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| Kaïa Mac'Leor [infirmière] | |
| | Sujet: Kaïa Mac'Leor [infirmière] Jeu 24 Juil 2008 - 20:35 | |
| • Nom & Prénom : Kaïa Wilhelmine Frithjof Mac’Leor • Surnom : Kaïa • Age : 21 ans • Date de Naissance : 31 Décembre • Lieu de Naissance : clinique d’Inverness (Scotland - Great Britain) • Sexe : féminin • Orientation Sexuelle : c’est une très bonne question… qu’elle n’a pas encore résolue. « Quoi ? Comment ? A son age! » Ben oui, mais nan, la jeune écossaise est du genre à faire passer les questions sexuelles relatives à sa propre personne en dernier. Donc pour faire simple… on va dire bisexuelle, pour le moment. • Profession : infirmière • Qualifications & Etudes : Diplôme d’Etat d’infirmière + Bachelor of Science degree in Nursing (licence de soins infirmiers Américains) + en cours de spécialisation en psychiatrie • Présent depuis : peu de temps, elle vient d’obtenir son BSN ainsi que le droit d’exercer dans un établissement • Taille : d’origine purement européenne, on aurait pu penser qu’elle hériterait des gênes anglo-saxons de ces ancêtres et, par la même occasion, d’une carrure digne des plus grandes guerrières scandinaves. Il n’en est rien. La jeune femme a beau avoir du sang nordique dans les veines, elle n’en mesure pas moins un petit mètre soixante. Remarquez, question pratique, c’est toujours plus facile à caser qu’une armoire à glace. • Poids : et parce que, non contente de défier les lois de la génétique seulement de part sa petite taille, mademoiselle complète le tableau en offrant à la vue un corps aussi frêle qu’une poupée de porcelaine. De quoi retourner ses aïeux, fiers vikings à la stature imposante de pachyderme, dans leurs tombes. Et puis, par-dessus le marché, elle ne dispose pas de formes féminines assez prononcées pour rétablir l’équilibre sur la balance. Oui, mais bon, c’est comme ça et pas autrement. Ainsi donc, la jeune infirmière doit approcher les 45 kilos habillée d’une grosse combinaison de ski. • Couleur de cheveux : et bien, ils sont châtains. Quoi ? Il vous en faut plus ? Bon. Ils ondulent délicatement autour de son visage ovale, atténuant quelque peu son teint naturellement blafard pour le rendre laiteux. Cascades gracieuses tombant jusqu’à la moitié de son dos, elles revêtent parfois des éclats cuivrés vivifiant sa silhouette souvent trop sage. Mais la plupart du temps, Kaïa préfère relever ses cheveux de manière à ce qu’ils n’entravent pas sa vision, et donc indirectement, ses gestes. • Couleur des yeux : d’un bleu profond, ils rappellent les mystérieux abysses ou encore le calme réfléchi de l’océan. Ils sont généralement doux et attentifs, mais il peu arriver qu’ils vacillent, telle l’écume indécise sur la plage, ou qu’ils se déchaînent, comme une tempête éclatant en pleine mer et présageant bien des naufrages. • Vêtements les plus souvent portés : ils sont fréquemment sages, c'est-à-dire, pas de décolletés outranciers ou de minijupes, pas de tenues osées ou même légèrement incitatrices. Non. Même si la jeune écossaise apprécie énormément les jupettes et les robes, l’ourlet se doit d’arriver à quelques centimètres au dessus du genou, grand minimum. Il lui arrive de porter des jeans, mais très rarement, elle préfère se démarquer par des habits simples mais un peu moins communs. Généralement vêtue avec une certaine élégance, elle peut, sur un coup de tête, décider de s’apprêter de manière relâchée, à la façon des jeunes adolescents qu’elle encadre. A savoir : t-shirt large et jean, voir pantalon de sport. Elle arbore peu souvent des parures joaillières, même si elle apprécie la finesse des bijoux. • Autres : naturellement de faible constitution, elle se blesse facilement et grièvement, ce qui ne facilite pas vraiment sa tâche d’infirmière • Qualités : si on peut dire que le calme est une vertu, alors au moins une chose est sûre, c’est que Kaïa dispose d’une qualité certaine. Une patience olympienne qui braverait la plus farouche des tempêtes. D’un tempérament solitaire, la jeune femme a développé une aura de quiétude mature à l’épreuve de l’agitation l’environnant. D’une attitude généralement réfléchie et posée, elle est facilement acceptée par son entourage même si celui-ci l’oublie très vite. En effet, elle est naturellement discrète et effacée, et bien que cela la gêne parfois, la plupart du temps cela lui convient parfaitement. En l’approchant un peu plus intimement, on remarque rapidement qu’elle est assez responsable et méthodique, voire maniaque quand ça la prend. • Défauts : si le calme est une qualité, la passivité est un défaut. Or il arrive assez souvent que cette tranquillité dérape rapidement vers une sorte d’indifférence perçue comme telle par l’entourage. Et difficile de prouver à quelqu’un que vous l’aimez bien lorsque vous le laissez faire la conversation tout seul. Physiquement faible, Kaïa n’a pas beaucoup d’assurance en elle lorsque cela dépasse le stade de son travail d’infirmière. Extrêmement timide et réservée, maladroite et distraite de surcroît, même facilement acceptée elle est rapidement mise sur la touche par son entourage. Par ailleurs, en dépit de sa volonté endurcie par son calvaire physique, elle reste terriblement sensible et vulnérable. Enfin, il faut préciser que, ayant suivit une éducation particulière, à savoir religieuse, même s’il elle se considère elle-même laïque, elle peut se révéler être très naïve sur certains sujets. • Centres d'intérêts : de guerre lasse contre sa gaucherie, la jeune écossaise apprécie la solitude et tout ce qui y touche. Ainsi, le travail, la lecture et la musique ont tout bonnement trouvé leur place entre ses mains. Les études ont toujours été au cœur de sa vie : elle aime apprendre. Son amour pour la lecture, l’écriture et le savoir, la pousse à poursuivre sa scolarité au plus loin. Les livres, recueils de connaissances s’ajoutent donc naturellement à sa liste de centres d’intérêts. Elle avait d’ailleurs envisagé une carrière dans les lettres, mais la médecine l’intéressait bien plus que le littéraire. Il est plus évident de dévorer tous les livres d’une bibliothèque tout en étant infirmière que de s’intéresser aux procédures hospitalières lorsque l’on est professeur en littérature. Et enfin, la musique. Kaïa a toujours trouvé envoûtantes les notes délicates s’élevant avec adresse des caisses de résonance des instruments et, issue d’une noble famille, son éducation à favorisé son approche de l’art musical. On dit qu’il est difficile de trouver chaussure à son pied, et bien sachez qu’il est encore plus dur de déceler l’instrument de ses rêves ! Surtout lorsque la santé nous fait défaut, et que les facteurs suivants sont à prendre en compte : pas assez de souffle pour les instruments à vent, des doigts trop fragiles pour ceux à corde, des tympans assez délicats pour craindre le bruit des percussions et des orgues. Et là, le tour des familles est déjà fait. Finalement, elle se pencha sur le piano qui était encore le plus accessible des instruments. Des années durant elle travailla assidûment son art tout en apprenant à parfaitement maîtriser son souffle. Lorsque ce fut chose faîtes, on l’autorisa à apprendre à jouer de la flûte traversière, moins encombrante à transporter que le piano à queue familial. • Goûts & Loisirs : vous avez déjà eu un aperçu des centres d’intérêts de la jeune infirmière, mais nous allons tâchez d’explorer un peu plus son cas en matière de goûts et de loisirs. Arrêtons nous un instant sur la nourriture. Oui, le domaine culinaire. Parce qu’il me semble important de préciser que, non seulement la jeune femme est un casse-tête chinois à elle toute seule, mais en plus elle est végétarienne. Voila qui n’est pas raisonnable pour sa santé déjà défaillante, certes. Mais c’est comme ça, pas de steak haché ou de bavette pour elle, sauf si vous désirez lui jouer un mauvais tour… et la mettre extrêmement mal à l’aise. Ensuite, intéressons nous à la météo. La plupart des gens aiment quand il fait beau. Quand le soleil brille de milles feux sous la voûte céleste. La plupart. Mais pas elle. Solitaire jusqu’au bout des ongles, elle aime la pluie et l’orage, le vent et la neige. Entendre le chant mélodieux des gouttelettes transparentes tomber contre la terre battue, les toits de briques et les capots encore fumants des voitures, ça c’est son instant de bonheur. Enfin une chose démontrant son côté scandinave ! Et puis nous terminerons par son passe-temps favori : observer ce qui l’entoure avec ses cinq sens. Parce que lorsque l’on est aussi fragile que de la porcelaine, on a les sens à fleur de peau, et l’irrésistible envie de contempler à satiété tout ce qu’il y a autour de nous. |
| | Sujet: Re: Kaïa Mac'Leor [infirmière] Jeu 24 Juil 2008 - 20:35 | |
| La jeune femme est née par une fraîche matinée de 31 décembre, dans la petite clinique d’Inverness en Ecosse, alors que les rayons paresseux de l’aurore pointaient leur nez. Descendante d’une longue lignée de Nordiques, elle hérita, alors qu’elle n’avait pas encore quelques minutes, du lourd devoir familial d’aînée et de noble Scandinave. I. La famille Mac’Leor, ou comment hériter de noms à vous fracasser le crâne contre un murCommençons par le début, ça me parait être une bonne idée. Frithjof Gudmund Mac’Leor, avocat de son état et fils d’une prestigieuse lignée écossaise épousa Gabrielle Wilhelmine Johanssen, Norvégienne d’origine, évêque et représentante de l’Eglise Anglicane à la Chambre des Lords du Royaume-Uni. Fidèles à la tradition, ils élirent domicile dans le noble manoir de la famille Mac’Leor, situé dans la ville d’Inverness entre la côte Est de l’Ecosse, donnant sur la mer du Nord, et les Highlands. Tous deux issu d’un milieu assez élevé jouissaient déjà d’une certaine renommée, mais leurs propres carrières respectives ajoutaient aux éclats et au prestige familial, et leur situation était bien plus que confortable. Il aurait fallu qu’un cataclysme balaya toute la côté, ainsi que le Parlement britannique, L’Eglise Anglicane et la capitale Berge de la Norvège, pour que leurs vies fussent véritablement brisées. Cela n’arriva pas, heureusement pour eux et pour les deux pays. Quelques années après leur mariage, ils engendrèrent cinq enfants. Kaïa Wilhelmine Frithjof, de deux ans l’aînée des jumeaux Gustav Gildwin Frithjof et Gildwin Gustav Frithjof, eux-même de deux années les aînés de la petite Sunniva Wilhelmine Frithjof, elle-même l’aînée de deux ans du dernier Vigdis Frithjof. Beaucoup de monde et des parents souvent absents. Conclusion, l’écossaise a rapidement appris à être responsable et débrouillarde, ainsi qu’à prendre sur elle sa souffrance physique qu’elle n’aime pas montrer. En parallèle, elle a vite commencé à rechercher la solitude afin de trouver la paix après des journées bien agitées. Les hauts reliefs et le mystérieux univers maritime entourant leur demeure, ainsi que l’agréable fraîcheur des lieux ont bien souvent constitué un asile de choix lors de ses escapades en quête de quiétude. II. Les études, ou comment être la seule personne sur Terre à aimer travaillerLa vie de la jeune écossaise peut être découpée en quatre cycles. Le premier s’étale de ses premiers babillements jusqu’à ses 12 ans. Le plus long, mais peut être aussi le plus calme, car il se déroula à Inverness même. Durant cette période, Frithjof et Gabrielle Mac’Leor laissèrent l’éducation de leurs enfants aux soins de prestigieux tuteurs qui élargirent le savoir de ceux-là dans bien des domaines. De la philosophie à la mécanique quantique, en passant par l’apprentissage de langues étrangères, une grande palette de matières y passa, formant peu à peu les petits héritiers. « Le savoir est la clef du pouvoir », les Mac’Leor avaient les moyens de s’offrir le luxe d’un enseignement plus que complet, ils ne lésinèrent pas dessus. Les enfants sont naturellement curieux. De tout. Et peut être parce que cette soif de connaissance ne fut pas rabrouée par des « tu verras quand tu serras grande » ou des « j’ai pas le temps de t’expliquer ça maintenant », les cinq écossais cultivèrent cette envie d’apprendre à travers les âges ainsi que leur assiduité au travail. Par ailleurs, le devoir familial et l’héritage pesant sur leurs épaules, encourageaient leurs efforts en ce sens. Et puis cette activité ne souffrait pas le bruit ni l’agitation, aussi elle trouva tout naturellement sa place dans le cœur de la jeune Kaïa. Le second cycle de sa vie s’étend quant à lui de ses 12 ans à ses 17 ans. Parce qu’il fallait bien, un jour ou un autre, apprendre à vivre en société, c'est-à-dire s’éloigner du cadre familier des tuteurs bienveillants, de servants serviables, et des respectueux habitants de la ville d’Inverness, la jeune écossaise fut envoyée dans la prestigieuse Winchester College. Intégrant l’interna de l’école, Kaïa se trouva, pour la première fois de sa vie, véritablement confrontée à l’inconnu. Fort heureusement, sa tolérance et son attitude raisonnable facilitèrent son intégration dans le monde hostile de l’établissement. Néanmoins, l’excitation quasi-perpétuelle qui y régnait conforta son besoin de solitude et, doublé du désir d’apprendre toujours grandissant notamment entretenu par la compétition naturelle entre les étudiants, il la conduisit rapidement à devenir un rat de bibliothèque. Ce qui, en temps que réputation, n’était pas très bon et lui valu plusieurs ennuis. Mais le pire cycle qu’elle ait jusqu’ici vécu, fut sans doutes le suivant, prenant sa vie de l’age de ses 17 ans à ses 20 ans. Durant ces trois années, la jeune écossaise se pencha sur les études des soins infirmiers. Pourquoi ceux-là et pas d’autres ? Alors que ses professeurs l’auraient bien vue dans le domaine des lettres, ou celui de la loi ? Alors qu’être infirmière était beaucoup moins prestigieux qu’être médecin, et qu’elle en avait les capacités ? Alors qu’elle avait un devoir familial, et qu’elle devait l’honorer de part la gloire de ses études ? Nous y reviendrons, notre histoire de cycles n’est pas terminée. Ainsi donc, elle passa le concours d’entrée en école d’infirmière et intégra l’université de Nottingham. Et, comment dire… l’université, c’est pire que l’interna, lorsque vous n’êtes pas vraiment du genre à l’aise en société. Rappelons les facteurs de risque : faible, timide, riche, solitaire, terriblement intellectuelle et végétarienne par-dessus le marché. Ces trois années furent un calvaire, mais la jeune femme en ressortit vivante, titulaire de son DE d’infirmière, et il va sans dire grandie. Le quatrième cycle débuta à ses 20 ans et est toujours de vigueur. Il est notamment le témoin du changement d’orientation de l’écossaise vers l’international. En effet, elle passa le Bachelor of Science degree in Nursing à l’université George Mason situé aux Etats-Unis, en un peu moins d’un an étant donné qu’elle disposait déjà de compétences essentielles dans les soins infirmiers puis débuta une spécialisation en psychiatrie. Comme celle-ci ne nécessitait pas une présence en université, la jeune femme chercha un établissement où exercer sa fonction d’infirmière. Elle trouva ce qu’elle désirait en l’institut Teenagers. III. Infirmière, ou comment achever ses ancêtres déjà quatre mètres sous terreParce que je me sentirai bête à ne pas vous parler de ce qui l’amène, quand même. L’intérêt de l’écossaise pour la médecine trouve son origine au 2ème cycle, alors qu’elle était élève à Winchester. Sa faible constitution l’avait rapidement mise sur la touche et elle passait plus de temps avec le personnel médical des lieux qu’avec ses amis. Très vite, elle apprit à apprécier le métier d’infirmier et surtout, surtout, elle développa un sens humain très fort. Mais difficilement décelable sous son apparente froideur. Alors pour pas médecin, tout simplement ? Cela aurait été plus judicieux, étant donné que la mise à distance n’est pas la même, ou non. Car si la jeune femme n’est pas à l’aise en société, dès qu’il s’agit du travail, tout va comme sur des roulettes. Et un médecin, c’est bien, mais c’est beaucoup moins proche des patients qu’un infirmier. A long terme, la jeune femme espère faire dans l’humanitaire et cet aspect de proximité avec la personne dont elle a la charge lui semble important. C’est pourquoi elle laissa délibérément de côté la médecine générale, au grand damne de ses parents. Nous y voila : sa famille. Principal problème actuel. Comment expliquer à des personnes fermement ancrées sur les traditions que : 1. vous ne comptez pas reprendre le manoir familial mais voyager un peu partout, 2. vous savez quel métier est fait pour vous et ne désirez pas vous lancer dans d’autres études juste pour une histoire de prestige, 3. vous allez élire domicile dans un institut pour délinquants alors que vous êtes aussi fragile qu’une poupée de porcelaine. Il va sans dire que la discussion à ce sujet avec ses parents fut houleuse. Mais elle ne céda pas. Elle fut juste déshéritée et chassée de chez elle. Bannie. Kaïa, 21 ans, célibataire écossaise déshéritée végétarienne timide de faible constitution, accessoirement infirmière en cours de spécialisation, était parée, ou pas, pour exercer à l’institut Teenagers. |
| Kathleen Manchester | █ Fondateen ■ Black Cat █ I'm the Ice Girl
Freezing you to the bone...
But now i'm gone ~
Surnom : Kath' Âge du Perso : 24ans Orientation : Hétérosexuelle Admission : Juillet 2008 Autorisé à sortir : Accordée
Teen's : 7268
Age : 36 Messages : 1648 Jeux +16 : Non Disponibilité : Congé sabbatique longue durée ! °-°
RP' : Le Règlement A Lire!
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Casier Judiciaire Avertissement: Nombre d'Arrestations: 0 Délits Commis: | | Sujet: Re: Kaïa Mac'Leor [infirmière] Jeu 24 Juil 2008 - 21:04 | |
| Ta fiche est grandiose, j'ai adoré Je te met ton rang tout de suite et te souhaite un bon amusement ici |
| | Sujet: Re: Kaïa Mac'Leor [infirmière] Jeu 24 Juil 2008 - 21:12 | |
| Okay! Merci |
| | Sujet: Re: Kaïa Mac'Leor [infirmière] | |
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| | Kaïa Mac'Leor [infirmière] | |
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