► État Civil
• Nom & Prénom : ALECTO Praline,Ollie,Joylene
• Surnom : Appelez moi Joy tout simplement.
• Age : Entre 14 et 21 ans (Mineurs aux USA) 16 ans
• Date de Naissance : 10 Mai 1993
• Lieu de Naissance : Paris 13 ème
• Nationalité : double nationalité franco-américaine
• Sexe :
Je suis une fille bien évidemment, pourquoi tu veux vérifier? Ah!Ah! Pervers!
• Orientation Sexuelle :
Hétérosexuelle ou pas d'ailleurs. Je préfère largement les hommes en tout cas. Déjà qu'avec un mec je me prend déjà pas mal la tête...Alors je ne préfère même pas penser à ce que ça pourrait être avec une fille. Très peu pour moi les crêpages de chignon!
► Casier Judiciaire
• Nombre d'arrestations :
Deux si je me rappelle,enfin trois parce que jamais deux sans trois hein?
• Délits commis :
Fugue du domicile familial...Dans l'expression « domicile familial » il y a « familial » et là où j'habitais n'avait rien avoir avec ce que l'on appelle une « famille »
► L'institut Teenagers
• Présent depuis :
Tout juste un mois en fait, jusque là je n'ai pas encore osée me mêler aux autres. Mais là j'en ai marre de manger toute seule and co...Alors go!go!go!
• Chambre ou Dortoir :
Je suis en dortoir mais pour l'instant il n'y a personne avec moi, pourtant je ne ronfle pas.
Des volontaires?
• Intégré à cause :
Aussi incroyable que cela puisse paraître cela relève d'un choix personnel. C'était ça ou me retrouver « là-bas » alors je n'ai pas hésité une seconde.
► Physique
• Taille :
On ne peut pas dire que je sois très grande au contraire. Je mesure tout juste 1 mètre 60 mais bon j'avoue je triche je porte toujours au moins 6 à 10 centimètres de triche. Il est d'ailleurs très rare que je ne porte pas des chaussures à talons. Certains prétendent même qu'ils ne m'ont jamais vue sans talons. Le seul hic c'est que j'ai de petits pieds je fais du 35.
• Poids :
Non ce n'est pas un sujet fâcheux pour moi. Je suis très fière de mes 56 kilos, j'ai une poitrine généreuse un bon bonnet B qu'on prend souvent pour un C hihi.
Ce fut un tant j'étais plate comme une limande alors je ne vais pas me plaindre maintenant.
• Ses cheveux :
Je n'ai jamais coupés mes cheveux et comme diraient certains j'ai une crinière de lionne mais pas dans le style Tina Turner quand même. Ils sont longs épais et soyeux et moi bouh méchante que je suis je les maltraitent avec mon habituel teinture orange. Ce n'est pas si éloigné de mon châtain naturel mais tout de même. Mais bon ça me va bien donc tant pis, en échange j'en prend le plus grand soin et je peux vous dire qu'ils me le rendent bien jusqu'ici. Ils vivent d'ailleurs en totale liberté, je ne les attachent quasiment jamais.
• Ses yeux :
J'ai hérités des beaux yeux de ma mère. Ils sont en amande, très expressifs. Mes cils sont longs et légèrement recourbés alors moi pas connaître l'engin de torture appelé communément « recourbe-cils ». Leur couleur est assez commune noire tout simplement.
• Autres :
Un piercing à la langue rien d'autre, en somme rien de bien folichon. Je parle couramment français et j'ai d'ailleurs encore un peu gardé l'accent et j'aime ça.
► Caractère
• Qualités :
Ah benh tiens justement je n'aime pas beaucoup parler de moi à part si on reste « en surface ». Je ne trouve pas que je sois un sujet très intéressant. Au premier abord j'ai toujours l'air un peu timide.
Je parle donc souvent des autres et peu de moi. On me dit souvent que je suis compréhensive, souriante, un tantinet maternelle sur les bords. J'ai du mal à cacher mes sentiments, et ce que je pense en général. Faire rire et sourire les autres est un art de vivre pour moi. Je sais quand m'arrêter et être tout simplement attentive et être une très bonne confidente. Je suis assez prudente, avoir une vie pépère est mon but ultime en fait.
• Défauts :
Si quelqu'un en arrive à trop se mêler de mes affaires il vous dira forcément que :
j'ai un caractère de cochon.
Je n'aime pas que l'on me donne des ordres et j'aime encore moins les ordres déguisés en conseils. Comme si quelqu'un pouvait mieux comprendre que moi mes propres problèmes...C'est n'importe quoi. Autant je peux être très polie, mais si ce n'est pas mon jour je peux adopter un vocabulaire des plus imagée et me mettre à parler comme un poète maudit au cœur meurtri.
« Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine »
Bon ok j'arrête j'exagère un peu mais vous voyez ce que je veux dire? A part ça que dire sinon que je suis excessivement gourmande, je fais de délicieuses pâtisseries mais en cuisine ce n'est pas génial. Pour faire simple disons que si les pâtes n'existaient je serai morte de faim ou d'intoxication alimentaire.
• Centres d'intérêts :
Je suis une « touche-à-tout » je bricole des bidules totalement inutiles, je dessine, je peins et je dors le reste du temps. Non je plaisante bien entendu, je lis beaucoup de livres sur la psychologie enfantine, l'éveil des enfants et tout ce qui va avec tout ça.
Je ne compte pas élever une marmaille d'enfants mais j'aimerai être institutrice en maternelle ou en école primaire. J'avoue que je ne mentais pas en disant que dormir est un de mes loisirs. Depuis que je suis assez épuisante comme nana (à ne pas prendre dans le mauvais sens hein bandes de coquinous!) même pour moi-même alors je dors beaucoup.
J'aime aussi beaucoup écrire, j'écris des pages et pages de tout et n'importe quoi. Par exemple, si un bon souvenir me revient en tête je l'écris et le conserve précieusement, si c'est un mauvais je déchire la feuille. Quand je fais ça c'est d'ailleurs le plus souvent en français, je m'exerce encore tard le soir dans ma chambre pour ne pas perdre la main.
Affinités Particulières
• Aime/n'Aime pas :
Faire de la pâtisserie pour les autres/Bronzer (je le suis naturellement hé!hé!hé!)
Peindre avec mes doigts c'est mon côté « Regardez-moi j'ai cinq ans!!! »/les ascenseurs
le chocolat/ Qu'on me regarde dormir
Parler des heures avec quelqu'un sans s'en rendre compte (on dirait un stupide groupe facebook mais j'assume)/ les massages (je suis excessivement chatouilleuse et je finis pliée de rire avec un point de côté alors sans moi en plus de ça cela me rappelle un souvenir assez honteux).
• Goûts Musicaux :
J'aime les vieilles chansons plus ou ringardes par ailleurs j'écoute de tout en fait, je me réveille sur du YMCA et m'endort avec en fond Whatever Lola Wants. Je n'ai même pas honte et si on se prête à la mode d'aujourd'hui être décalé par rapport aux autres c'est être IN. Donc en écoutant du YMCA c'est IN, donc je suis IN.
• Goûts Culinaires :
Je mange de tout, je ne suis pas difficile. Mais mes goûts et la quantité de nourriture que je mange varie d'une saison à l'autre. En hiver et en automne je mange beaucoup, j'aime manger des plats épicés, des fruits. Au printemps, j'aime manger des gratins et assez peu de viande et surtout pas d'épicé. En été je mange très peu, je mange beaucoup plus de sucré que de salé et je bois peu d'eau.
De ce point de vue là je suis une vraie girouette.
• Goûts Vestimentaires :
Je ne porte quasiment jamais de pantalon, surtout des robes et jupes. Quand il fait froid je porte des leggings sous mes robes et jupes. Mon look s'apparente plutôt aux filles des années 50-60. J'aime les couleurs vives et je ne m'en prive pas (sans être ridicule pour autant).
Je porte souvent des serres-têtes colorés, des gros nœuds dans mes cheveux ou sur mes vêtements. Je n'aime pas les vêtements trop serrés mais je porte souvent des robes serrés à la taille.
► Histoire
24 Octobre 1990
Je me rappelle que lorsque j'ai commencée à poser des questions sur mes parents à ma grand-mère elle s'est contentée de me mettre sous le nez un énorme cahier le journal intime de mon père en voici le contenu:
Cher journal,
je crois que j'ai bien merdé comme on dit. Je suis ce qu'on appelle un mec « raisonnable ». J'ai été relativement bien élevé par ma mère une organisatrice de mariage autoritaire mais adorable quand elle le veut. Mais cette semaine j'ai vraiment foutu en l'air tout ça, moi Adrian Alecto j'ai TOUT envoyé en l'air.
Pour commencer lundi mes élèves n'ont rien glandé en cours, je me suis vraiment demandé à quoi cela servait d'être professeur de musique de nos jours. Je me suis dit que j'aurai mieux fait de rester au conservatoire.
Quoiqu'il en soit je suis allé déjeuné avec ma fiancée qui au passage m'apprend qu'elle s'emmerde avec moi. Sur le coup j'ai pété un plomb, d'habitude je la laisse m'insulter mais là c'était trop.
Je l'ai traité de « grogniasse insatisfaite », elle m'a giflé et s'est barrée.
Durant les trois premières heures je me suis senti libre comme l'air, après le travail ce n'était pas la même chose. J'ai réalisé que j'étais à nouveau « seul » et cette idée ne me plaisait pas tant que ça.
En effet, en plus d'arranger le mariage des autres ma mère n'hésite pas à vouloir organiser comme du papier à musique ma vie sentimentale.
Elle me présentera des Bérangère, des Cunégonde et des Gertrude...Très peu pour moi.
J'ai appelé un ami, pas n'importe lequel bien entendu « THE gros fêtard » le mec qu'on ne voit que les soirs de cuite et de grosse fiesta. Autant dire que je ne l'avais pas vu depuis 5 ans.
Il est arrivé dans sa décapotable rouge, son décolleté de latino laissant ses poils de torse apparent et son sourire Colgate aux lèvres.
Vers 2 heures du matin, pour la première fois depuis 2 ans j'étais éveillé et pas pour corriger des copies cette fois. J'étais accoudée au bar quand je l'ai vue. Ses cheveux étaient bouclés et lui donnaient un air un peu sauvageon, sa peau couleur caramel allait parfaitement bien avec sa petite robe à fines bretelles. Ce qui m'amusa le plus c'était qu'elle portait des tennis.
Elle était parfaite, moi bourré et donc sûr de moi comme pas deux. Après une heure de remuage honteux sur la piste je lui ai proposé de la raccompagner. Là elle s'est mise à sangloter en me disant qu'elle est déjà « prise », j'avoue lui avoir dit le plus simplement du monde que tout ce que je voulais d'elle c'était un mariage champêtre, trois gosses et une maison bleue sur la colline. Elle a ri et m'a dit qu'elle s'appelait « Allison » Je l'ai ramenée chez moi, « au réveil » (peu dormis hé hé) elle était encore plus jolie que la veille et j'ai remarqué un petit accent anglais. Elle a dit trouver que mes cheveux roux sont sublimes et a passé la matinée à essayer d'embrasser chacune de mes tâches de rousseur. Après le petit déjeuner Allison est partie en sanglotant...
J'étais triste comme un mort quand je suis allée rejoindre ma mère à son travail. Elle m'a grondé à propos de la « grogniasse insatisfaite ». Puis m'a invité à venir déjeuner avec ses clients, un très jeune couple dont le mariage avait été arrangé bien avant que les petits spermatozoïdes qu'ils étaient gagnent la course. En somme c'était un mariage d'argent.
Je le vois lui arriver de loin, grosses dents blanches, polo noué sur les épaules, cheveux blonds impeccables, et elle...Elle c'était MA ALLISON.
Elle m'a fixé durant quelques instants de ses yeux en amandes et a filé aux toilettes. Je suis resté seul avec LUI et ma mère et vu mon état à mon insu je me suis fait embaucher comme pianiste attitré pour le mariage. Elle a fini par revenir, les yeux rougis.
Moi en rentrant j'ai réalisé que merdouiller n'était pas une si mauvaise chose. Le mariage aurait bien lieu mais sans Allison,j'allais l'arracher des griffes du blond. Le plus beau dans tout ça c'est que je n'ai même pas de peine pour ma mère.
PS: Ce matin j'affichais un sourire béat en cours, mes élèves m'ont demandé si tout allait bien j'ai dit que c'était ça l'amour et les aient cordialement invités à participer à une interro' surprise.
Je les aient aussi forcés à chanter « Allison c'est ma copine à moi! »
10 décembre 1990
Était-ce un rêve ou bien la réalité?
Cher journal,
j'ai vécu la journée la plus étrange et la plus géniale de toute ma vie et tout ça avant-hier.
Avant hier était tout bonnement le jour du mariage d'Allison. J'ai eu beau trainasser chez moi ma mère ne s'est pas gêné pour m'extirper de mon lit et m'ordonner de venir jouer à son foutu mariage.
Soit dit en passant elle m'a menacé de me laver elle-même si je ne bougeai pas mes petites fesses.
Bref, je me suis fait une raison et l'ai suivi.
Tout le monde était là, la famille les amis d'Allison et d'Albert. Tout le monde était là sauf la principale intéressée.
J'ai dû recommencer à jouer la marche nuptiale au moins cinq fois avant que ma mère vienne me chuchoter à l'oreille que la mariée voulait me voir. A cet instant je me suis demandé « Pourquoi moi? ». C'est vrai j'étais la dernière personne à qui parler en cas de doute sur le fait de « sauter le pas ». Qu'est-ce qu'elle croyait que j'allais lui dire « Albert est merveilleux, vous allez sublimement bien ensemble . »
Mais les choses ne ce sont pas passés comme ça.
A peine arrivé dans la loge elle m'a sauté au coup, serré fort, trop fort. Tout s'est embrouillé dans ma tête pendant ses explications. Tout ce dont je me rappelle distinctement c'est qu'elle a fini par me dire « Je t'aime. » Je ne pus m'empêcher d'afficher un sourire béat quand elle brandit des billets d'avion à destination de Londres. Nous sommes partis, ma mère, les invités et ce cher Albert devaient être beaucoup moins surexcités que moi face à ce changement de programme.
Ça y est nous y sommes, le motif du papier du motel est plus que douteux mais tout va bien. Elle dort là juste à côté de moi. Nous n'avons pas arrêtés de parler pendant le voyage et en arrivant.
Je n'ai pas décommandé mon dîner avec la « grogniasse insatisfaite ». Est-ce qu'elle m'en voudra?
Pas autant que ma mère en tout cas.
17 juin 2004
Cher journal,
je n'ai pas ressenti le besoin d'écrire quoique ce soit ces dernières années. Cela va faire déjà dix ans que Allison et moi nous sommes mariés. Pourtant le point de vue de sa famille ne change pas ma mère a fini par se raviser. Il faut dire que beaucoup de choses ont changés. Praline a déjà onze ans. Elle a les yeux de sa mère, pour ce qui est de ses cheveux ils sont aussi dorés que les miens quand j'avais son âge d'après ma mère.
Nous avons finalement quittés Londres quelques mois après la naissance de notre fille et nous sommes très bien habitués à la vie parisienne.
Je travaille comme professeur de musique dans un autre collège.
Même si Allison dit le contraire je sais qu'elle a du mal à supporter le fait que sa famille ne veuille plus avoir à faire avec elle.
Je ne les comprend pas...Quoiqu'il en soit Allison semble camper sur ses positions. Elle dit qu'elle s'en moque et trouve inutile que sa petite princesse soit mêlée à cette vieille histoire.
Je ne veux pas moi non plus qu'elle sache à quel point ses grands-parents maternels peuvent me détester et lui en vouloir.
Praline est incroyable elle parle parfaitement le français et l'anglais ce qui n'étonne personne (surtout grâce à sa mère).
J'ai beau lui dire que ce n'est qu'une gosse et que c'est lui chambouler l'esprit pour rien. Il faut dire que c'est son métier, enseigner. Les gens trouvent ça assez cliché en fait, un couple de professeurs.
Praline a une nouvelle lubie depuis quelques mois, elle veut absolument avoir les cheveux aussi roux que les miens. Aussi incroyable que cela puisse paraître Allison l'y a même aidée. Le résultat n'est pas mal même si ce n'est pas du goût de sa grand-mère.
Demain nous allons d'ailleurs partir en week-end chez elle.
Retour à de nos jours:
C'est ici que s'achevait le journal de mon père. Ce fameux week-end je crois que je m'en souviendrai toute ma vie. Tout ce dont je me rappelle c'est que mes parents et ma grand-mère ont décidés d'aller au bord de la mer. Mon père s'était déjà inquiété la veille de l'état des freins de la voiture de location. La voiture a dérapée, quitté la route et concernant le reste c'est le trou noir.
Je me suis réveillée dans un hôpital avec pour un bras cassé et quelques entailles.
Mes parents et ma grand-mère n'avaient pas eus autant de chance, ils étaient morts sur le coup.
Après un séjour dans un foyer, la famille de ma mère a décidée dans son « immense bonté » de m'accueillir chez eux. Je me suis retrouvée du jour au lendemain à l'autre bout du monde. Mes grands-parents ont décidés que j'étudierai à la maison. Je n'avais pas le droit de parler en français, de parler de mes parents, de mon ancienne vie à personne. Au bout d'un an mon grand-père a commencé à me maltraiter d'abord psychologiquement puis il commença à m'enfermer des journées entières en me privant parfois de nourriture.
J'ai finie par craquer et essayer trois fois de quitter New-York.
Une assistante sociale a fini par s'intéresser à mon cas et m'a clairement demandé ce que je préférais aller dans un foyer ou bien aller vivre dans un institut spécialisé pour jeunes à problème.
Avant de partir j'ai posée quelques questions à ma grand-mère sur mes parents elle s'est contenté de me donner un album photo en plus de lettres.
Voilà tout, ou du moins là où commence une autre histoire, une autre page de ma vie celle à l'institut Teenagers.
► Joueur/Joueuse
• Mot de Passe pour la Validation :
• Comment avez vous découvert le forum : Je suis une ancienne hihihi.
• Commentaire : Je me demande si quelqu'un devinera qui je suis ?