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Carlisle Swan [Terminé]

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MessageSujet: Carlisle Swan [Terminé] Carlisle Swan [Terminé] EmptySam 30 Aoû 2008 - 21:47

<º))))><.·´¯`·. єтαт ¢ινιℓ .·´¯`·.><((((º>



Citation :
[NOM] Le nom Swan est assez connu, enfin surtout de là ou il débarque. Son paternel, homme d’affaire à la réputation de piranha a laissé son empreinte parmi les plus grands PDG du Massachusetts.

[PRENOM] Carlisle était le nom de son arrière grand père. Autant dire que c’est un prénom qu’il n’aime guère. Ayant beaucoup craché sur son père pour avoir osé lui donner le nom de son vieux débris de ‘papy’ aussi fripé qu’une vieille pomme et complètement édenté, il s’est vite rendu compte que Carlisle était un nom peu commun… aussi, finit-il par l’apprécier – mais un tout petit peu –

[SURNOM] K est son surnom. Dans son groupe 'd'amis', ils possédaient tous un surnom pour le moins étranges et puis même si maintenant il se trouve séparé d’eux, il n’arrive pas à s’en défaire.

[AGE] 20 ans… ce qui fait de lui une grande personne – complètement et absolument déraisonnable – mais franchement, Carlisle s’en contre fou pas mal parce que dans un an, il aura atteint la majorité.

[DATE DE NAISSANCE] Carlisle est né le 26 janvier 1988. A 3 jours prêts, il serait né en même temps que sa pauvre et défunte mère. Le 29 janvier est donc un jour noir pour lui car il s’agit du jour de naissance de sa mère mais également le jour de sa mort.

[LIEU DE NAISSANCE] Né dans la capitale et la métropole du Massachusetts, sa mère est venue accoucher dans une clinique privée de Boston.

[SEXE] Sur son acte de naissance est indiqué que l’enfant né un 26 janvier 1987 à 9 heures précisément de sexe masculin… et jusqu’aux dernières nouvelles, il s’agit toujours d’un garçon.

[ORIENTATION SEXUEL] Hm… sujet un peu épineux pour le jeune homme. Lui-même c’est toujours crut hétérosexuel mais c’est surtout par obligation. Carlisle se sait totalement désintéressé des femmes, mais les homosexuels étant rejeté par la société et celui-ci, bien trop lâche pour l’avouer à qui que se soit – et surtout à lui-même – se dit hétéro… mais bon, comme le dit un vieux dicton, il ne faut jamais se fier aux apparences….


]|I{•------» ¢αѕιєя נυ∂ι¢ιαιяє «------•}I|[



Citation :
[Nombres d’arrestations] A vrai dire, Carlisle ne sait jamais amusé à les compter. Lorsqu’il était encore majeur, les délits mineurs étaient vites étouffées par l’argent de papa. A 20 ans, ses arrestations se compte aux nombres de 6.
→ pour avoir circuler – donc à pied – ivre sur le trottoir (il trouve que c’est un peu cher payé, surtout qu’il ne conduisait pas, mais on lui a tout de même sucré son permis…)
→ Dégradation de la voie publique
→ Bagarre de rues
→ Vente de produits illicites
→ Consommation de produits illicites
→ Inculpé pour avoir organisé et participé à un Rodéo en plein centre de Boston

[Délit commis] D’après son père, son seul délit est d’avoir un jour exister. Sinon, il s’agit de petites infractions qui nos jamais vraiment eut d’impact sur lui ou bien sur la société. On ne peut pas les compter, sachant que depuis son 16ème anniversaire, ses délits se sont multiplié par 2.


+*¨^¨*+ ℓ'ιиѕтιтυт тєєиαgєяѕ +*¨^¨*+



Citation :
[PRESENT DEPUIS] Carlisle est ‘nouveau’. Il a intégré le complexe il y a un peu plus d’un mois. Même s’il est - presque - majeure et qu’il est – soit disant – assez grand pour prendre ses décisions, il se retrouve ici sur ordonnance du juge qui lui a laisser le choix : l’institut Teenagers et travaux d’intérêt général. Le choix a vite était fait…

[CHAMBRE OU DORTOIR] Il n’est pas quelqu’un de violent, qui aime frapper sans raison les autres. Non, il connaît ses limites, toutefois, il ne faut pas trop le chercher ou le pousser dans ses retranchements car lorsqu’il se trouve vulnérable et en position d’infériorité, il préfère largement parler avec ses poings.

[INTEGRE A CAUSE] Melle Simpson. Une vieille femme aigri qui aime qu’on l’appel encore mademoiselle alors qu’elle a 57 ans. Elle est le juge qui lui a posé un ultimatum en le plaçant pratiquement d’office ici. Carlisle se trouve donc à Teenagers plus par obligation qu’autre chose mais encore une fois, il faut dire merci à papa…


Dernière édition par Carlisle Swan le Jeu 4 Sep 2008 - 17:24, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Carlisle Swan [Terminé] Carlisle Swan [Terminé] EmptySam 30 Aoû 2008 - 21:48

,.-~*´¨¯¨`*·~-.¸-(_ ∂єѕ¢яιρтισи ρнуѕιqυє _)-,.-~*´¨¯¨`*·~-.¸



Citation :
Enfant, Carlisle était déjà un petit garçon de grande taille. Très énergique, il n’a jamais eut de problème de santé ou autre. Physiquement, c’était un enfant en très bonne santé. Avec l’âge, Carlisle est resté toujours le même. Etant en excellente santé, n’ayant jamais été malade, Carlisle fait dans les 1m87 et quelques broutilles. Il est presque aussi grand que son père, qui lui, fait très facilement 1m96. C’est de famille. Tout le monde est grand. Sa mère était une femme très grande, qui sortait de la moyenne mais dont la corpulence de son corps s’accordait parfaitement à sa grandeur. Elancée aux rondeurs charmantes, ces 1m80 passait facilement. Elle était plutôt jolie… pas au point de pouvoir faire top model mais elle possédait de longs cheveux d’un tendre blond vénitien qui ondulaient légèrement. Son regard de biche, d’un tendre caramel était allongé par de longs cils, ombrageant ses joues d’un blanc crémeux mouchetées d’une multitude tâche de rousseur.
Son père, quant à lui possédait un charme sauvage. Sa peau basanée contrastait presque de façon agressive avec celle de sa mère. Ces cheveux corbeau toujours impeccablement bien coiffé approfondissaient son regard. Celui-ci ressemblait à du métal en fusion… un magnifique regard polaire qui avait perdu toute chaleur depuis des années. Possédant le corps d’un athlète on avait difficilement du mal à l’imaginer en homme d’affaire portant 24h/24 costard et cravate. On l’imaginait plus facilement dans une salle de sport ou sur un transat entrain de siroter du lait de coco à Hawaï. Ses parents s’opposaient, tant physiquement que psychologiquement. Et leur seul et unique enfant, Carlisle, ressemblait énormément à sa mère. Son corps, son intelligence, sa façon de voir les choses…
Comme ces deux parents, Carlisle est un jeune homme qui s’est très vite épanouie en atteignant à ses 15 ans, 1m87. Bien sur, il en jouait souvent. Sa taille en imposait auprès des autres et il les dépassait tous de deux bonnes têtes, ce qui l’amusait beaucoup. Elancé aux membres fuselés, il est a peut prêt constitué comme son paternel. Musclé, sans trop l’être, Carlisle aime pratiquer les sport de… rues. C’est pratiquement pareil que le sport en salle, mais en un peu plus violent. De ses cheveux, aucune once d’ébène. Non. Il on la couleur du cuivre, tirant légèrement vers l’or enfin ça, c’était il y a 2 ans maintenant, ils ont la couleur d’un doux châtain clair, gardant toute fois une once d’or, ce qu’il fait qu’il est pratiquement blond, surtout lorsqu’il revient de longues vacances des les îles Canaries. Son regard, autre fois était doux est maintenant devenu aussi froid et aussi tranchant que peu l’être le vent de l’Antarctique. D'une douce couleur ambre, ils ont la couleur d’un vieux cognac qui peut devenir plus foncé au grès de ses humeurs.
Son visage ayant perdu toute rondeur de l’enfance ou de l’adolescence, on voit très bien qu’il est sortie de l’enfance et qu’il amorce une toute nouvelle vie : une vie en tant qu’adulte quelque peu mouvementé. Toutefois, avant que son visage ne subisse une telle transformation, lorsque son visage possédait encore des airs d’ado en pleine puberté plus guidé par ses hormones qu’autre chose, il s'était fait faire plusieurs tatouages dont un plutôt voyant sur le bras gauche. Délicats arabesques, ils effleurent son coude pour remonter le long de son épaule et venir s’échouer à la naissance de sa nuque. Descendant légèrement le long de sa poitrine, il se termine juste au dessus de son cœur en une spirale gothique. Un autre à l’intérieur du poignet droit, stupide pari bien arrosé, se trouve être un discret et minuscule papillon aux couleurs bleu turquoise et noire. Autant dire qu’il essaye de le cacher le plus souvent.
Pour son style vestimentaire, Carlisle sort le plus souvent de la morne. Il aime choquer. Absolument pas pudique, se trimballer nu ne le dérange pas. Toute fois il porte souvent des jeans délavés voir limés jusqu’à la trame, maintenu par des ceintures épaisses en cuirs ou de fines chaînettes. Ou bien alors ça passe aussi par des pantalons rayés, avec des tongs ou bien des tennis… tout ! Il met absolument tout, passant d’un style à un autre sans aucun problème. Tout lui va.


`·.,¸¸,.·´¯ ∂єѕ¢яιρтισи ρѕу¢нσℓσgιqυє ¯`·.,¸¸,.·´



Citation :
Son caractère a toujours été modelé en fonction de ses parents. Sa mère l’adoucissait par ses tendres sourires et ses câlins ou elle lui murmurait en une longue litanie combien elle l’aimait. Le surprotégeant peut-être un peu trop, Carlisle, enfant, était quelqu'un de très simple qui allait facilement vers les autres. Ayant alors le sourire facile et constamment de bonne humeur, c’était un gamin très agréable et facile à vivre. Jamais il ne contestait un ordre ou autre, faisant toujours tout ce qu’on lui demandait sans jamais rien dire. Oui, jusqu’à sa crise d’adolescence survenu à 13 ans, Carlisle était un gamin très simple et facile à vivre. Néanmoins, bien que sa mère le surprotégeait et le chouchoutait un peu trop, son père, lui, endurcissait son caractère. A 13 ans, l’âge ingrat, Carlisle se trouvait dans un tournant décisif de sa vie et alors qu’il avait besoin plus d’attention de la part de son père, celui-ci se détournait de lui, ne lui montrant que froideur et mutisme à son encontre. Afin d’éviter de trop en souffrir, le jeune homme s’enferma dans une carapace ou plus aucun sentiment passait.
Puis, lorsque sa famille fut frappée par le deuil, quelque chose se brisa au fond de lui. Peut-être était-ce dut à cette immense main qui s’abattait souvent sur sa joue ou au dénie complet de son père. Quoiqu’il en soit, Carlisle changeant, modela son caractère de façon à ne plus subir les humeurs noires de son paternel. Son cœur saignait et pourtant, il prenait un malin plaisir à dilapider la fortune familiale. D’après le paternel, Carlisle souillait la mémoire de sa mère en devenant ce petit merdeux de première. C’était blessant mais le jeune homme souriait à ses accusations comme si cela ne l’atteignait absolument pas. Il s’en foutait – mensonge – il détestait son père – mensonge – il haïssait sa mère de l’avoir ainsi délaissé – mensonge – tout n’était que mensonge pour un jeune garçon d’à peine 15 ans. Alors qu’il avait besoin de toute l’attention de son père, celui-ci lui tournait le dos, l’oubliant, alors Carlisle prit ses aises.
Malgré ses capacités exceptionnelles à l’école, il lâcha tout. Ses notes étaient en chute libre et son dossier qui s’était, jusqu’à maintenant, trouvé vierge était maintenant composé de plusieurs pages de blâmes, d’avertissements et d’heures de colles. Il avait besoin qu’on s’intéresse à lui et ses désirs allèrent au-delà de ses expériences. Intégrant un petit groupe de pseudo délinquant, Carlisle finit vite par déserter complètement les cours pour traîner et flâner dans les rues en compagnie de ses nouveaux amis. Les règles avaient changées, il avait changé, grâce - ou à cause - d’eux. Du jeune homme doux et docile, il n’en restait plus rien.
Carlisle se caractérise maintenant par une nature ardente, soupçonneuse et agressive qui peut par moment choquer et refroidir son entourage. Toutefois, sous cette apparence glaciale, est resté caché un être rempli de sensibilité, capable d'aimer sincèrement et profondément, seulement, il a oublié comment c’était d’aimer. À cause de son besoin continuel de triompher, c'est un chef redoutable et un meneur insatiable pour être en mesure de concrétiser toutes ses aspirations. Ne connaissant pas les demi-mesures et n'acceptant aucun compromis, il est entier dans ses aversions, capable de détruire pour ensuite rebâtir. Aimant particulièrement les problèmes difficiles, il aime les créer. Très caustique et un peu ironique, il s'exprime sans détour allant directement au fait et à la source du problème. Doté d'un esprit énergique qui est digne de mention, Carlisle possède une extraordinaire endurance – merci à ses courses poursuite effrénées – autant physique que morale.
D’un caractère complexe, maintenant qu’il se retrouve à Teenagers loin de son gang, Carlisle comprend bien que c’est entièrement de sa faute… la colère de son père et son arrivé dans un complexe pour jeunes ados difficiles, mais quelque part, il ne peut que s’en trouver fière. Il a fait n’importe quoi, tout pour attirer l’attention de son paternel et même s’il se retrouve maintenant coincer ici, Carlisle est… heureux.


Dernière édition par Carlisle Swan le Jeu 4 Sep 2008 - 17:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Carlisle Swan [Terminé] Carlisle Swan [Terminé] EmptySam 30 Aoû 2008 - 21:48

§.·´¨`°÷·..× нιѕтσιяє ×..·÷°´¨`·.§


Citation :
Au commencement…

Abby avait alors 22 ans lorsqu’elle épouse un homme de 10 ans son aîné. Au départ, ses parents s’étaient farouchement opposés contre ce mariage, mais Abby était amoureuse. C’était son premier amour. Elle l’avait rencontré à une fête et ne l’avait plus quitté depuis. Il était tendre et gentil avec elle. Il lui offrait des fleurs et ne cessait de lui dire combien il l’aimait. Aussi, lorsqu’il lui demanda sa main en mariage, elle avait tout de suite acceptée ! S’était sympa d’être ainsi dorlotée, aimée et chouchoutée. Elle possédait tout ce qu’une jeune fille pouvait rêver ; une grande maison, un fiancé attentionné, un immense jardin, un fiancé amoureux et un luxurieux compte en banque. Mais l’argent ne l’intéressait pas. Abby voulait une grande et belle famille. Pour les parents de la jeune fille c’était beaucoup trop rapide : ils venait à peine de se rencontrer que deux moi plus tard il la demandait en mariage et ils emménageait ensemble et quatre mois après, il lui passait la bague au doigt. En un an, il venait de marier leur fille unique à un homme énigmatique et froid…
Cela n’entacha pas le bonheur de la jeune épouse qui avait l’impression de vivre dans un conte de fée. Puis, une petite routine s’installa pour les deux jeunes mariés. Abby naviguait à droite, à gauche tandis que son époux partait souvent en déplacement durant de longues semaines. C’était un peu frustrant pour Abby qui avait des rêves de maman. Elle aurait aimé pouvoir en parler avec son époux, mais ce dernier prenait le devoir conjugal comme une corvée. Montre en main, ils se couchaient à 21 heures et à 21h10 c’était finit. Pour une jeune femme de 22 ans, c’était très insuffisant, elle qui rêvait de pouvoir connaître les étreintes tendres et les baisers langoureux… comme ceux qu’elle lisait dans ses livres à l’eau de rose. Néanmoins, cette monotonie et cette routine sembla plaire à son époux qui lui témoignait peut d'intéret et qui ne s’intéresser pas beaucoup à elle. Il la sortait souvent, dans les soirées mondaines ou il l’obligeait à se pendre à son bras et à sourire sans jamais ouvrir la bouche, juste pour rendre un salut. En gros, soit belle et tais-toi. Cette vie lassa la jeune femme qui entra en dépression. Elle qui rêvait d’amour et d’enfants, elle se retrouvait, seul et sans amour dans une immense demeure bien trop sombre et froide à son goût.
Avec le temps et avec les années, Abby prit conscience qu’elle s’était mise toute seule dans une telle situation. N’en pouvant plus alors de devoir jouer les couples heureux seulement durant les soirées, la jeune femme prit la décision de le quitter, de demander le divorce et d’aller commencer une nouvelle vie, très loin de lui. Toutefois, alors qu’elle attendait ce moment depuis des années, Abby tomba enceinte. Elle avait alors 28 ans et alors qu’elle se décidait enfin à abandonner son iceberg de mari, elle se retrouvait enceinte. Prit entre deux feux, Abby se sentait déchirée. Elle ne voulait pas que son enfant naisse sans père, elle ne voulait pas l’élever seule, le priver de l’affection d’un père… aussi resta-t-elle, retournant dans sa solitude seulement, maintenant elle ne se sentait plus vraiment seule et une nouvelle force s’empara de chaque fibres de son corps. Elle allait se battre. Se battre pour son enfant à venir, se battre pour retrouver l’amour ternit de son mariage… se battre pour survivre.

9 mois plus tard…

Dans une clinique privée de Boston, une jeune femme venait d’être emmenée d’urgence par son mari. Sa longue et ample robe couleur vermeille se trouvait mouillé tandis qu’une main tendu soutenait son ventre, l’autre agrippant fermant la main de son époux. Sa belle coiffure sophistiquée n’avait pas résisté à son épouvantable fin de soirée dont de longues mèches blondes se collaient le long de son visage. Gémissant de douleur et a bout de force, on la plaça dans un lit de maternité de la clinique en l’obligeant à se coucher sur le coté. Malgré les spasmes douloureux et réguliers qui lui déchiraient le ventre, elle se sentait fatiguée et avait un mal fou à rester éveillée tandis que son mari arpentait d’un peu furieux la pièce. Au fond-elle, Abby s’avait que cette grossesse ne se terminerait pas normalement. Le bébé venait beaucoup trop vite alors qu’elle était seulement à 7mois ½ de grossesse, puis se fut le troue noir…
Abby se souvient encore avec effrois qu’elle n’avait put voir son fils avant deux semaines. On lui avait dit qu’il s’agissait d’un moment merveilleux, mais elle n’en avait absolument aucun souvenir. La seule chose dont elle se souvenait, c’était de son réveil, en présence de son mari pendu à son mobile – au moins, il avait été présent – Lorsqu’on lui avait permit d’aller voir son fils, on lui avait montré une minuscule crevette couverte de tuyaux. Ca lui avait donné mal au ventre de le voir ainsi mais elle n’avait put s’empêcher de sourire lorsque sa crevette avait ouvert sa main pour la refermer en un minuscule poing afin de le porter à sa bouche. Son cœur se gonfla de fierté tandis qu'elle mourrait d’envie de pouvoir le tenir serré contre elle. On lui donna cette opportunité trois semaines plus tard, lorsque son fils eut dépassé les 8 mois et quelques semaines. Il était bien plus petit que les bambins qu’elle avait put voir et cette fragilité réveilla en elle un besoin de protection.

Maintenant, à 5 ans, son fils se portait comme un charme. Dans la courbe poids et taille, il avait rattrapé largement la moyenne. Un petit monstre au visage d’ange et sa mère le chérissait. Tout n’était plus que pour lui et elle passait de longues heures à le couver du regard et lui sourire avec tendresse, au plus grand désespoir de son père qui lui, l’ignorait totalement. Abby en avait beaucoup souffert, de son indifférence pour son propre fils, mais c’était vite consolée avec les baisers humides et sucrés de son unique enfant.
D’après les médecins, elle ne pourrait plus jamais avoir d'enfants, cette grossesse l’ayant considérablement affaiblit. Ca avait faillit lui coûter la vie et elle mit beaucoup de temps avant de comprendre ce que celui impliquait. Alors pour son seul et unique enfant, elle voulait tout lui donner et céder à chacun de ses caprices, afin de compenser l’ingratitude de son père envers son fils unique et le faite qu’il serait son seul enfant.

8 ans plus tard…

A 13 ans, Carlisle était un ange. Couvé et adoré par sa mère, celui-ci était aussi doux et tendre qu’un agneau. Un peu plan plan sur les bord, c’était un excellent élève, premier dans chaques matières et qui ne faisait jamais d’histoire. Abby était extrêmement fière de lui et malgré sa santé devenue très fragiles, elle ne cessait de s’investir pour son fils, souhaitant lui faire encore et encore plus plaisir. Toutefois, après son accouchement, la jeune femme s’était retrouvée très affaiblie, sa santé devant brusquement fragile l’obligeant à diminuer ses activités qui étaient déjà quasi inexistantes. Maintenant, elle devait garder le lit, ses forces étant plus que minimes. Alors Carlisle restait de longues heures avec sa mère, dans cette chambre silencieuse qui sentait l’antiseptique. Très peu de monde venait rendre visite à sa mère ; son père, bien trop occupé avec son travail, la délaissait, laissant les domestiques s’occuper d’elle. Carlisle s’en trouva profondément blessé puis un soir, alors que la respiration de sa mère se faisait plus sifflante que d'habitude, le médecin, appelé d’urgence, secoua lentement la tête d’un signe négatif. D’après ses dires c’était « pour cette nuit ». Carlisle s’en trouvait complètement anéantit alors qu’il sentait qu’il allait perdre sa mère, la seule personne qui ne l'avait jamais aimé.
Un soir, son père lui attrapa durement le bras afin de l’arrêter dans son avancé alors qu’il s’apprêtait à pénétrer dans la chambre de sa mère. Son regard de glace fouilla le sien, humide de larme. Le repoussant contre le mur, il se pencha à la hauteur de son visage, un doigt accusateur tendu au niveau de son nez. Sa voix s’éleva, traînante dans le silence du couloir dont le ton froid était renforcé par l’obscurité de la pièce.

« Pas de larme. Si tu entres pour la voir, tu souris. Si tu dois pleurer, tu restes dans le couloir. »

Autant demander l’impossible à un enfant de 13 ans, toutefois, lorsqu’il pénétra dans la chambre, s’asseyant sur le siège, un doux sourire étirait ses lèvres. Il ne pleurerait pas. Il ne lui montrerait que douceur et amour. Et lorsque ses yeux se fermèrent, il continua à sourire, imaginant que sa maman pouvait encore le voir à travers ses paupières closes. Ce fut un moment très désagréable pour lui alors qu’il la quittait, le dos raide et les zygomatiques crispées. Ce soir là, le dernier soir ou sa mère lui avait tenu la main, jusqu’à ce qu’elle s’endorme, Carlisle avait presque put sentir son cœur se fissurer. Il avait été seul à l’accompagner, son père ayant décrété qu’il avait des choses bien plus importantes à faire pour le moment. Pour ça, pour ce qu’il avait fait subire à sa mère et lui même, Carlisle se mit à éprouver de la rancœur envers cet homme qui finissait par oublier les anniversaires. Il avait l’impression de vivre avec un fantôme, mais tant qu’il y avait sa mère, ça ne le gênait guère, maintenant… c’était toute autre chose.
Il n’en savait trop rien, si ce fut dans le silence immobile de sa chambre pour son 14ème anniversaire qu’il s’est mit à changer. A changer pour que son père daigne se tourner vers lui et s’occuper enfin de lui, son fils unique, qui passait son anniversaire, seul dans un chambre bien trop grande et trop froide à son goût.

3 ans plus tard…

« - Joyeux anniversaire K !
- Hmm… »

16 ans… pour le jeune homme, ce ne lui faisait rien. A 16 ans, il avait déjà un permit de conduire, un faux bien sur. A 16 ans, il avait déjà une voiture de sport. Cher, très cher et rapide, très rapide. L’engloutir contre un mur ne le dérangeait absolument pas. Il n’avait qu’à taper une crise à son paternel pour qu’il lui file du fric afin qu’il puisse s’en acheter une autre. A 16 ans, il était déjà majeur, enfin sur sa fausse carte d’identité bien sur. Grâce à elle, il connaissait déjà les lendemains de cuite et les soirées de pure débauche… très pratique. A 16 ans, il connaissait les grâce mat’ en plein milieu de semaine. Son renvoie à cause d’avoir fumer un join dans les chiottes du lycée, incitant d’autres élèves à essayer, lui avait valut un simple renvoie définitif. A 16 ans, il connaissait les étreintes tendres et sauvages, les réveils dans des lits inconnus, couché dans les bras d’une inconnue. Bref… ses 16 ans ne lui apporterait rien de nouveau. Sauf peut-être une nouvelle expérience qu’il avait eut très envie d’essayer hier soir. Seul problème, c’est qu’il ne s’en souvenait absolument pas. Il ne pouvait même pas affirmer si c’était agréable ou non d’avoir couché avec un mec. Lançant alors un regard indéchiffrable au jeune homme qui venait de lui souhaiter un joyeux anniversaire, il se redressa, nu, dans la minuscule pièce de l’appart de son ‘amant’.
Avec les années, Carlisle s’était dévergondé. Peut-être un peu trop même. Des fois, il lui arrivait de reconnaître qu’il était allé trop loin, comme de s'être fait tatouer un papillon à l’intérieur de son poignet. Il n’arrivait même plus à regarder son poigner tant il trouvait ça horrible mais il préférait le garder plutôt que devoir se le faire enlever au laser ! Ca laissait d’horribles cicatrices. Mais tant que sa attirait l’attention de son père… tout allait parfaitement bien. Le jeune homme le poussait à bout, l’obligeait à quitter ses réunions, à venir le chercher à 3 heures du mat’ au commissariat, à faire des nuits blanches… bref, Carlisle était tout bonnement heureux. Heureux de savoir que son paternel payait les pots cassés pour lui. Quelque part, il se vengeait. Il se vengeait de tout le mal que ce dernier avait fait subir à sa mère et à lui et franchement il adorait ça. Au moins, ce dernier, n’oubliait jamais son fils et le pistait pour connaître chacun de ses faits et gestes.

4 ans plus tard...

Lorsqu’il faisait le point sur sa vie, il reconnaissait de bonne grâce qu’il l’avait gâchée et, comme le disait si bien son père, bafouer la mémoire de sa mère. Mais cette vie clandestine, il l’avait voulut, cette dépendance à la drogue, il l’avait aussi choisit… mais sa vie ressemblait à un énorme fiasco. Arrêté au moins 6 fois, il s’en était toujours bien sortie grâce à l’argent de son père qui faisait pression au près des juges. Toutefois, aujourd’hui, la sentence était tombé sans que son père ne daigne intervenir ou même montrer le bout de son nez durant l’audience. Autant dire qu’il était seul, seul à assumer toute une adolescence de conneries et de débauches. Carlisle avait grincer des dents lorsque Melle Simpson lui imposa une alternative qui ne lui plaisait guère mais après avoir fatigué son père qui se trouvait au bout du rouleau, il avait bien envie de tout recommencer. Aussi avait-il choisi TEENAGERS. Ce n’était pas de toute guetté de coeur qu’il le faisait mais il fallait qu’il fasse le point car pour le moment, il se sentait perdu et il ne pouvait que s’en blâmer. Alors il avait baissé les épaules lorsque le lourd marteau tomba sur le bureau du juge, un soupire de résignation s’échappant de ses lèvres tandis que la sentence s’élevait dans le lourd silence de la salle pratiquement vide…
Carlisle s’était muré dans un profond mutisme tandis qu’on l’arrachait à son milieu et à ceux qu’il aimait. Son père ne reçu qu’un sourire méprisant de sa part tandis qu’il faisait sa valise. Quelque part, son paternel avait réussit, enfin, à les expulser, lui et sa mère, de sa vie. Plus personne pour l’emmerder, lui soutirer de l’argent, d’anniversaire à ce souvenir… en fait, Carlisle était seul. Il avait l’impression d’avoir de nouveau 13 ans, le cœur saigné à blanc, sans amour et sans famille.


FINI


Dernière édition par Carlisle Swan le Jeu 4 Sep 2008 - 17:22, édité 1 fois
Kathleen Manchester
Kathleen Manchester

Fondateen ■ Black Cat
I'm the Ice Girl
█ Fondateen ■ Black Cat █ I'm the Ice Girl


Carlisle Swan [Terminé] Poin Freezing you to the bone...
Carlisle Swan [Terminé] Poin But now i'm gone ~

Féminin Miawww... In Love

Surnom Surnom : Kath'
Âge du Perso Âge du Perso : 24ans
Orientation Orientation : Hétérosexuelle
Admission Admission : Juillet 2008
Autorisé à sortir Autorisé à sortir : Accordée

Teen's Teen's : 7206

Age Age : 36
Messages Messages : 1648
Jeux +16 Jeux +16 : Non
Disponibilité Disponibilité : Congé sabbatique longue durée ! °-°

RP' RP' : Carlisle Swan [Terminé] Poin Le Règlement A Lire!
Carlisle Swan [Terminé] Poin Ajouter des sectes à son profil
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SECTES SECTES : Carlisle Swan [Terminé] Bhhj
De Teenagers Du Rock Du Cinéma Du Café De 30 Seconds to Mars De la Musique De Hordes Deviantart De L&#39;Italie De Disney Des Bonbons De Harry Potter Des Chats Des Arachnophobes De la Xbox 360 De la Playstation De la Gameboy Des Converses De Star Wars De Stitch De la Télévision Jack Daniel s Des Sushis De Rpg De L irlande Des Vampires De Mr Jack De Michael Jackson De Mon Ordinateur Carlisle Swan [Terminé] Bhhj

Casier Judiciaire
Avertissement:
Nombre d'Arrestations: 0
Délits Commis:
https://teenagers.forummotion.com/personnel-f7/fondatrice-directr
MessageSujet: Re: Carlisle Swan [Terminé] Carlisle Swan [Terminé] EmptyDim 31 Aoû 2008 - 23:16

Ton style d'écriture est très bon, il y a cependant beaucoup de fautes dans ton texte, erreur d'inattention ? En tout les cas, il faudrait relire ta fiche et corriger celle-ci.

Ton personnage a 21 ans, cependant les résidents doivent avoir moins de 21ans, car comme l'indique le nom de l'institut, il est réservé aux mineurs.

(Par ailleurs, j'ai été désorientée par le fait qu'entre l'annonce de la grossesse de ta mère, et son accouchement, il y ai un "5ans après" particulièrement illogique... Oô)
Invité
Anonymous

Invité


MessageSujet: Re: Carlisle Swan [Terminé] Carlisle Swan [Terminé] EmptyDim 31 Aoû 2008 - 23:49

EDIT :: Voilà, je me suis corrigée et franchement... c'était horrible lol
J'ai aussi modifié ma bétise des 5 ans plus tard :p

Mais normalement, c'est bon ^^
Merci d'avance.

Bye bye !
Invité
Anonymous

Invité


MessageSujet: Re: Carlisle Swan [Terminé] Carlisle Swan [Terminé] EmptyDim 5 Oct 2008 - 20:09

Bon et bien je crois que tu as attendu assez comme ça.
je pense que tout est bon^^
Donc Fiche validée!

Bienvenue parmi nous Carlisle =3
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Carlisle Swan [Terminé]

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