► État Civil
• Nom & Prénom : Camélia Erwen.
• Surnom : Cam, Camy, Camounette
• Age : 20ans
• Date de Naissance : 18 Aout
• Lieu de Naissance : Las Vegas
• Nationalité : Américaine
• Sexe : Féminin ._. on en doute ?
• Orientation Sexuelle : Bisexuelle
► Casier Judiciaire
• Nombre d'arrestations : 3.
• Délits commis : Vol, Disparition de preuve, complicité de meurtre (charge abandonnée faute de preuve).
► L'institut Teenagers
• Présent depuis : Deux mois.
• Chambre ou Dortoir : Dortoir !
• Intégré à cause : Vols, prise en flague de disparition de preuve & possibilité de meurtre.
► Physique
• Taille : Camélia, elle est grande. Camélia, elle voit la vie d’en haut. Tellement grande, que notre jeune fille ne met que peu de talon. Camélia, elle fait 1m79.
• Poids : Courir, sauter, faire de l’escalade… Cam est accro au sport en général. Ce qui fait de sa silhouette, une impression de musculature à peine dévoilée. Gardant ses formes féminines, elle reste légère, un peu en sous poids par rapport à la norme des gens mais elle ne s’en plains pas. Le principal, c’est de ne pas s’envoler par grand vent.
• Ses cheveux : Longs et noirs, ses cheveux, elle en prends soin. Parfois l’envie de les couper lui prends, mais finalement, elle ne le fait jamais. Après tout, les cheveux sont précieux pour une femme. Il faut avouer que, naturellement, ils sont blancs mais elle ne supporte pas cette couleur, alors la teinture noire est de mise.
• Ses yeux : Etranges yeux que voilà. En bonne albinos, Camélia a les yeux qui apparaissent rouges. Un beau rouge rubis qui brille d’une intelligence presque malicieuse. Lorsque la nuit tombe, ou que le soleil se cache, on peut voir qu'ils sont d'un bleu très clair et très pur. Rares sont ceux qui le remarquent d'ailleurs.
• Autres : Un tatouage sur l’avant bras en forme d’écriture japonaise « 人生は人生だ »
► Caractère
D’un calme rare, Camélia sait affronter diverses situations avec un détachement profond. Cela dit, en général, c’est une jeune femme pleine de vie, capable de surprendre la plupart des gens devant une telle envie de vivre. Ouais, Cam, elle adore la vie. La jeune femme est quelqu’un de vivant qui bouge dès qu’elle le peut. Dans son cœur, c’est une enfant. Une douce enfant gentille mais qui n’a plus aucune trace d’innocence. Facile à vivre, elle n’est guère chiante, Camélia. Elle adore lire d’ailleurs. C’est l’un de ses passes temps préférés. Sinon, l’escalade ou ce genre de truc, elle aime bien. Cependant, il faut bien avouer que la donzelle n’a pas conscience du danger, elle peut très bien foncer droit sur un tueur sans même percuter qu’elle peut y laisser la vie, aller dans un endroit réservé aux hommes et boire un verre sans voir qu’on la dévisage. Téméraire, Camélia reste quelqu’un de rapide et de dangereux. Malgré son apparence, son père en a fait une petite guerrière. Le hic ? Elle n’aime pas trop se battre. En plus, aucune utilité mis à part se tacher et aussi s’attirer des ennuis. Maladroite la plupart du temps, Camélia ne fait pas attention à ce qu’elle fait et se blesse souvent. Très souvent d’ailleurs. Sauf lorsqu’elle doit aider son père ou qu’elle tente de nettoyer une scène de crime.
Il est à noter que son cher papa est quelqu’un qui lui a dicté toute sa vie jusqu’à son arrestation. Elle lui est fidèle, l’admire et le craint. Il lui arrive même de penser que son amoureux sera comme lui mais en plus gentil. Elle ne parle jamais de cet homme si influant pour elle. C’est un tabou, ne lui demandez jamais ses origines ou elle risque de vous bouder. Oui, Camélia boude comme les enfants. En apparence, elle semble fort enfantine, une petite chose fragile et maladroite. En apparence. La belle délinquante n’est que trop naïve par instant mais ne vous avisez pas de la trahir ou elle risque de se venger. Rancunière lorsqu’on pousse le bouchon (comme Maurice), elle reste d’une franchise rare.
Mais, n’oubliez pas, même si elle reste enfantine, on lui a apprit à tuer. Même si elle ne cherche jamais les bagarres, elle sait se battre. Même si elle ne semble pas douée et intelligente, elle est capable de vous prouvez le contraire. Même si elle parait toujours joyeuse, elle pleure et crie lorsqu’elle est seule. Les apparences sont trompeuses.
Affinités Particulières
• Aime/n'Aime pas : Le sport, lire, danser, glander, câliner, tresser les cheveux des gens.
Dormir, s’ennuyer, la critique, se battre, les gens qui ronflent, les épinards.
• Goûts Musicaux : Faut que ça bouge. Camélia, elle veut de la musique qui déchire ! Du rock pur et dur ! Ouais ! Elle veut bouger son corps sur des rythmes indanssable ! Elle aime bouger la tête en même temps ! Que la musique l’emporte très loin, qu’elle oublie tout.
• Goûts Culinaires : Oh la cuisine ! Elle aime manger de tout. Sauf des épinards. Camélia ne sait pas cuisiner, pas le moins du monde mais elle adore manger, elle dévore comme quatre mais ne grossit pas. Elle aime bien aider à la cuisine mais attention aux dégâts.
• Goûts Vestimentaires : Camélia et les jupes, ça fait un million. Elle déteste ça et n’en porte jamais. Des robes à la limite, des longues robes de soirée comme dans les films, elle adore. Sinon, jean et t shirt ça lui convient très bien. Elle aime que ça aille vite le matin et prends juste dix minutes parfois pour souligner ses yeux. Ça reste rare et pour des petites occasions particulières. En gros, Presque jamais.
► Histoire
« Las Vegas. 24 ans en arrière.
-Fais le taire sale garce ! Je t’ai dis que ce gosse n’est pas de moi !
-Mais…
-Ta gueule !
Une main se leva, frappant une joue avec violence, projetant au sol un corps meurtrit. Pourtant, elle n’avait couché avec personne d’autre, Louisa. Elle était sur que cet enfant était de lui, du seul homme qu’elle ait jamais aimé. Malgré sa violence, ses exigences, sa jalousie, elle l’aimait. Le bébé avait cessé de crier en entendant le grand fracas d’une table qui tombe, entrainée par la chute de sa mère. C’était un poupon de quelques jours à peine, les joues rondes, des petits cheveux noirs et des yeux étrangement rouges. Petit corps potelé qui s’agitait dans la poussette, l’enfant était habillé d’une petite robe rouge ainsi que des chaussettes blanches. Lorsque l’homme se pencha par-dessus la fillette, il ne put retenir un hoquet de stupeur. C’était son portrait craché, impossible de nier quoi que ce soit. De rage, il prit les cheveux de la jeune maman et la frappa encore.
Cinq ans passèrent. Un fait divers dans le journal, l’annonce d’une mort, d’un arrêt cardiaque d’une femme. Juste un petit encart pour l’être le plus cher aux yeux d’une fillette de cinq années. Pourtant, devant le cercueil d’ébène, elle ne pleurait pas. Les cheveux mi-longs noirs, un regard perdu, une petite robe bleue nuit, des souliers vernis, elle était belle Camélia. Une fleur lancée dans la fausse, la terre recouvrant l’être aimé, Cam ne comprenait pas réellement ce qui se passait, n’étant sur que du fait que sa mère ne reviendrait plus. Elle resterait avec cet homme, celui qui voulait tant qu’elle se comporte comme un garçon, qui, à quatre ans, l’amenait déjà à ses sorties pour récupérer sa drogue et son fric. Il disait toujours qu’il apprendrait à sa fille toutes les ficelles du métier. Toutes. Même le meurtre. Le métier de ce charmant Don Juan ? Milicien. Membre éminent du crime organisé des Etats Unis. Spécialisation : Tueur à gage.
Onze ans. Une belle jeune fille entrant dans l’adolescence, des yeux malicieux et une dextérité exemplaire au combat. L’innocence fuyante de l’enfance, la réalité pure et crue. Pauvre Camélia. Obligée de subir les accès de violence de son mentor de père, obligée d’apprendre à survivre dans un monde cruel et sans état d’âme. Un déménagement à New York. Un dernier travail pour l’homme, le dernier coup avant la retraite. Le meurtre de trop. Arrêté puis emprisonné, l’homme ne sortirait pas de prison avant les 24 ans de sa fille. Fille qui fut confiée à l’assistance publique. Pourquoi ne trouvait-elle pas sa place dans le monde ‘normal’ ?
Une fugue, un vieil homme au détour d’une rue. Elle semblait si absente, si… dépourvue de sentiment. De la peine dans les yeux du vieux. Quelques années, deux trois plus tard, Camélia souriait enfin, pleine de vie, une pile électrique. Pourquoi le vieux trouvait-il cela amusant ? Elle, hé bien, elle trouvait que ce rôle était lourd. Mais cela faisait plaisir à son nouveau mentor. Et, elle voyait que ls gens ne s’occupaient plus trop d’elle grâce à ce masque. Puis, la mafia la retrouva, l’unique fille du grand tueur à gage. Cam fut contrainte de les suivre. C’était étrange, elle avait l’impression de retrouver sa véritable famille.
Apprendre un métier. Que veux-tu faire de a vie, Camélia ? Hésitation, indécision, finalement, elle n’avait pas envie de suivre son père. Dealeuse ? Il y en avait trop. Puis, elle découvrit le doux métier de nettoyeuse. Passer après la bagarre pour faire disparaitre toute trace des personnes devenues inutiles ou gênantes. Et elle était douée ! Trois ans d’apprentissage, six ans d’expérience. Une bonne couverture grâce à une boutique de fringue et au masque de joie et d’innocence qu’elle affiche. Un mépris évident pour la mort et la vie, un travail soigné et un don pour faire disparaitre les gens. Peut être que son père allait sortir. Elle venait d’avoir 20 ans. Mais elle s’en fichait, Camélia. Elle n’avait plus onze ans. Elle ne craignait plus cet homme. Elle était célèbre dans la mafia pour son travail. Elle avait des relations.
Cela dit, peut être pas assez de relation… Elle s’était fait arrêté par un menu larcin la première foi. Une envie d’un manteau de luxe. C’était idiot, elle n’était pas douée pour voler. Premier avertissement du juge. Une semaine passa et on la dénonça alors qu’elle faisait disparaitre une arme de crime. On cherchait des poux à la donzelle. Pauvre enfant. Deuxième et dernier avertissement. Puis. Comble du hasard, elle marchait dans la rue sans rien faire de mal lorsqu’elle fut prise dans une bagarre. Camélia se défendit, normal non ? Mais les flics arrivèrent et l’arrêtèrent une troisième foi. Aucune preuve, cependant, le juge n’accepta pas qu’elle reste en liberté malgré tout. Cruel dilemme. Deux ans de prisons ou direction un centre pour délinquant.
Le choix fut vite fait. Le centre. Et la voici, dégoutée de s’être faite piégée si bêtement. Mais la vie continue. Elle ne resterait pas toute sa vie enfermée ici. Et puis, elle n’avait guère le choix pour le moment, non ?»
► Joueur/Joueuse
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