► État Civil• Nom & Prénom : Alyosha Nika.
• Surnom : Aucun, et j'interdis quiconque de m'en attribuer un.
• Age : Vingt-six ans.• Date de Naissance : 22 Juin 1982.
• Lieu de Naissance : Zambròw, Pologne.
• Sexe : Masculin.
• Orientation Sexuelle : Bisexuel à tendance gay.
► Casier Judiciaire• Nombre d'arrestations : Quatre.
• Délits commis :
□Vol à l'étalage.
□Tentative de viol.
□Homicide involontaire durant une conduite en état d'ivresse.
□Cinq mois de prison.
► L'institut Teenagers• Présent depuis : Depuis mes seize ans.
• Chambre ou Dortoir : Chambre.
• Intégré à cause : Au début, ce fut sous l'autorité parentale. Ensuite, l'Institut me convenait parfaitement. Elle est ma deuxième maison.
► PhysiqueJ'ai un visage assez symétrique. Un nez droit et fin, souvent bouché
–c’est inné, une fine bouche rosée qui ne sourit qu’à de rares occasions. Du haut de mon mètre quatre-vingt, mon regard émeraude, sombre et hautain ne s’arrête jamais sur les quelconques individus que je suis susceptible de croiser. Je mange rarement, ce qui expliquerait mes soixante-six kilos. Mes cheveux décolorés en un blond foncé font ressortir ma peau pâle, dépourvue de tatouages ou de piercings. Ils sont souvent froissés, et ondulés de nature, je n'en prends jamais soin. A mon oreille gauche gît une boucle, seule touche féminine que je me suis accordé. Mon style vestimentaire est classique et décontracté. J'aime porté de simples chemises qui mettent en valeur mon frêle corps. Mes doigts sont décorés de bagues, mon cou d’un collier en or, et ma bouche souvent accompagnée d’un mégot, dont j'ai toujours été dépendant.
► CaractèreComme chaque être humain, je n’échappe pas aux caractéristiques. Les défauts et qualités. Perfectionniste, utopique, têtu par moment, parfois agréable, souvent serviable même si je ne montre pas mon dévouement, légèrement misanthrope et extraverti, assez associable, rarement égoïste, grognon uniquement le matin, susceptible, dévoué, généreux, doux et câlin avec les rares êtres auxquels je m’attache. Je suis très timide, ce qui est la cause de mes joues souvent roses. Je parle peu, surtout en présence de personne que je ne connais pas. Je préfère rester distant, c’est le moins que l’on puisse dire. Une fois mon travail fini, j'aime me retrouver chez moi, à lire ou dormir. Durant mon adolescence, la musique a grandit avec moi, j'aime donc me retrouver seul avec ma guitare. Cela m'a appris à maîtriser mes émotions, me contenir. Sinon, l'écriture est également un passe-temps agréable.
► Histoire Mes parents se sont unis par amour. Mon père est américain, venu en Pologne pour affaire, étant donné qu'il tient une entreprise de vêtement. La patronne qu'il devait rencontrer ce jour-là était sa future femme, qui lui donnerait un unique enfant... Je suis né en Pologne, dans une ville banale appelée Zambròw. Six ans après ma naissance, ils décidèrent d'aller vivre dans la ville natale de mon père, la Californie. Je vivais aisément, dans une grande maison. En bref, j'étais un petit gars bourré de fric, dont l'avenir était déjà tracée. Mais je ne voulais pas de ça. C'était bien trop facile. C'est alors qu'à quatorze ans, je quittais mon école privée pour le contraire. Je m'étais directement senti plus à l'aise. Je traînais avec les personnes qui me ressemblaient le plus. Dans la petite bande, on se considérait tous comme des bouches-trou. On ne s'aimait pas, mais on ne se détestait pas forcément. D'ailleurs, j'appréciais assez l'un du groupe pour le laisser être toutes mes premières fois. L'année suivante, il arrêta l'école, et je ne l'ai plus revu. J'étais enragé, ce qui me conduisit à ma rébellion. Je devais de toute façon y passer... A seize ans, mes nombreux délits me conduisirent à la chute, sans que mes parents ne puissent faire quelque chose. Je ne me droguais pas, mais je traînais avec ces camés qui acceptaient tout le monde et leur problème. Un soir d'ébriété, où je conduisais à grande vitesse sans permis, j'ai tué une pauvre vieille dame en la percutant brusquement. Ce fut la goutte d'eau pour mes parents, et pour moi aussi. Contre ma volonté, ils me forcèrent à cinq mois dans l'Institut Teenagers, pour cause judiciaire. Je trouvais cela intolérable de me foutre dans cette sorte de prison. Je commençais à haïr le peuple. Mais plus le temps passait, plus je m'y faisais. Vivre avec des jeunes « comme moi » m'avait aidé à remonter le cap. Les cinq mois de renfermement terminé, mes parents revinrent me chercher, pour aussitôt repartir, sans moi. Cet Institut, je l'aimais, et je souhaitais y rester. Ma majorité passée, je postulais pour gardien de nuit, toujours à Teenagers. Le Directeur me connaissant, depuis ces années, accepta.