 ans.
• Date de Naissance : 29 février 1992.
• Lieu de Naissance : Californie (pas plus de renseignements disponibles ; supposons comté de Lake).
• Nationalité : Américaine.

• Sexe : Féminin.
• Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.

► Casier Judiciaire

• Nombre d'arrestations : 3
• Délits commis : Coups et blessures ; homicide volontaire dans un cadre de légitime défense ; homicide volontaire de ses deux parents.

► L'institut Teenagers

• Présent depuis : N/A

• Chambre ou Dortoir : Chambre.

• Intégré à cause : Judiciaire.

► Physique

• Taille : Alice mesure un mètre soixante-quinze. Elle est donc de taille moyenne, un peu grande pour une jeune fille. Elle a une silhouette élancée caractéristique d’un exercice physique quotidien et d’une grande souplesse.
• Poids : En respect de ce que je viens de dire précédemment, on se doute qu’Alice n’est pas lourde. Environ cinquante kilos, à deux kilos près. Bien qu’elle n’est pas horreur de manger, elle a toujours eu naturellement une alimentation équilibrée et l’exercice physique l’a toujours préservée de l’obésité.
• Ses cheveux : Les cheveux d’Alice étaient naturellement noirs. Alice cependant ne les aimait pas. Elle décida de les déteindre à l’âge de dix ans. La méthode efficace utilisée lui dispense de réitérer le traitement trop souvent… Shampooing à l’alcool à 90°. La teinte grise qui en résulte dure environ un mois avant qu’elle ne doive recommencer.
Alice ne coiffe pas souvent ses cheveux qui lui tombent à la taille naturellement lisses.
• Ses yeux : Les yeux d’Alice sont d’un bleu froid qui se fond entre le gris de ses cheveux et le rosé de sa peau. Ils expriment parfaitement ce qu’elle ressent, ce qui se résume le plus souvent à osciller entre le mépris, la froideur et l’indifférence. Cependant, ils ne sont pas moins expressifs quand aux autres sentiments, contrairement à Alice.
• Autres : N/A. À part qu’une cigarette est le plus souvent accrochée à ses lèvres.

► Caractère

• Qualités : Alice n’a pas beaucoup de qualité de société. Elle est socialement très peu douée étant donné que ses relations se limitent à ses parents qu’elle a tués. En revanche, elle ne perd jamais (ou très rarement) son sang-froid. Alice dispose également d’une volonté qui outrepasse les limites du raisonnable.
• Défauts : Les défauts d’Alice sont tout de même plus faciles à recenser : Elle est taciturne ; terriblement asociale ; violente pour qui empiète sur sa liberté. C’est là son principal défaut. Alice à un sens de la liberté très développé et quiconque tente de lui ordonner quoi que ce soit, de la contraindre ou approchant se verrait rappeler (non sans la dose de méchanceté sine qua non) qu’elle est seule maîtresse d’elle-même.
• Centres d'intérêts : Les principaux centres d’intérêts d’Alice se résument à une chose : bouger.
Alice aime tout ce qui implique de devoir mouvoir son corps, si possible dépasser ses limites. La course, l’escalade, le combat… En revanche, elle n’aime ni lire, ni jouer, ni écrire, ni dessiner. La seule chose qui, outre le combat, l’escalade, la course et affinités c’est de rester debout, loin si possible, et fumer en regardant tranquillement.

Affinités Particulières

• Aime/n'Aime pas : Alice aime bouger, comme je l'ai dit plus tôt ; c'est son principal loisir avec l'immobilité. Elle aime également le silence, ce qui entraîne qu'elle aime pas ou peu la musique. De plus elle n'aime pas la promiscuité d'un trop nombre de personne (bien qu'elle ne soit pas agoraphobe). Elle n'aime pas non plus les crâneurs, et les faibles.

• Goûts Musicaux : Alice n’écoute pas de musique. Elle n’a jamais eu un baladeur de sa vie, n’est jamais allé à un concert, et n’a pas d’amis qui lui feraient partager leurs morceaux. Elle n’a, en outre, aucune envie d’écouter de musique et n’a jamais mis les pieds dans un magasin autre qu’un supermarché.
• Goûts Culinaires : Alice n’aime pas particulièrement un aliment. Elle n’aime pas aimer d’aliment et ne souhaite avoir aucune préférence. Sa volonté est telle qu’elle réussit avec la même facilité de manger ce qu’elle aime et ce qu’elle n’aime pas. Cependant malgré qu’elle ne l’avouera jamais (à qui, de toute manière, l’avouerai-t-elle ?) elle a une nette préférence pour la nourriture chinoise et indienne.
• Goûts Vestimentaires : La seconde chose dont Alice à horreur, juste après une violation de ce qu’elle estime être sa liberté, c’est la fausseté des adolescents de son âge. La compétition du dernier vêtement et du dernier portable à le don de lui donner des envies de meurtre. Alice, dans son habillage, préfère des vêtements simples, discrets… et pratiques. Elle privilégie les teintes noires ou, plus souvent, d’un gris semblable à celui de ses cheveux. Tee-shirt et jean, ou survêtements sont ses choix les plus courants.

► Histoire

Alice Wall est née un 29 février. Ce genre de naissance est plutôt rare, mais pas impossible. Son père, souvent absent, ne lui prêtait pas la moindre attention. Ni à elle ni à sa mère lorsqu’il rentrait ; jamais pour plus de quelques jours, avant de repartir pour des mois. Sa mère, étouffante ne supportait, sinon ne comprenait, pas le besoin de solitude de sa fille.
Alice, qui aurait voulu une mère au moins aussi absente que son père, faisait face à l’amour omniprésent de celle-ci qui l’emmenait partout avec elle, sans jamais lui laisser la moindre parcelle d’autodécision.
Mme. Wall n’avait pas le besoin de travailler puisque son mari gagnait bien suffisamment d’argent pour deux, de plus elle considérait qu’il était normal pour lui (son mari) de s’absenter aussi souvent et tentait de compenser l’amour qu’il ne donnait pas à sa fille bien que celle-ci eut préféré qu’elle s’en passe.

Ainsi Alice, pendant dix années de sa vie, fut obligée de subir les gentillesse, les hypocrisies et les caresses de centaines des amis de sa mère. À l’âge de dix ans, cependant, elle commença à faire ses premières fugues et goûta enfin à la solitude. Elle s’enfuyait loin de sa maison et allait regarder un lac (supposons le Clear Lake). Sa mère refusait de porter plainte puisqu’Alice revenait toujours.

Le premier délit d’Alice (coups et blessures) eut lieu près de ce lac ; un enfant de l’âge d’Alice l’avait suivie jusqu’au Clear Lake (fichier de la police du comté de Lake faisant foi) et avait tenté de partager son loisir d’observation avec la jeune fille. Celle-ci était sur les nerfs à cause de sa mère et ne supporta pas la violation de sa “liberté”. Alice frappa l’enfant avec toute la science du combat qu’on pourrait attendre d’un adulte (en opposition avec la façon de frapper d’un enfant) et surtout avec la volonté de faire mal.

Cinq ans plus tard, Alice, qui fuguait de plus en plus souvent faute de pouvoir supporter sa mère, tua un homme. À quinze ans elle commençait à attiser les pulsions des hommes ; un adulte d’une quarantaine d’année (42 ans, fichiers du comté de Lake faisant foi) tenta de la violer.
Alice le tua avec la même implacable volonté qu’elle avait mise a frapper le jeune garçon. La seule nuance fut qu’elle était bien plus forte la seconde fois.

Un an plus tard, elle sortit de prison. Son incarcération pour meurtre avait changé du tout au tout le comportement de la mère d’Alice. Elle semblait avoir perdu tout l’amour de sa fille en un an.
Mais loin de laisser Alice tranquille, sa mère passa son temps à la renier devant elle. Elle lui jetait des reproches à la figure à chaque instant.
Les fugues d’Alices se rapprochèrent, s’allongèrent. Elle passait plusieurs jours près du lac, à présent. Elle s’était mise à fumer en prison, et aimait regarder les volutes de fumée que formait sa cigarette sur fond bleu du lac. Sa mère ne portait pas plainte, mais cette fois parce qu’elle déclarait se désintéresser tout à fait de sa fille.

Comme on pouvait s’y attendre, Alice ne put tenir très longtemps ; un an plus tard, elle tua ses deux parents ; toujours à mains nues.


► Joueur/Joueuse

• Mot de Passe pour la Validation :
• Comment avez vous découvert le forum : Double-compte (D'Alek') u_u
• Commentaire : J'aurais jamais cru qu'il accepterai un message de cette longueur :o

Coucou !
Tu as terminé? :?:

(Re)HellWelcome here, dudette! :3 J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous >3 Sur ce, see ya maybe one day xD~

Nath' > J'ai terminé d'écrire ce que je voulais, maintenant il semble (après relecture) qu'une fiche conventionnelle s'impose pour ce qui est de la jouabilité du personnage sur le forum ^^'
Carter > Thanks

Hum en effet ^^' je n'ai rien contre les fiches qui ne suivent pas le modèle, du moment qu'on y retrouve toute les infos, or là ce n'est pas le cas, on dirait que tu as 'zappé' l'histoire de ton personnage, mit à part son lieu de naissance, ses délits, on ne sait rien de sa vie. C'est aussi dur de savoir si tu as le quota de phrases pour chaque catégorie mais c'est mineur par rapport au problème de la biographie.

En dehors de ça, je ne te conseille pas cette présentation, pour la simple et bonne raison que ça sera difficile pour ceux qui jouent avec toi de trouver les infos dont ils ont besoin. Néanmoins, si tu tiens vraiment à garder ce modèle, je te demanderai juste d'en dire plus sur le passé de ton personnage.

Et n'oublie pas d'aller signer le règlement

À la base, je souhaitais juste écrire un bout de texte, il s'est avéré que le personnage m'a plu et j'ai pensé à ce forum. Cela explique sans doute pourquoi les informations ne sont pas satisfaites ^^

Je vais effectivement remplir une présentation conventionnelle (je suis déjà en train de le faire) pour ce personnage.

P.S. : J'aime la tête de l'emote qui te demande de tout recommencer xD

Pas de nouvelles?

Erf, si, si.
J'étais malade pendant un sacré moment mais maintenant que ça va mieux il faut que je me réveilles et que je réponde à tous mes RPs (avec Alek'). Donc la fiche ne sera pas pour tout de suite tout de suite, mais je vous promet de m'y atteler dès que j'aurais répondu partout ailleurs ^^

Salut =]

Bizarrement ton image perso me stress

Vitany > =D

J'ai terminé (enfin je pense) ma fiche, elle se trouve dans le second message du topic. Merci de me communiquer au plus vite les probables erreurs afin que je les corriges —

Je n'ai pas encore tout lu, mais il y a déjà quelque chose qui ne va pas : Teenagers n'est pas un lieu pour meurtriers. Et puis, je vois mal comment à 10-11 ans on est déjà capable de tuer quelqu'un! Merci de changer ça.

Euuuh… À dix/onze ans il ne s'agit pas d'un meurtre, mais seulement de coups et blessures ^^'
Et puis pour une meilleure compréhension je conseille de lire les deux textes (bonne chance :p).

Alice Wall a écrit:

Seconde infraction répertoriée le 30 mars 2003 (11 ans) : meurtre sur la personne de Marc Lewwy, 16 ans. Légitime défense, il tentait de la violer…

Ensuite : Les surhommes et surfemmes, non merci! Qu'on résiste un peu aux sédatifs, je veux bien, mais pas pendant un temps si long que celui que tu semble vouloir décrire! Or :

Alice Wall a écrit:

elle résiste au sédatifs mieux que n’importe qui et une heure n’a pas suffit à l’éreinter.

Et puis, on ne peut pas s'arrêter de fumer spontanément. Quand on commence, on est incapable d'arrêter (je vais m'abstenir de citer le passage auquel je fais référence). Et puis, il y a autre chose : Les personnes coupables d'homicide volontaire ne sont pas acceptées à Teenagers! Screugneugneu. Donc ceci ne va pas non plus :

Alice Wall a écrit:

homicide volontaire de ses deux parents.

(cf deuxième post). Et puis, merci de préciser depuis combien de temps ton perso' est à l'institut. Autre chose encore : Comment à dix ans peut-on décider de son plein gré de se déteindre les cheveux ? De même, comment au même âge peut-on fuguer? Tu te doutes bien que dans la réalité, des parents n'auraient pas laissé cela se faire. Autre chose : Tu n'as pas le nombre requis de lignes pour les centres d'intérêts ni pour le aime/n'aime pas, et les autres sont limites. Et tu as énormément d'incohérences vis-à-vis des délits. Regarde ceux de ton premier post par rapport à ceux de ton histoire!

Je veux bien être indulgente, mais bon, il va falloir revoir tout ça. Alors, encore une fois : .

Alice Wall a écrit:

À l’âge de dix ans, cependant, elle commença à faire ses premières fugues et goûta enfin à la solitude. Elle s’enfuyait loin de sa maison et allait regarder un lac (supposons le Clear Lake). Sa mère refusait de porter plainte puisqu’Alice revenait toujours.

Porter plainte contre son enfant parce qu'il fugue? Plutôt "original" comme idée. (Les guillemets veulent tout dire)

Rose Noctalis a écrit:

Comment à dix ans peut-on décider de son plein gré de se déteindre les cheveux ._.? De même, comment au même âge peut-on fuguer? Tu te doutes bien que dans la réalité, des parents n'auraient pas laissé cela se faire.

C'est assez naïve comme vision des choses. ça arrive que des gamins de dix ans fuguent.
Les parents n'aiment pas forcément leurs enfants et ne s'en occupent pas toujours (et lorsqu'ils le font ce n'est pas souvent au mieux).

A part ça les smileys sont super chous.

(Et navré de l'intrusion?)

Edit: Bienvenue! ^^

Jane -> Ce n'est pas naïf, juste réaliste XD Je parlais des parents en général. Parce que si on prend au cas par cas, on est pas couchés.

Bienvenue sur teenagers, j'espère que tu t'amusera dans ce monde enchanté de taré !

et bonne chance pour ta fiche!