? État Civil

Nom & Prénom : Maverick Christofer Hyde, ou plus simplement Maverick Hyde
Surnom : Monsieur Hyde, Mister Hyde, « Ah non pas lui! », ou affectueusement « Le tyran. »

Age : Trente-six ans.
Date de Naissance : Né le quatre juin
Lieu de Naissance : Los Angeles aux Etats-Unis, avant de grandir à Philadelphie et de vivre à Washington.

Sexe : Masculin
Orientation Sexuelle : Venu une époque Maverick était hétérosexuel, mais désormais la sexualité et l’amour sont bien le cadet de ses soucis.

? Curriculum Vitae

Profession : Responsable de l’institut, patron en chef, seigneur et maître, "Tremblez pauvre mortel" et compagnie…
Qualifications & Études : Si Maverick se vante de tout et de rien, personne ne peut nier que son parcours professionnel est impressionnant. D’abord étudiant à Harvard, il est ensuite diplômé d’une des plus grandes école de psychologie américaine, il a ensuite travaillé deux ans dans un poste haut placé de la Chemical Bank, pour ensuite finir vice président d’une entreprise quelconque de Wall Street (jugeant qu‘on ne le payait pas assez à la Chemical Bank). Un vrai Golden Boy comme on en fait plus, en soi. Un ami lui proposa de l’assister dans la gestion d’une institut pour les adolescents à problème, il refusa d’abord, mais après quelques mois de réflexion, il débarqua à Teenagers pour avoir le poste de sous directeur, mais voilà que le responsable brisa ses nerfs au travail, et donna les clés de la maison à Maverick qui accepta son nouveau travail sans broncher.

? L'institut Teenagers

Présent depuis Arrivé ici il y a huit ans, voilà trois ans qu’il a reprit le flambeaux et est très loin de vouloir repartir.

? Physique

Taille : Sa présence impose le respect et le silence il faut avouer, car le responsable de l’institut dépasse les deux mètres… depuis la dernière fois qu’il s’est amusé à se mesurer. Maintenant il doit faire deux mètre dix.
Poids : Parfaitement proportionné et athlétique, mais sans tomber dans le plus horrible excès de muscle du bodybuilding, il doit peser 80 kilos. Quand il donne une gifle, on a l’habitude la sentir passer et pendant un long moment.
Couleur de cheveux : Sa mère était blonde, son père était châtain foncé. Mais Maverick est brun/noir, le fait qu’il les porte longs peut parfois surprendre, mais ceci n’est qu’une affaire de confort.
Couleur des yeux : Ceci peut paraître étrange, mais Maverick porte des yeux bleus lagons. S'aurait pu être très beau, mais quand on porte un regard perpétuellement sévère, cette jolie partie du visage peut facilement paraître inaperçue.
Vêtements les plus souvent portés : Des costumes cravate. Le responsable tient énormément à avoir une tenue impeccable, et la plupart de ses superbes habits coûtent extrêmement cher. Depuis son adolescence, il a toujours porté les parfaites panoplies de l’homme important et richissime. Les marques sont variés, entre Dolce&Gabanna, Oliver People, Armani, Valentino, Paul Smith, Paul & Joe etc… vous énumérer sa garde robe prendrait du temps, mais sachez que le blanc, le beige et tout autre couleurs criardes sont bannit de son armoire, il porte essentiellement du noir ou bleu marine, quand aux cravates, ça dépend de ses humeurs…
Autres : Dans son bureau il n’est pas rare de le voir avec un cigare dans la bouche. Mais en dehors, jamais. Sa démarche quand a elle, est droite et presque militaire, on peut voir que la plupart du temps, ses mains sont sur ses hanches ou dans son dos. Quand au fait de le voir sourire.. Il n’est pas vraiment rare en effet, mais c’est rarement bon signe.
Entre le fait de savoir si il est beau ou laid, ça dépend du goût de ses messieurs dames. Mais Maverick s’en contrefiche royalement, il n’est pas la pour plaire aux gens.

? Caractère

Qualités : Discipline, rigueur, travail… Oui. Maverick est peut-être l’homme le plus distingué et poli que vous aillez un jour croisé. D’une ténacité sans pareille, il ne passe jamais l’éponge sur les problèmes, il prend souvent les coups durs comme un champ de bataille, et il aime à prétendre qu’il n’y a aucun combat capable de lui résister. Capable de soulever des montagnes, il a toujours le don de faire pencher la balance de son côté. Remarquable orateur, il sait toucher le point sensible des gens et convaincre tout les mauvais esprits avec une parole bien placée. D’une épaule sûre, si vous avez un ennuie c’est l’homme a qui il faut s’adresser, toujours à l’écoute et attentif, il fera ce qu’il peut pour vous, uniquement parce que c’est son boulot. Avec les petits voyous, il n’y va pas de main morte, toujours sur le qui-vive, il sait maîtriser leur caractère, même si quelques corrections sont de mise. Il n’hésite jamais, mais sait réfléchir avant d’agir. Les dilemmes? Il ne connaît pas. Il sait parfaitement tranché les problèmes et les étouffer dans l’œuf.
Pouvoir, ténacité et intelligence on trouvé leur maître. En complète maîtrise de soi-même, jamais énervé et toujours calme et courtois, Monsieur Hyde est persuadé être l’incarnation suprême de l’autorité ici, ce qui n’est pas forcement faux…

Défauts : Vous vous en doutez fortement: le gros problème de Maverick est bien son ego surdimensionné. Dans son petit monde, il y a deux personnes: Lui et les autres. Narcissique au possible, il s’aime, s’estime, est en très bon contact avec lui-même, et tout ceci lui convient très bien. Oups, excusez moi, il y a bien UNE personne qui estime aussi: sa propre fille. Outre le reste, ça lui passe par-dessus, la plupart il s’en contrefiche, vous pouvez lui prouver de A + B que vous faites parti de son univers, à ses yeux vous êtes une poussière parmi tant d’autre. Et si vous devenez gênant, impoli, irrespectueux, ou que vous avez la mauvaise chance de le saouler avec votre présence ou vos paroles, préparez vous à avoir droit à une méchante gifle ou une punition bien méritée, car oui, Monsieur Hyde ne lésine pas sur les moyens pour imposer sa loi, humiliation, coup, retenu, plaisanterie de mauvais goûts, tout y passe, et c’est rarement plaisant pour vous. L’Intérêt est donc de ne jamais le provoquer, et surtout par subir son rire narquois. Comme Edward Hyde, il est sadique, narcotique, mesquin, démoniaque, rarement sympathique, et abusivement méchant, vous aurez tôt fait de comprendre qu’ici c’est LUI qui décide. Mais tout ce mauvais caractère cache un homme dont le meilleur ami a fait jurer de s’occuper des élèves comme il se doit, et c’est justement pour ça qu’il tient que chaque élève revienne dans le droit chemin. Et pour ceci, rien n’est trop beau… ou trop laid. Vous êtes un meurtrier? Vous êtes peut être la personne la plus horrible qui soit? C’est pas grave, il faudra juste être plus cruel avec vous, rien de bien méchant. En toute circonstances, Maverick est persuadé d’être la science infuse et d’avoir amplement raison sur tout. La preuve: depuis qu’il est là il n’y a eu aucun problème majeur et tout les internes ont fait un grand bond dans leur chemin de la raison.

Centres d'intérêts : Bien que très axé sur son travail avant toute chose, le responsable de l’institut à une paire d’autres choses dans la vie. Tout d’abord sa fille, son bébé, son trésor, l’amour de sa vie, depuis la mort de sa femme c’est bien l’unique personne avec qui il arrive à s’entendre correctement et avec qui il est agréable et au petits soins. Ensuite, il a beau le renier, il a une passion pour l’art indétrônable, il suffit d’entrer dans ses appartement et son bureau pour voir sa quantité de tableaux de maîtres, de livres d’auteurs, de disques en tout genres (et bien en tout genre), de DvDs cachés dans un meuble en chêne noir, et même des sculptures d’art contemporains. Nul ne sait comment il a réussit à acquérir des goûts pareils, mais il profite de sa fortune pour acheter des multiples et multiples objets, et gâter sa fille de robes et parures. Un des dons caché du genre responsable de l’institut, c’est sa voix digne d’un chanteur d’opéra, il est d’ailleurs pas rare de l’entendre fredonner de temps en temps, mais il chante que rarement, et jamais sous la demande.

Goûts & Loisirs : La plupart de ses loisirs sont cités avec ses centres d’intérêts, mais question goûts… disons qu’il n’aime pas grand-chose, et surtout pas les looks extravagants de certains étudiants, essayez d’être « Sex And Drugs And Rock&Roll » en sa présence, et vous allez vite comprendre qu’il ne faut JAMAIS lui faire par de vos passions discutable avec lui. Si ça ne tenait qu’a son avis, voilà longtemps que vous serrez tous en uniformes et que vous marcherez en rang par deux, comme il l’eut fait durant sa scolarité. A l’époque où la gaypride et les Hippies envahissait le monde et plus particulièrement les Etats-Unis, lui apprenait à la dure à être un yuppie tyrannique et sans merci pour le monde capitaliste. Et Considérez vous comme privilégié si jamais il vous ignore, car si il remarque ça veut dire que tout lui déplait foncièrement chez vous, si jamais il vous aperçoit pas, c’est que quelque chose lui déplait chez vous, mais rien de bien dramatique, il a beau se faire aux tenues de certains y’en a qui le dérange, et il ne se prive pas de faire étalage de ses états d’esprits quand bon lui semble, c’est-à-dire très souvent.

? Histoire

Chapitre I: Parce que je te hais.



« J’exige la vérité. »

Voilà ce qu’y tonna au milieu d’une nuit du quatre au cinq juin, dans le téléphone d’une maternité de Los Angeles. Un homme d’affaire avait été dérangé au milieu d’une réunion par un coup de fil qui lui avait dit « votre amie est en train d’accoucher de votre fils » furibond, il avait quitté la réunion et désormais fulminait de rage dans son bureau, un verre de whisky remplit à ras bord sans eau ajouté, à la main qu’il serrait jusqu’à l’exploser. Au bout du fils, une secrétaire ne sachant que dire, alors qu’Asher Flint tenait à parler à celle qui était en train d’enfanter son soit disant fils. Non, il n’avait pas de fils, il n’en avait jamais eu , et de toute les femmes avec qui il avait eu des rapports, il ne voyait pas du tout laquelle pourrait être en train de perdre les os. Tout ceci n’était qu’un gigantesque malentendu. Après avoir cassé le verre, passer des minutes à insulter la pauvre réceptionniste qui avait finit par éclater en sanglot, il finit par percevoir une autre voix, très très las, fatiguée, ainsi que les pleurs d’un bébé. Rebecca Hyde au bout du fil, cette dernière lui jurait qu’elle n’attendait rien d’un homme pareil, qu’elle avait juste profitait de cette occasion pour remplir son besoin d’enfant, il n’avait ni besoin de connaître son nom, ni même besoin de savoir quelque chose sur eux. C’est sans rechigner qu’Asher accepta volontiers et raccrocha, tellement saoul qui devait à peine avoir conscience de ce qu’il dit.

Et voilà que Maverick Hyde était né. Sa mère, avocate de prestige spécialisée en divorce et sans doute peu disposée à partager un jour son foyer avec un homme, n’avait aucun soucis d’argent, et élevé de façon très correct, ni un prince gâté, ni un enfant du placard battu, c’était un jeune garçon calme et intelligent, très posé et qui adorait sa mère. Quant à son père, un jour par soudain esprit paternel, il s’incrusta dans sa vie. Au début, Maverick le considéra comme « le monsieur qui venait parfois à la maison » mais au fur et à mesure qu’il se faisait appeler son père, le jeune garçon finit par le considérer comme tout ce qui y a de plus blâmable et pourtant qu’y sonne tellement juste: un parasite. Au fur et à mesure que les années s’écoulèrent, cet homme devenait l’incarnation du pathétisme à ses yeux. Un être misérable attiré par l’argent, et le luxe, il s’était dit son père, et pourtant il ne dépensait pas un seul sou pour sa pension alimentaire. Non pas qu’il en avait besoin, mais un petit geste paternel ne serait pas de refus. Alors Maverick l’ignorait. Faute de pouvoir lui hurler sa haine et son méprit.

Maintenant âgé de quinze ans, le jeune Maverick était un élève modèle d’un collège extrêmement strict. Discipline était le maître mot, et travail l’unique règle. Alors oui, Maverick était sans doute un excellent fils pour sa mère, un ingrat devant son père, mais c’était surtout la perle rare de l’école. Et il en tirait une certaine fierté. Déjà quelques filles lui tournaient autour, mais aucune ne captait son attention. Si il n’était pas romantique, il tenait pas à être un coucheur de bas fonds comme son sinistre père, même si il était un peu jeune pour penser à ceci… bref.
Connaissez-vous le Jeudi noir? Le jour du crash de la bourse de Wall Street? Maverick l’a connu, et aujourd’hui tout ce cinéma le fait rire. Ils avaient interrompu l’école cette après-midi, et alors que sa mère était plutôt choquée, mais se doutait bien que cette période de crise serrait vite réglé, il aperçu son père à la télé… au milieu d’un groupe d’hommes en costards cravates qu’y s’était tout bonnement jeté de la banque. De Asher Flint, il ne restait qu’une espèce de bouillit sur le sol. Ceci ne l’attrista nullement, ni lui ni Rebecca d’ailleurs. Les deux soufflèrent un « crétin fini… » de concert. Mais le cauchemar de sa présence était terminé, et il ne serait plus qu’un mauvais souvenir, ainsi que l’exemple à ne pas suivre…


Chapitre II: Femme et Fille.


Maverick ne voulait pas être dans les affaires… oh que non. Maverick voulait être quelqu’un d’utile, pas un Golden Boy pété d’argent doué que pour faire beau. C’est pour cela qu’il choisit une école de psychologie après être sorti de Harvard. Et c’est la bas qu’il fit la connaissance d’une jeune femme, une dénommée Katherine Kendt, comparée à lui, c’était la timidité et le discrétion incarnée, mais allez savoir pourquoi, ce genre de fille dans son univers était rare et il s’enticha d’elle, s’obstinant à lui parler, partager ses idées, l’aider dans ses cours, voir même à tout simplement être gentil et aimable, ce qui était déjà extrêmement rare à l’époque. Puis très bientôt, leur relation évolua et il finit par la demander en mariage à la fin de leur étude, ce qu’elle accepta très volontiers à la grande surprise de Mister Hyde. Elle ne tarda pas à donner naissance à leur fille, une charmante Claudia, et si Maverick travaillait à la Chemical Bank a l’époque, il n’avait jamais assez de s’extasier devant sa fille, son bijou, le trésor de sa vie.

Bien évidemment, il y a toujours quelque chose qui tourne mal dans on est heureux, et ceci bouleversa tellement Mister Hyde qu’il finit par détester le monde entier. Alors que sa femme était dehors pour faire des emplettes, à peine avait t’elle embrassé son mari et s’être engagée sur le trottoir, qu’un tireur fou en poursuite par la police passe en voiture et tire dans le tas grâce à une arme à feu. Katherine n’échappa pas et fut mortellement touchée, et agonisa trois heures à l’hôpital, blottie dans les bras de son mari qui refusa de la lâcher, même devant le bruit du cardiogramme qui annonça la fin sinistre de la vie de Madame Hyde. Il avait 22 ans, elle 21, et leur fille deux ans, et malgré son âge de l’époque, la petite Claudia se souvient très bien de l’image de sa mère qui s’effondre couverte de sang. Aucune parole, mensonge, tendresse de son paternel ne put lui retirer l’atroce vérité. Quant à Maverick, il maudit l’humanité entière, et finit par faire comme son père: faire semblant de travailler dans une entreprise de Wall Street. Mais il ne consommait ni drogue, ni alcool et encore moins les femmes ou même les hommes. Rien, rien au monde ne pouvait lui retirer de la tête l’image de sa femme décédée et encore moins le visage en pleure de sa petite fille.

Chapitre III: Faire quelque chose de sa vie.


« Tu m’emmerdes Richard avec tes conneries. »

Et sans plus de précision, Maverick raccrocha au nez de son meilleur ami. Ce dernier avait perdu son fils indigne il y a quelques années, avait créer une institut de redressement pour les jeunes en difficulté. Bien évidemment ça avait été un franc succès, quand on ne comptait pas le nombre de parents désespéré devant leur rejetons délinquants, drogués et suicidaire. Mais voilà, Richard n’avait pas des nerfs en béton armés et les diverses menaces de morts, la colère des jeunes et leur indiscipline avant vite fait de le faire douter dans ses qualités de chef d’établissement, voilà ce que c’est d’avoir de l’ambition, un jour ou l’autre ça nous retombe dessus. Maverick avait beau le comprendre dans sa douleur, il était plutôt d’avis de relancer la vieille mode du bûcher pour cramer tout ses idéalistes malades mentaux, y comprit ceux qui avait mis fin aux jours de sa femme, c’est-ce qui leur faut à ses gens là. Cruel? Non, résigné et en colère. Richard était un ami suffisamment proche de Mister Hyde pour savoir qu’il avait une poigne de fer sur tout et serait parfait dans le rôle du sous directeur tyrannique, mais Maverick détestait tout simplement tout ses gamins qui n’avait qu’a écoutait leur parent pour changer. Et allez savoir pourquoi Richard insistait de plus en plus, puis finit par s’inviter à la maison, alors que Claudia était à l’école. Maverick était partager entre l’idée de lui claquer la porte au nez, mais en qualité de maître d’hôte, il finit par le laisser entrer.

« Je comprend ton ressentiment. » Commença Richard en remuant son café, ignorant le regard de Maverick qui le fusillait, il y a bien une chose que le Yuppie détestait, c’était qu’on parle de la tragédie qu’il eut connu. « mais je suis certain que nous pouvons faire quelques choses pour ces enfants »
« Ce ne sont pas des enfants, Richard. Ce sont des criminels. Des PUTAIN de criminels! » Maverick ne buvait rien, il avait ses mains posés sur les accoudoirs, et les ongles rentrés dedans, preuve qu’il était prêt à exploser.
Quand a Richard McElowd , il secoua la tête avant de déclarer: « Voilà des années que nous passons tout les deux le même disque rayé depuis des années mon vieil ami… Laisses moi te chanter un autre refrain. » un sourcil de l’intéressé se leva, puis se fronça furieusement quand son ami lui dit « penses à Claudia. »
« Oses-tu mettre mon enfant dans le même sac que ses loques humaines? Quelle outrecuidance! Et tu m’appelles encore ‘mon ami’ ?! »
« Mon institut s’occupe aussi des enfants en dépressions, c’est peut être le moyen pour qu’elle se sente mieux. Et je ne connais aucun « enfants » qui consulte un psy depuis ses deux ans et qui se sourit jamais et ne parle à pratiquement personne. Je la connais depuis sa naissance et elle ne m’a jamais dit un mot. »
« Ferme la Richard… »

Le fondateur de l’institut se leva et le fixa droit dans les yeux, sachant très bien qu’il avait touché l’unique point sensible de son interlocuteur, et par là c’était une occasion inespéré pour le convaincre.

« Les criminels naissent dans des enfants comme ta fille. Je sais très bien que tu es l’homme idéal pour elle et pour d’autres, prévenir pour mieux guérir. Mon vieil ami, je te demande une dernière fois… »


Deux mois plus tard, un tyran faisait son entrée à l’institut. Entrée remarquée et passablement détestée par la plupart des élèves. Aucune menace, aucune parole, aucun geste ne pouvait venir à bout de ce mur humain, et nombre qui se sont frottés dessus s’en sont brisé les griffes. Il accomplit tout d’abord certaines tâches dans l’ombre pendant cinq ans, certains élèves finirent même pas se prendre d’affection pour lui, comprenant qu’il était là uniquement pour leur faire prendre conscience qu’ils ont un avenir a condition de s’en donner les moyens, mais les 9/10eme le haïrent ouvertement. Et quand Richard finit par n’en plus pouvoir et donna la direction à Maverick Christopher Hyde, se fut comme une élection d’une nouvelle ère au sien de Teenagers. Et même si Maverick impose sa loi, c’est justement pour vous.
Reste à savoir votre avis sur la question, quoiqu'en fait, ça ne le regarde pas.

Parfait,, ta fiche est excellent, je t'accorde le rang et te valide dans quelques instants. J'ai hâte de voir comment les jeunes réagirons face au Directeur tyrannique faisant sa loi, je sens que ça va être très divertissant

Merci !

Moi aussi j'ai hâte effectivement .