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| Khaless Allen •• More is less and useless | |
| Khaless Allen | Professeur de Remise en Forme
Surnom : Khal Âge du Perso : 26 ans Orientation : Hétérosexuel Admission : Depuis peu. Autorisé à sortir : Accordée
Teen's : 4633
Age : 30 Messages : 85 Jeux +16 : Oui Disponibilité : Principalement le week-end. Ou tard
MEDAILLES :
SECTES :
| | Sujet: Khaless Allen •• More is less and useless Mer 22 Aoû 2012 - 1:42 | |
| ► État Civil
• Nom & Prénom : Allen, Khaless Un nom purement américain. Quant à mon prénom… Il a des origines africaines pour sûr ! Mes parents voyageaient beaucoup, jusqu’à ce que ma mère soit obligée de rester allongée toute la journée. Mais mon père voyage encore… Mon père est Général dans l’Armée de l’air Américaine. Above All , vous voyez.
• Surnom : Khal Simple, court et concis. Je vous assure que peu ne s’y aventure. Mes collègues sur le terrain, quand nous sommes une véritable famille à bouger ensemble. Mes hommes parfois quand on a partagé quelque chose de fort, quand nous avons frôlé la mort. Je crois que j’intimide les gens.
• Âge : Vingt-six ans. Des fiançailles rompues il y a à peine deux ans, célibataire, et frigide comme pas deux. Ma vie est magnifique. Célibataire, riche et militaire. Mais tellement pas intéressé.
• Date de Naissance : 8 Août 1986 Mon chiffre porte-bonheur est le 8. Mon nombre préféré le 88. Renversé, c’est le signe de l’infini. Je suis né le 08/08/86. Je trouve cela assez sympa. Je ne suis pas né seul. Juste après moi, je fus suivi de ma sœur jumelle. Maintenant on ne se ressemble plus, nous avons trop changé et évolué.
• Lieu de Naissance : San Francisco Nous sommes nés chez nous. Dans une grande belle chambre. Une sage femme, amie à nos parents était là pour les aider. Chez nous, c’est non loin de la plage. C’est trop luxueux pour nous. Trop pâle, trop propre. Je n’aime pas y retourner pour ces obligations familiales. Mais depuis que ma mère est morte, mon père nous a oublié, j’ai l’impression. Il ne vit plus que pour l’Armée. Et peut-être pour de l’alcool. Allez savoir.
• Sexe : Masculin, assurément. Et croyez-moi, à mon physique et mes manières, on ne peut guère s’y tromper.
• Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle. Les homosexuels sont faibles. Ce sont des erreurs. Et la religion n’admet pas cela. Et puis avouons-le, c’est terriblement dégoûtant. Qui aurait idée d’aller… Non, je ne préfère pas imaginer. Ils font ce qu’ils veulent dans leur intimité. Mais ils pourraient au moins avoir l’obligeance de ne pas s’afficher. Ils sont une honte.
► Curriculum Vitae
• Grade : Cadet…. Temporairement si je puis dire. Et non, je ne suis pas cadet. Certainement pas après huit ans de services, tout de même. Et bien plus haut que Major. J’avais des hommes, une équipe… Presque une famille. Je les connaissais tous. Les noms de leurs femmes, ou de leurs enfants. Leurs vies. Nous étions unis.
• Profession : Ici, Professeur de Remise en Forme. Nom barbare pour dire que je vais les faire suer, que je vais les faire râler, et que je vais devoir leur mettre des coups au cul. Adorable. Sinon, techniquement… J’étais Colonel des Forces Armées Américaines. Ingénieur en nucléaire, spécialisation déminage. Et plutôt bon sniper… Et je vais me retrouver… A matter des gosses. Non, pardon… A encadrer des gosses qui ne savent pas ce qu’est le respect, qui sont révoltés, qui vont nous détester alors qu’ils ignorent tout ce que l’on fait pour eux.
• Qualifications, Etudes & Parcours : Je ne me suis pas engagé dans l’Armée comme étant un dernier choix, ou un salut. C’était mon choix, mon avis, ma décision. Alors dès mes dix-huit ans, je m’y suis engagé, et j’ai fais mes études à l’université avec mon treillis sur le dos, et mes rangers aux pieds. Mais en même temps j’avais cette formation militaire à côté, parfois j’étais excusé pendant une semaine car j’étais ailleurs. Et ça m’allait parfaitement. En faite, je doute que je veuille continuer à monter en grade. J’ai envie d’action. Pas de diriger les commandants depuis notre pays, ou de mon bureau. Vous voyez ? Du coup, j’ai eût mes diplômes en nucléaire. J’ai eût une formation de tireur à l’armée, mais aussi en déminage. Les explosifs ca restent assez mon dada. Les bombes artisanales aussi, malheureusement.
Du coup, j’ai fais la guerre, j’ai fais de l’humanitaire, j’ai fais les secours, l’extraction, et j’en passe. Des reçus des honneurs, j’ai commandé, j’ai tué, j’ai perdu des hommes, et puis j’ai été blessé, et immobilisé un moment. Et j’y suis retourné. Bref, je suis un militaire. Et aujourd’hui, je vais faire du baby-sitting. J’ai envie de rire. Ou de vomir. J’en sais trop rien.
► L'institut Teenagers
• Présent depuis : Depuis l’arrivée du corps FAITH. Je sens que je vais m’y plaire… En toute ironie.
► Physique
« Colonel, c’est à vous. »
En simple sous-vêtement noir, et pieds nus, je m’approchais. Taille inchangée, plutôt rassurant : 1m91 et un demi centimètre. Toujours très précis. Je grimpais sur la balance et laissait faire la femme médecin sans rien dire.
« Cent soixante-dix-neuf pounds et demi. Vous avez perdu du poids Colonel. »
Soit environ soixante-dix-sept kilogrammes. Et tu sais pourquoi je perds du poids, tête de pioche ? … Non vaut mieux pas savoir. Je vins m’asseoir plus loin, et elle testa mes articulations. Ma vue. Ma respiration. Test que je déteste assez de faire : être enfermée dans une cabine en verre, retenir sa respiration, la reprendre à plein poumons… Et puis on prend la tension, et pendant une demi-heure, on se fait tâter. Oui tous mes organes sont en place. Il n’y a qu’un grondement qui glisse de ma gorge lorsque ses doigts vinrent appuyer non loin d’une cicatrice. Ma douleur était peut-être psychologique, je n’en savais rien, mais je lui en aurais retourné une avec plaisir.
« C’est bon. Les tests sanguins ont été faits avec mon collègue à ce que je vois… Aucuns soucis pour ma part. Faites juste attention à votre poids. Ca fait déjà 11 pounds de perdu en deux mois. Vous pouvez y aller Colonel. Bonne journée. »
Je sortais sans rien ajouter de plus, et je me dirigeais vers les vestiaires sans rien dire, passant devant quelques hommes. Je restais debout un instant face au miroir. J’étais grand. Les épaules plutôt larges et massives. Ce n’était que du muscle, ici, là, partout. C’est l’entraînement quotidien ca. Le sport c’est la vie. Je n’arrêterais d’en faire que lorsque je ne pourrais plus me lever. Et j’imagine que cela va arriver bien plus tôt que je ne le crois.
Ce qui détonne le plus chez moi… Ou du moins ce que l’on voit en premier, ce sont mes cheveux. Rouge feu. Ils sont plutôt longs. Les mèches les plus longues caressent mes omoplates. Et le côté gauche du crâne rasé. Teint en noir aussi. Parce que oui, au naturel, je suis blond. Mais trop pâle. Trop mort. Depuis que ma mère est morte, j’ai arrêté de les porter blonds. Sûrement traumatisé.
C’est vrai c’est un brin excentrique. Comme la griffe de 0.8 mm que je porte à l’oreille, et un anneau. Un industrial aussi, reste de mon adolescence. Quant au tatouage que je porte sur son épaule gauche… Ce n’est pas vraiment un souvenir d’adolescence. C’est que qu’on appelle un tatouage reconstructeur. Je l’ai fais en partis pour masquer une cicatrice. Il commence sur mon pectoraux et fini sous mon omoplate.
Des yeux verts, une mâchoire bien tracée. Du muscle, de la vitalité, et la vivacité. De la vie. Et pourtant, presque déjà dix kilos de perdu. Mes joues se creuseront, mes muscles disparaitrons, et j’allais moi aussi devenir un cadavre.
Peut-être que finalement, je me tirerais une balle avant de ressembler à ça. Je deviendrais fou à ne plus pouvoir être ce que je veux.
► Caractère
« Le Colonel Allen ? … Personne ne le connaît vraiment. Vous savez, c’est un peu le stéréotype du militaire. On ne l’imagine que dans ses rangers. Personne n’arrive à l’imaginer autrement, que dans ce rôle d’autorité, et de force. Il intimide, il le sait, il est autoritaire, et il inspire le respect. Nous souvent on sort, parfois pendant nos permissions, on s’amuse, on va voir nos femmes, on part tous ensemble en vacances. Parce qu’on est des frères ! Mais lui, il disparaît toujours. Après bon… Je ne vais pas passer mes vacances avec mon supérieur… Mais ce genre de chose, on le sait. » Lieutenant McLane.
« Khaless c’est... Un homme. Il est compliqué… Quand on ne le connaît pas, on pourrait penser qu’il est vraiment et purement machiste et sexiste… Mais pourtant, dès que l’on perce cette épaisseur de glace, il est… Khal c’est de la braise. Il est quelqu’un dans l’armée, il est quelqu’un d’autre quand il sort, quand il part… Chasser dirons-nous. Quand il est dans l’intimité. Il sait plaire, il sait attirer l’attention. Ses sourires charmeurs m’ont toujours fait fondre. Quand il veut quelque chose, il l’obtient toujours, ca c’est clair… C’est un homme passionné, spontané. Quand il aime, on le sait, on le sent. Il le cache plutôt bien, mais c’est un homme un brin romantique. Il aime profiter de la vie. Il dépense rarement d’argent, mais il est prêt à en claquer s’il le faut pour les vacances de nos rêves. Pour faire d’un séjour un véritable rêve… Mais Khaless, quand il est blessé, ou touché… Eh bien, il devient froid. Il redevient ce cher militaire que je me suis mise à détester de plus en plus. Il devient froid, et il devient blessant. Juste par fierté, juste pour se venger. Il redevient cet homme machiste, et ignoble. Et quand il y a un problème, surtout lorsque cela concerne ses sentiments… Il se tait. Il fuit. Il évite le problème. Jusqu’au jour où il explose. Généralement dans ces cas là, tout le monde en prend pour son grade… Alors qu’habituellement, Khal est franc. Voir peut-être même trop. Mais dès que sa franchise doit se lier à ses sentiments… C’est le chaos. Cet homme, je… Je l’ai longtemps aimé. Je l’aime sûrement encore, mais il était absent. Je suis fort probablement tombé dans tous les clichés des couples militaires, mais oui j’ai fini par avoir un amant… Maintenant, je suis seule et avec le SIDA. Il m’a juste quitté... Il ne m’a pas hurlé dessus, il ne m’a pas jeté dehors… Il s’est contenté de partir quand il a tout compris. Il a embrassé ma tempe, il a posé son alliance sur la table, et il est parti avec ses valises. Alors que j’ai conscience que j’ai détruis sa vie. Sa carrière militaire, et qu’il avait confiance à moi. Qu’il m’aimait vraiment… Parce que oui. Khal est un homme généreux, un homme investit qui a la main sur le cœur. C’est surtout quelqu’un de fidèle, et qui n’a qu’une parole. J’ai tout détruit… » Gabrielle Dawn.
« Khaless ? Je...je ne saurais que dire de cet homme, si ce n'est qu'il est quelqu'un d'admirable ! Vraiment, il représente l'autorité à lui seul ! Il est devenu mon modèle, la personne qui ressemble le plus à mon père & de part ce fait, à mon idéologie ! Je ne lui ai encore jamais adressé la parole, mais j'ai entendu tellement de chose à son sujet... Je suis persuadé que le jour ou j'oserais aller vers lui, il sera avenant, tout en gardant cette froideur qui fait de lui une personne imposante ! » Aaron Davis.
« Khaless… ? Ca doit bientôt faire cinq ou six ans que je le connais. Un pote de la faculté. Ou plutôt un ami. Je me souviens surtout Don Juan qu’il était pendant nos années d’études, toujours entourés de minettes. Je crois d'ailleurs qu'il aimait ça. Non, en fait j’en suis sûr. Il aime séduire, c’est un charmeur dans l’âme. Toujours dehors à faire des sorties, à s’amuser car il ne peut pas tenir en place. Jamais il ne pourrait rester enfermer des heures entières à ne rien faire, ça le rendrait fou. Alors il sort beaucoup, il occupe toutes ses journées et soirées. En boîte ou en faisant des sports extrêmes parce que c’est vital pour lui. Je pense d’ailleurs que c’est pour ça qu’il a rejoint l’armée. Et puis… le nucléaire franchement, il faut aimer le danger. Aimer la montée d’adrénaline pour se trouver vocation dans le déminage qui plus est. C’est une pile qui ne s’épuise jamais et il faut bien avouer qu’il est souvent difficile de le suivre dans tout ce qu’il fait. Il a toujours des projets plein la tête et s’y prend toujours à l’avance pour organiser ses voyages. C’est surement son plus gros point faible, retirez lui le droit de s’évader, en sensation forte ou en découvrant le reste du monde, et vous le tueriez.
Mais le plus drôle c'est quand il dit être « organisé » pour justifier que les choses soit bien faites – comme il les veut. Honnêtement, je dirais plus que c'est un maniaque, parfois même obsessionnel. Chaque chose à sa place, tout est… terriblement carré avec lui. Mais ce n’est pas l’armée qui l’a rendu ainsi. Il l’a toujours été.
Sinon, Khal va au bout de ses convictions. Toujours. Quand il y croit dur comme fer, c'est surement pour ça qu'il passe souvent pour une tête de mule ou un borné. Il est ambitieux, ce qui explique sa réussite et le fait qu’il soit monté si vite en grade. Un acharné ? Il s'investit toujours au maximum dans ce qu'il entreprend. Trop peut-être. On ne peut pourtant pas le lui reprocher ou lui en vouloir. C’est un battant. Mais un gagnant surtout. Il est le meilleur dans ce qu'il fait. Jamais je ne l’ai vu baisser les bras ou encore se laisser abattre. Il est l’image même de la persévérance, du type fort qui réussit, mais pas sans sacrifice. Il en est conscient mais je crois que l’armée en fait c’est un peu sa femme parce qu’elle lui offre tout ce dont il a besoin : le risque et le fait de pouvoir constamment bouger. Bref. C’est un mec qui te donne le sourire par sa vivacité et qui ne manque jamais de bons conseils pour t’aider. C’est un type franc, et très direct, qui peut vite te calmer si tu le prends pour un pigeon. Et c’est bien pour tout ça que c’est un mec qui plait, parce qu’il est entier et naturel. » Caleb Weiss.
Mais le SIDA a changé sa vie. Il ne sort plus vraiment. Il a perdu l’envie de s’amuser. Il a arrêté de faire des projets, d’organiser ses vacances dans deux ans avec son meilleur ami, parce qu’il ne sait tout simplement pas si il sera toujours de ce monde. Il ne se fait pas d’illusion, il est très terre à terre. Il n’a plus envie de chercher la personne avec qui il passera sa vie, il n’a plus envie de s’ennuyer avec l’amour, la confiance, la fidélité, le mariage, et puis avouer un jour qu’il a le SIDA. Non. Jamais. Il n’a pas envie de faire espérer quelqu’un, ou de se faire espérer lui. Il est donc seul, et ca lui va très bien. Mais ne croyez pas pour autant que Khaless est dépressif et qu’il est devenu ermite ! Il savoure bien plus sa vie, bien au contraire, sans s’encombrer de tout ce qui ne lui est plus nécessaire. Alors il continue à vivre sa vie à fond, à sentir son cœur s’emballer. Parce qu’il sait qu’un jour il devra tout arrêter, lorsqu’un malheureux jour, après une prise de sang il verra que son taux de LT4 a exploser le plancher. Jour fatidique où la multitude de médicaments n’a pas réussis à empêcher le virus à infecter son être. Le jour où un simple rhume pourrait le tuer, ce jour là, il sera mort bien avant d’avoir rendu l’âme. Ce jour là, un simple balle écrirait la fin de son histoire.
► Affinités Particulières
• Aime/n'Aime pas : Je déteste le désordre. J’aime les choses propres et rangées. Je n’aime pas les femmes vulgaires. Je n’aime pas l’infidélité tiens. Je n’aime pas les personnes qui ne restent pas à leur place. Je déteste me faire diriger par une femme. Je déteste avoir tord. Je n’aime pas présenter mes excuses. Parce que je dis toujours ce que je pense. Je déteste voir un de mes hommes mourir au combat. Je déteste les sourires de ces connards. J’aime la simplicité. J’adore qu’on me foute la paix. J’aime qu’on me dise la vérité. Je déteste que l’on me tourne autour. Je ne supporte pas que l’on termine quelque chose à ma place, ou que l’on touche à mes affaires. J’aimais faire l’amour. Ou coucher, ou baiser, selon votre vocabulaire. Je n’ai jamais autant détesté les médicaments.
Quand ma sœur me les brise, je l’appelle « Femme ».
• Goûts Musicaux : J’adore le classique, avec une nette préférence pour le piano. Et surtout le violon. C’est vrai, on s’est plusieurs fois marrer. C’est pas tout les jours qu’on fois un homme en train de nettoyer son SV sur du Tchaïkovski. Bon sinon à cause des jeunes j’ai plutôt bien accroché à Linkin Park. Mais je reste plutôt sur des musiques sans paroles. Parfois musiques industrielles. Je n’aime pas ce que nous attendons à la radio. Mais j’ai besoin de musique rythmée pour faire mes séances de sport matinales.
• Goûts Culinaires : Pour ce qui est de mangé, je ne suis pas difficile : je suis militaire. Mais je sais cuisiner. Plutôt bien d’ailleurs, mais j’ai souvent aucune motivation pour. Je sais apprécier la grande cuisine, mais y en a jamais assez dans l’assiette. J’préfère les plats familiaux : des pâtes pour trois régiments entier, et j’en passe. J’aime la simplicité. Ou sinon je commande : c’est encore plus simple. Ou je vais au restaurant. Et puis j’aime la cuisine épicée.
• Goûts Vestimentaires : Treillis et ranger la plupart du temps. C’est rare que vous me voyiez habiller autrement. Sinon c’est chemise, jean. Je dois bien avoir deux trois costumes, mais ce sont aussi des uniformes militaires. Et un noir, fait sur-mesure, réalisé pour je ne sais plus quelle occasion… Mon mariage peut-être. Sinon je suis souvent aussi en débardeur et jogging basket. Voilà. Cela sera tout ?
► Histoire
« Vous avez désobéi… Allen ! Vous êtes cons ou quoi ! Vous aviez reçu l’ordre ! QU’EST-CE QUE VOUS AVEZ DANS LE CRÂNE BORDEL ! Il était simple ! Clair ! Pourquoi ? POURQUOI ! REGARDEZ-MOI ! Et répondez ! On pourrait vous faire tomber pour trahison ! Vous m’entendez !? - J’ai fais ce qui me semblait juste. »
Un silence glacial prit place entre nous. Nos regards étaient planté l’un dans l’autre. Dominer l’autre de ces éclats de feu et de colère, ou bien de froideur et de haine. Dans l’attente que l’un baisse les yeux, et fasse ce qu’il devait faire. Mais non.
« On ne vous paie pas pour faire ce qui vous semble juste ! Petit c** ! Quand votre supérieur vous donne un ORDRE, vous l’exécutez ! Quoi qu’il arrive ! - Vous nous avez demandez de jeter des bombes à projectiles… Dans ce village ! Il y avait des enfants ! Des femmes ! Des civils innocents ! Alors que j’avais des hommes, des snipers, un commando ! Nous aurions pu… - Ils sont morts, Allen. MORT. De VOTRE faute. - Vous nous avez court-circuit— - TAISEZ-VOUS ! Vos insignes. Tout de suite. »
Ma mâchoire se crispa. Six ans de service. Et voilà comment on me remerciait. J’étais l’un des éléments les plus utiles de leur armée. J’avais toujours obéit. J’avais toujours réussis ce que j’entreprenais. Et avec brio. J’étais un exemple pour mes cadets, et une menace pour mes supérieurs. Parce que je grimpais, toujours plus haut. Et les langues de putes ne cessaient de cracher à mon compte. Mais non. Jamais. Jamais mon père n’avait favorisé aucune de mes démarches. Bien au contraire. Le grand, le merveilleux, l’inoubliable Général Allen.
Sans un mot, et dans un geste brusque j’arrachais mes insignes. Mes grades. Trop nombreux pour me donner un air théâtral. Me convier à une cérémonie, juste pour mieux me baiser. Ces chiens. Ces enculés de première. Toujours à te lécher le cul, quand tout va bien pour eux. Mais ce sont les premiers à te planter par derrière. Je sers mon pays, je le représente lorsque je porte cet uniforme. Je voulais me sentir utile à ma Patrie, je voulais avoir un but, une raison de vivre. Sauver des vies. Aider les peuples. Bref. J’étais un militaire engagé, un militaire de métier.
Et aujourd’hui je n’avais plus rien.
Je tournais les talons sans un mot, après avoir tout jeté sur la table. Plus rien. Je claquais la porte. Je me contre-foutais de lui manquer de respect encore. Après j’avais désobéis, avait-il si bien dit. Je n’étais pas prêt de revoir l’Afrique. Ni même l’Indochine. Oh non. Je ne sais pas si cette décision était définitive. Je savais juste que j’allais devoir siéger à mon propre procès.
Sous le regard de mes collègues, je quittais le bâtiment. Pour la première fois de ma vie, je quittais la base en pleine semaine. Et pas avec un véhicule militaire. Non. Avec le mien. Pour rejoindre un hôtel. Parce que oui, je n’ai jamais eût l’utilité d’un appartement ici, comme ailleurs. J’étais toujours ailleurs. A l’étranger. Dans des bases militaires. J’étais un de ces hommes qui n’avait plus de vie, qui n’avait plus rien à perdre. Qui ne réclamait pas de congé paternité, ni un congé pour souffler, ou pour profiter de ses gosses. On savait où venir me trouver, et on venait me chercher. Encore. Encore. Et encore. Et j’adorais ça. Vous sentir utile. Vous faufilez pour atteindre vos objectifs. Entendre votre cœur battre à tout rompre, alors que votre œil se fond à votre lunette pour tirer dans le mile. J’ai tué. Ouais. Bien plus que vous ne pourriez vous l’imaginez. Et quoi que l’on dise, un homme qui a tué, recommencera toujours. C’est une drogue. C’est quelque chose d’indescriptible. Ca nous détruit. C’est violent. On en rêve. Ca nous hante. Mais les plus forts recommenceront. On ne tue pas pour le plaisir. Peut-être certain oui. Mais c’est pour la nécessité. Pour moi. Mais quand on me demande de transformer des familles en chair à canons, pour détruire quelques mercenaires, soldats planqués. Non. Je ne suis pas désolé. Les sources ne sont pas sûres. Non. On peut se mêler parmi eux. Je me contre fous si cela doit pendre trois mois ! Mais on les aurait trouvés autrement. Nous étions postés, organisés, nous étions d’accord. Nous avons désobéis ensemble… Et même si je les déteste. Je referais exactement ce que j’ai fais. En mieux. J’aurais évité de voir un autre groupe court-circuiter nos manœuvres, et voir la plupart de mes hommes et ce village entier exploser. Sous mes yeux. Ne plus rien entendre, voir, pendant quelques minutes. Juste ton cœur. La stupeur. Le vide.
Vide. C’est aussi ce qu’est ma vie. Et cette chambre d’hôtel. J’y abandonne mes affaires, et cette colère que gronde toujours en moi, j’essaie de la noyer sous une douche. Mais elle est tenace. Imprenable. Je la maintiens la tête dans l’alcool. Là, assis sur un balcon, la nuit tombée, à boire verre après verre. Je suis un esprit faible. C’était indigne de ma part, et pourtant, j’avais envie d’oublier. Oublier tout et partir loin… Mais lorsque je fermais les yeux, je voyais ma mère. Je voyais cette femme magnifique détruite par sa maladie. Un cancer des os… Doucereuse et dangereuse maladie qui lui suçait la vie. Un cadavre qui respirait. Voilà ce qu’elle était. Et ses dernières paroles à mon égard résonnent encore dans mon être. « Je t’en prie, mon ange… Ne deviens pas comme lui. » Lui. Lui qui ? Sans conteste j’ai toujours pensé qu’elle parlait de mon père. Cet être qui au fur des années, lorsque cette maladie détruisait leur couple, notre vie, s’est renfermé. Eloigné de nous. Il n’était plus notre père, juste notre Général. Un homme froid. Insensible. Inhumain. Ne pas devenir comme lui… Parce que je le devenais sûrement. Toujours plus fort, toujours plus dur à transpercer pour mieux avancer. Pour qu’il soit fier de moi. Pour qu’ils soient fiers de moi.
Je n’en sais rien. J’ai perdu ma mère lorsque j’avais 20 ans. J’étais là ce jour là. Nous étions là, moi et ma sœur jumelle, lorsqu’elle a rendu son dernier souffle. Je me souviens d’avoir aperçu mon père aussi. Mais il est partit si vite. Nous étions anéantis, et pourtant nous savions que tôt ou tard elle partirait. Une de ces maladies que l’on ne soigne pas. Je sais que Calliste ne l’a toujours pas accepté. Elle ne l’acceptera jamais. C’était un rêve d’ado de sauver maman. De devenir médecin et de la sauver. De devenir son preux chevalier. Alors on faisait notre possible pour lui tenir compagnie, pour la faire sortir. Et puis j’ai fuis… Parce que c’était tout simplement invivable. Regarder quelqu’un que vous aimez mourir, sans que vous ne puissiez rien faire. J’étais égoïste. Mais j’avais une excuse. Et j’étais là quand elle s’est envolée… Non ?
Ma sœur. J’ai perdu ma sœur aussi. Ma jumelle. Ma moitié. Je ne sais pas si vous connaissez des jumeaux. Mais ils vous diront tous que c’est tellement fort. Tellement spécial. Nous pourrions nous détester. Toujours je reviendrais pour la soutenir, l’aider, la prendre dans mes bras, la réconforter. Même si pendant deux ans nous nous ne sommes pas vus. C’est ma moitié. C’est ma fleur. C’est Lys. Mon ange. Ma jumelle. Ma confidente, mon amie. Une dispute. Violente. J’étais comme mon père disait-elle. Insensible et égoïste. Insensible et prétentieux. Peut-être. Sûrement. Elle avait sûrement raison. Mais c’était ma carrière ma vie à présent.
Mais même ca je l’ai perdu. A l’instant.
Un verre de plus, vite. Je ne pus m’empêcher de grimacer lorsque le liquide brûla ma gorge. C’était infecte, si pur. J’allais finir par vomir. Ou tomber dans un sommeil délirant ou tout tanguerait autour de moi. C’est juste délirant. Même Gabrielle, je n’ai pas su la garder. En même temps… Difficile après tout ça. Gabrielle était petite. Fine. Mais elle était magique. C’était une nymphe. D’une délicatesse et une grâce qui m’avait toujours fait sourire. C’était l’innocence qui transpirait dans ses gestes. La bonté. Mais c’était une salope. Comme d’autre. Une femme qui savait ce qu’elle voulait, qui savait jouer de son charme, et qui manipulait. Et je l’aimais. C’était ma fiancée. On devait se marier. Oui. On devait. Sauf qu’un jour, pendant une visite médicale… Après quelques tests sanguins, ce qui est fort courant à l’Armée… J’ai découvert que j’étais séropositif au VIH. Et j’étais fidèle. Peut-être qu’elle allait voir ailleurs parce que je n’étais pas assez présent… Sûrement. Mais en plus d’aller voir ailleurs, elle m’a refilé sa m*rde. Alors voilà. J’ai perdu ma femme. Ma vie. Et ma carrière.
A cause d’une maladie. Toute ma vie, je n’ai jamais fumé. Je ne buvais jamais. J’ai toujours fais du sport. Je mangeais sainement. J’avais une santé de tonnerre. Je faisais tout pour être le meilleur. Et je l’étais. Mais là… Quand on vous dit ca… C’est la promesse qu’un jour vous aurez le SIDA. Qu’un jour, ce pourquoi vous avez autant codifié votre vie, allait vous échapper. Parce que le jour où je ne serais plus capable de respirer comme il se doit, de garder une santé d’acier, quand je ne serais plus capable de supporter le stresse, quand je ne pourrais plus bouger sans me chier dessus…. Je perdrais tout. Je n’aurais plus rien. Ni femme. Ni enfant. Ni travail. Ni sœur. Ni mère. Ni père.
Juste seul. Seul et abandonné. Seul et avec ta misère.
Alors je reste seul. Je remercie encore et toujours ce médecin qui a fait disparaître ces résultats. Mais je sais qu’un jour je partirais. Parce que je veux disparaitre la tête haute. Mais là. Là. Tout s’écroule. Je vais être jugé. Jugé pour désobéissance. Je trouve cela assez ironique…
Ce qui l’est bien plus encore c’est la décision qu’ils ont prit. M’envoyer en Californie pour aller… redresser des gosses. Mais surtout en tant que Cadet, juste pour apprendre à OBEIR. Un CADET ! …. Tsss. C’est d’un pathétisme hilarant. Qui y en ait un qui me chie un mot de travers, je vais le remettre à sa place. Bande de cons, de péteux.
► Joueur/Joueuse
• Mot de Passe pour la Validation : [Code mangé par Scarface Rab' a.k.a. Lulu] • Comment avez vous découvert le forum : J’suis admin d’ssus. • Commentaire : N’y pense même pas.
Dernière édition par Khaless Allen le Dim 26 Aoû 2012 - 18:46, édité 2 fois |
| Moon A. Namidakase | Résidente ♥ Modérateen
Surnom : Moony, Birdy. Âge du Perso : dix neuf ans Orientation : Bisexuelle Admission : un certain 11/02/2009 Autorisé à sortir : Accordée
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Age : 31 Messages : 795 Jeux +16 : Oui Disponibilité : Hum... Je passe.
RP' : Wanna Be my medicine ?
MEDAILLES :
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Casier Judiciaire Avertissement: Nombre d'Arrestations: Moon : 1 Délits Commis: | | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Mer 22 Aoû 2012 - 11:55 | |
| Bienvenue ! Je crois avoir deviné de qui tu es le double compte (bon en même temps c'est pas bien difficile mais j'ai un cerveau de blonde donc chhhht). Ton personnage me plaît déjà ! Surtout qu'il est rare de voir des personnages atteints d'une maladie telle que le SIDA. Attention cependant j'ai pu repérer quelques fautes d'orthographes éparses de-ci de-là, sansd doute d'inattention, notamment sur des conjugaisons, par exemple un t à "Vous avez désobéit" première ligne de ton histoire, alors qu'il n'en faut pas, et deux trois autres sans grande importance mais qui gagneraient à disparaître : )
Enfin bref voilà, sinon pour l'instant ton histoire me plaît beaucoup, j'attends la suite ! Bon courage : ) |
| | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Mer 22 Aoû 2012 - 14:36 | |
| J'ai toujours trouvé ça bizarre les modo ou autres admins qui viennent commenter les fiches des autres admins...m'enfin ça, c'est juste l'habitude xD Re bienvenue mon p'tit Kyll & c'est moi qui dit ça 8D |
| Khaless Allen | Professeur de Remise en Forme
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| | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Mer 22 Aoû 2012 - 22:00 | |
| Merci à vous ! J'ai relu, mais bon. Moyen moyen.
Plus que le caractère, allez ! |
| Lucy Cantarella | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Jeu 23 Aoû 2012 - 0:21 | |
| C'est vrai que Moon qui parle à Kyllian comme à un nouveau, ça à le don de m’exploser de rire sur moins clavier x') Mais ça veut pas dire qu'elle avait tord.
Allez, courage Kiki ! Je te mets une boite de câlin pour tenir le coup ! Moon, un câlin à toi aussi >w< ♥ |
| | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Jeu 23 Aoû 2012 - 14:54 | |
| J'ai essayé de me retenir de poster avant que tu l'ai fini mais j'ai pas pu...
Donc je te souhaite la re-re-bienvenue et bon courage pour ce qu'il te reste à faire .o/ Et heu... pressé ♥ |
| Khaless Allen | Professeur de Remise en Forme
Surnom : Khal Âge du Perso : 26 ans Orientation : Hétérosexuel Admission : Depuis peu. Autorisé à sortir : Accordée
Teen's : 4633
Age : 30 Messages : 85 Jeux +16 : Oui Disponibilité : Principalement le week-end. Ou tard
MEDAILLES :
SECTES :
| | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Dim 26 Aoû 2012 - 18:48 | |
| Thanks Luca !
Voilà, Ludovic, la fiche est terminée, tu peux revenir poster ~
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| | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Dim 26 Aoû 2012 - 19:05 | |
| Et me voilà ~! A part les quelques fautes d'inattention, rien à redire. Tout y est. Donc je pré-valide. Et valide ♥ |
| Khaless Allen | Professeur de Remise en Forme
Surnom : Khal Âge du Perso : 26 ans Orientation : Hétérosexuel Admission : Depuis peu. Autorisé à sortir : Accordée
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Age : 30 Messages : 85 Jeux +16 : Oui Disponibilité : Principalement le week-end. Ou tard
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| | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless Dim 26 Aoû 2012 - 19:07 | |
| Merci, Lieut'nant. Allez ouvrir notre sujet maintenant ! |
| | Sujet: Re: Khaless Allen •• More is less and useless | |
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| | Khaless Allen •• More is less and useless | |
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