[HS : Erf. Je ne sais pas ce qui m’a pris de faire ça de pleins de manières différentes, j’espère que ce n’est pas incompréhensible. Je ne sais pas non plus ce qui m’a pris de rédiger des dialogues sans aucun tiret ni retour à la ligne, mais je pense que ça devrait aller. Enfin, je ne sais pas ce qui m’a pris de rédiger mon histoire comme ça, je suppose qu’elle sert pas à grand-chose du coup mais le principal doit y être... Y’a pleins de trucs tordus que j’ai pas corrigés, des fautes aussi, par pure flemmite et cause d’état zombiesque. Je m’excuse d’avance pour cette daube… *s’envamourirdansuncoin*]

► État Civil

Aujourd’hui et depuis votre naissance, vous vous appelez Harisson Warrence. Vous êtes gouverneur d’un état de votre beau pays, les Etas-Unis, vous avez une femme et deux enfants ainsi qu’une grande maison. Vous avez tout pour plaire. Une coiffure toujours parfaitement soignée et une personnalité agréable font que vous avez une foule d’amis sur lesquels vous pouvez compter. Vous venez d’obtenir des vacances, depuis longtemps. Cette perspective, vous vous en souvenez, vous a incroyablement maintenu en forme et réjoui, vous l’attendiez avec impatience. Et maintenant que vous êtes chez vous, entouré de votre famille, vous ne sentez plus qu’un immense vide que vous refusiez jusque là de réellement voir en face. Vos enfants ont bien grandi, et vous avez été trop peu présent. Maintenant ils n’ont pour vous que ce qu’ils pensent que vous avez toujours eu pour eux : de l’indifférence. Votre femme passe la majeur partie de son temps à participer à des œuvres de charité et est devenue, sans même que vous ne vous en rendiez compte, réticente même à un simple baiser. Vide. Cette immense maison est complètement vide. Vous décidez d’aller faire un tour, histoire de vous aérer l’esprit. Et puis cela vous donne l’impression que vous n’êtes pas le seul c** laissé derrière à ne rien faire. La vérité est que même ces femmes que vous aviez l’habitude de fréquenter après votre travail n’arrivent plus à apaiser vos angoisses et à combler le vide. Pris de curiosité, vous avez déjà visité un bar gay, et vous avez fini par prendre goût aux jeunes éphèbes que depuis vous ramenez régulièrement dans votre lit. Vous allez dans bar de votre connaissance boire quelques verres de votre alcool favori. Contrairement à ce que vous pensiez en arrivant, vous repartez avec un jeune homme. La vérité est que vous êtes subjugué par sa beauté froide. Mais pensant soudainement à votre femme, vous finissez par prendre peur et l’abandonnez devant un hôtel avec votre numéro de téléphone.

Ne parvenant pas à effacer son visage de votre esprit, vous l’appelez deux semaines plus tard et l’invitez chez vous, alors que vous êtes seul à la maison. Vous allez faire connaissance avec lui, oui, juste faire connaissance, comme un nouvel ami. Voilà ce que vous vous répétez alors qu’il s’installe dans votre canapé et que votre regard plonge dans le sien. Juste comme un nouvel ami.


• Nom & Prénom : Vous n’osez le regarder dans les yeux, tournez nerveusement le verre que vous avez dans les mains et pour finir, posez une question idiote, et vous regrettez instantanément, mais rien n’y fait, vous être trop embarrassé. « Tu m’as dit que tu t’appelais comment déjà… ? Naoya. Naoya… C’est chinois ? Japonais. Ah… C’est joli… Non. Je trouve que si. »
• Surnom : « Je peux te donner un surnom ? Naoya je m’en rappellerais pas. Ce serait dommage… Ah, ah, tu es bien d’accord, alors je peux ?... Non. Pourquoi ?… Faites ce que vous voulez. »


• Age : C’est maintenant que LA question intelligente vous traverse l’esprit et qu’instantanément vous l’énoncez. « Mais hum… Tu as quel âge Naoya ? 17 ans. » La réponse vous glace le sang, comme si un de ces odieux monstres de films horreurs qui vous ont toujours traumatisé depuis votre enfance venait de vous annoncer votre mort imminente. Pourtant, bien que vous soyez conscient du danger d’une relation entre ce gamin et vous, vous êtes une fois de plus, incapable de lutter. Il vous attire. Oui, il vous attire irrésistiblement. Les précédents étaient plus âgés, et différents. Radicalement différents.
• Date de Naissance : « Si vous voulez même en savoir plus, je suis né le 14 janvier 1992. » Combien d’années exactement avez-vous de plus que lui ? Vous préférez ne même pas tenter de compter.
• Lieu de Naissance : Comme tout américain, vous êtes curieux de savoir de quel état vient votre nouvelle connaissance. La question vous brûle les lèvres puis enfin vous échappe. « Et tu es né ici, en Floride ? Non. Je suis né dans l’état de New-York. Ca doit te changer radicalement, comment as-tu atterri ici ? On a beaucoup voyagé mon père et moi. Je vois. » Vous n’avez pas grand-chose à rajouter, ni grand-chose à en penser.
• Nationalité : « Et tu aurais une double nationalité, quelque chose comme ça ? Non, 100% américain.»


• Sexe : Vous n’avez même pas peur de paraitre désagréable, en fait, cela ne vous traverse même pas l’esprit. Vous continuez avec vos questions idiotes, et vous vous fichez là aussi de ce qu’il peut bien en penser. Après tout, vous n’êtes ni son ami ou, my god, son petit ami. Vous ne ressentez pour lui que du désir, un désir que vous avez du mal à contenir. « Je me demandais… T’es sûr de bien être un garçon ? … … Vous vous payez ma tronche ? Je plaisante. Mais tu as un si beau visage, si fin. Je suis convaincu que tu ferais une magnifique fille.» Oui, une magnifique fille. Et, bêtement, vous avez pensé à ces scènes de comédies, de films, où le héros rencontre une charmante femme puis il découvre après l’avoir embrassée qu’elle a quelque chose d’inattendu sous sa jupe... L’inverse pourrait aussi être possible. Mais ici, aucune petite voix de Kate la dinde ne s’est fait entendre. La sienne n’est ni virile ni ridiculement aiguë. C’est une jolie voix.
• Orientation Sexuelle : Vous l’observez, encore et encore, le toisez impunément de la tête aux pieds tandis qu’il est nonchalamment installé sur votre canapé en cuir à la super plus dernière mode. Aime t-il vraiment les hommes ? Qui plus est, les hommes comme vous ? Les vieux et riches politiciens au torse velu le font-ils vraiment bander ? Il aime vraiment se faire enfiler par des gens comme vous ? Alors que ces vulgaires pensées fusent dans votre esprit, vous concluez ainsi : dans tous les cas, un jeune homme tel que celui-là ne peut simplement pas se tenir aux côtés d’une fille. Non, non. Ca ferait vraiment… Bizarre. Shit. Aucun autre mot ne vous vient. Vous décidez pour vous détendre d’aller vous remplir un nouveau verre, et après avoir avalé nerveusement votre salive, le priez de vous attendre. Vous faites comme si vous n’aviez pas vu ni entendu son sourire ensorceleur et son « Bien sûr. » murmuré d’une voix suave. Sur le chemin de la cuisine, en posant un regard désolé sur le Christ crucifié qui est au dessus de votre frigo, vous vous dites que c’est un serviteur du diable que vous avez invité chez vous. Vous ne savez juste pas encore à quel point vous avez raison.


► Casier Judiciaire


• Nombre d'arrestations : « Un père et son fils de 17 ans arrêtés. Hier soir, alors qu’ils sortaient d’un restaurant de luxe de Tallahassee, xx xx et son fils xx xx furent interpellés par la police. […] Cela fait des années que la police leur courre après, mais jamais elle n’avait réussi à mettre la main sur cette diabolique famille jusque là. Le père qui a été écroué, risque la prison à vie, et son fils, encore mineur, plusieurs années en maison de redressement. » Extrait d’un journal télévisé.
• Délits commis : « […] Outre un nombre incalculables d’arnaques en tout genre, en tant que taxi, vols de sacs et de cartes de crédits, ils sont coupables de nombreuses séquestrations d’enfants de familles aisées, de trafic de photos, vidéos pornographiques et pédophiles, d’atteintes à la vie privée ainsi que de menaces et chantage envers des personnalités politiques et des affaires. […]» Extrait d’un journal télévisé.


► L'institut Teenagers


• Présent depuis : « Encore une nouvelle arrivée. Ouais, ça n’arrête plus. Ces putains d’gosses savent vraiment plus quoi faire pour attirer l’attention. Tu sais moi j’ai un bébé à la maison, bordel s’il devient comme ces tarés… Enfin d’après ce que j’ai entendu c’est un cas un peu spécial, genre l’affaire est passé à la télé et tout. Ah ouais ? Pourquoi ? C’est carrément un assassin ? Un tueur en série ? Mais non ducon. C’est gardé secret de toute façon, c’que j’sais c’est juste que c’est pas un ado drogué en rébellion. Genre, un vrai criminel quoi. Il devrait être en prison alors ? Nan, on a considéré que c’était de la faute de son père qui l’avait entrainé avec lui, genre qu’il avait été manipulé tout ça… J’croyais que tu savais rien ? J’en sais pas plus. J’ai juste entendu ça dans l’bureau du directeur. Dans tous les cas mon cul, le gosse devait très bien savoir ce qu’il faisait va. C’est c’que j’pense aussi.» Techniciens de surface de l’institut.


• Chambre ou Dortoir : « Etant donné que nous ne connaissons pas sa personnalité, nous éviterons les dortoirs pour le moment. Une chambre où il serait seul me semble la solution la plus adaptée, nous aviserons par la suite si il y a une quelconque évolution. » Directeur de l’institut.


• Intégré à cause : « Ecoute mon p’tit, si t’échappes à la prison, c’est que t’es encore mineur et qu’on a considéré que t’as pas su évaluer les conséquences de tes actes. Alors t’as intérêt à te tenir à carreau là-bas, parce qu’après on te fera plus de cadeau. Hey, tu m’écoutes Naoya Joy Fowler ? Tourne ta belle petite gueule par ici. T’as entendu ? Fais pas l’con ou je ferais en sorte de t’initier à la sodomie carcérale et ses crânes rasés. » Inspecteur A.M. Taylor.


► Physique

[A l’institut.]


Voilà, vous avez enfin réussi à vous retrouver dans la même pièce que lui. Ce n'est pas comme si vous étiez un traqueur ou quelque chose comme ça, loin de vous l'idée de suivre ses moindres faits et gestes. C'est juste que les nouveaux pensionnaires sont toujours sujets de curiosité, à part pour ceux qui ont fini par plonger définitivement dans leurs paradis artificiels, mais bien entendu vous ne faites pas partie de ceux-là, pas vrai ? Sinon vous ne seriez pas là. Vous constatez avec soulagement que vous n'avez été ni vu, ni entendu, il dort. Jamais, au premier coup d'oeil, vous auriez parié que c'était le genre de personne à s'endormir ainsi n'importe où à la vue de tous. Et pourtant. Mais ne vous en plaignez pas, cela fait bien votre affaire car ainsi vous pouvez étudier ce nouveau spécimen à votre guise. Ce qui vous avait séduit au premier coup d'oeil, c'était, en oubliant la tenue vestimentaire, son visage. C'est, vous vous dites à vous même, ce genre de visage d'angelots un peu efféminés que les fanatiques de barbares chevelus trouveraient à coup sûr répugnant, mais que les autres, apprécient beaucoup en général. C'est que l'heure n'y est plus trop, aux vikings, les filles aiment de plus en plus les hommes qui ressemblent à des femmes, comme si l'amour de leur vie devait être un double d'elles-mêmes, comme si, ce qu'elles affectionnaient le plus était leur propre image. Et vous voilà parti dans ces intenses réflexions, et vous vous éloignez du sujet principal. Vous parvenez finalement à vous débarrasser de ces pensées parasites et à faire du jeune homme le sujet de toute votre attention. Vous vous lancez dans l'examen de son visage, les traits fins qui le façonnent, ces sourcils peu épais qui surplombent... Fuck. Seules ses paupières s'offrent à votre avidité, aussi, frustré, vous préférez poser vos yeux sur sa chevelure. Oui ! Voilà, vous y êtes. Asiatique est le mot qui vous manquait. S'il n'a ni les yeux bridés, ni une "face de citron", on sent l'influence de ce qui doit être à coup sûr une de ses racines. Et c'est peut-être cela, qui fait tout. Ses cheveux, lisses, noirs et épais vous prouvent déjà que vous ne vous enfoncez pas dans l'erreur. Ils sont courts, et une frange un peu en vrac dissimule la majeure partie du front. Ce type-là cultive sa féminité, cette phrase sonne bizarrement, sans toutefois exagérer. Car sa tenue n'a rien de féminin, elle fait surtout très enfantine et pourrait d'ailleurs peut-être vous tromper sur son âge ? Vous n'y pensez plus. Car après tout, ce qui vous fait penser à un uniforme d'écolier - se sont peut-être les chaussettes montantes qui donnent cette impression ? , lui va à merveille. Comme il est actuellement, assis, vous ne pouvez guère parler plus avant de sa silhouette ou de sa taille. Mais vous avez déjà eu le loisir de l'apercevoir debout, et vous apprendrez plus tard peut-être qu'il mesure 1m74. Il n'est pas très grand, ni lilliputien. Quant à son poids, c'est assurément quelque chose qu'on ne devine pas au premier coup d'oeil, mais les vêtements qui baillent et ses jambes de jeune fille vous indiquent qu'il ne doit pas être bien épais. Et tandis que votre regard est de toute évidence en train de le détailler de la tête aux pieds, il ouvre les yeux. Christ. Il vous avait remarqué depuis le début. Avant de vous enfuir d'une manière précipitée, vous avez pu quelques instants plonger dans ses pupilles. Quelle couleur étrange. On dira sans doute vert faute de trouver meilleure désignation pour la nommer, mais c'est un vert doré, presque ambre au final. Ce n'est pas la première fois que vous voyez une telle couleur, mais, alors que vous arpentez les couloirs, quelque peu essoufflé, vous vous dites que le contraste avec ses cheveux noirs et l'association avec sa peau pâle très légèrement dorée sont admirables. C'est ainsi que vous concluez en vous disant que le sang asiatique fait toujours des merveilles.

► Caractère


• Qualités :

La Reine Ryland (Transsexuel notoire, client régulier de l’Olympe) : « Ce choupinet ? Je l’ai déjà vu pas mal de fois ici, repartir avec des vieux messieurs. Il devrait vraiment éviter de se gâcher avec ces horreurs, qu’il vienne vers moi ! La Reine n’a jamais trop d’affection. C’que je peux dire sur lui ? Ecoute mon choupinet, celui-là c’est une crème. T’as vu comme il est mignon déjà ? Et puis il a toujours ces sourires gentils, il est très aimable et très serviable. Mais attention choupinet, s’il est super gentil avec moi c’est peut-être aussi qu’il est tombé fou amoureux, je comprendrais hein, qui n’est pas amoureux de la Reine ? Hey, t’en va pas chéri, je voulais te dire que je faisais souvent des soirées chez moi, alors si ça te dit, la Reine t’accueillera à bras ouverts. »

Dean McDonalds (Client de l’Olympe) : « Faites pas trop attention à lui là, Ryland, l’est barré ce mec, me dégoute. Votre gamin, il s’appelle Naoya. Très gentil garçon, adorable, on l’aime bien ici parce que ça fait un peu d’exotisme. En plus, contrairement à l’autre travelo, il est du genre très calme, et j’apprécie cette qualité chez les gens. Ouais, si vous voulez mon avis ce n’est pas quelqu’un de très émotif à chialer et crier pour un rien. »

Jack J. Fowler (Père de Naoya) : « Mon petit Nao, il est intelligent, précis, facilement concentré, très patient, perfectionniste. Il aime aller au bout de ce qu’il entreprend, et ça, c’est bien tu vois. Il sait aussi garder son sang-froid en toute situation, il fait partie de ces gens qui s’améliorent sous la pression, il aime les défis et travailler dur, se sentir en danger. Ca ouais, c’est pas le genre à se défiler. Il a du culot aussi nom de dieu, et c’est un putain de bon comédien. On a vraiment besoin de gens comme lui dans ce métier. Je dois dire que je suis plutôt fier ouais. »

Marina Lopez (Propriétaire d’un bar) : Un sympathique petit gars. Honnête et fidèle, je lui fais entièrement confiance. Il a dit qu’il m’aiderait à retrouver les enfoirés qui m’ont arnaquée. Vraiment sympa. On en voit plus beaucoup des jeunes comme ça prêts à aider leur prochain. Grâce à Dieu il en existe encore quelques uns. »

Thomas B. Johnson (Riche PDG) : « Hey vous savez, moi, la seule chose qui m’a toujours intéressée, c’est son cul hein. »


• Défauts : Harisson Warrence (Gouverneur d’un état des Etas-Unis) : « Un démon. Un putain de démon. Jamais, jamais j’aurais pensé ça. Ce connard m’a ruiné ! Si ma femme découvre quoi que ce soit… J’ose même pas y penser. Comment lui expliquer la disparition d’une telle somme ? »

Jack J. Fowler (Père de Naoya) : « Mais tu sais, parfois il me fait peur aussi. Il me fait penser à ces gamins qui foutent un insecte dans l’eau et le regardent se débattre pendant de longues minutes. Il aime jouer, jouer avec les humains. Au final, il est encore très enfantin puisque tout ce qu’il cherche c’est à s’amuser. C’est un séducteur, un manipulateur, et il adore ça. Le pire c’est que personne ne voit jamais rien venir. Le dicton « les apparences sont parfois trompeuses » prend tout son sens ici. Je ne saurais trop te conseiller de faire gaffe. … … Voilà, c’est quand j’entends ce genre de trucs que je me dis qu’il doit avoir des putains de pouvoirs magiques. Même prévenus, les gens ne peuvent s’empêcher de penser qu’il est tout à fait inoffensif… J’y peux plus rien à ce stade. »

A.M. Taylor (Inspecteur) : « Il fait traiter ce petit enfoiré avec dureté. Si vous voulez mon avis, il pense qu’à sa petite tronche, et fait ce qu’il a envie quand il en a envie. Il fera jamais rien pour vous si ça ne lui apporte pas quelque chose en retour, soyez-en sûr. J’suis persuadé que la prison aurait dû être sa nouvelle maison, j’aurais aimé le sortir de ce putain d’institut au moindre écart mais j’ai pas que ça à foutre. J’espère juste que ces connards vont faire leur boulot, pour changer. »

Nona Reagan (Fille de bourgeois quelconque) : « Il me fait peur. Il veut jamais jouer. Il a dit que si papa voulait pas payer il lui enverrait mon petit doigt en cadeau. Il a dit ça en souriant. Il me fait peur. J’ai peur, papa… »

• Centres d'intérêts : Il joue du koto, sorte de harpe à la japonaise. Du moins il a appris, plutôt un caprice qu’autre chose. Il s’était révélé bon élève mais ne possède pas l’instrument, aussi vous ne l’entendrez pas en jouer ni chanter un de ces chants classiques japonais qui accompagnent parfois la musique. Tiens la musique, tant qu’on en parle… Il est rare qu’il n’en écoute pas. Il apprécie également lire, mais il lui faut pour cela un environnement calme. Les crimes qu’il a perpétrés en compagnie de son cher géniteur formaient son principal hobby, aussi risque t-il d’être bien malheureux ici… Ou pas.
[D’autres choses sans doute, mais je suis fatigué là, ayez pitié. *OUT*]

Affinités Particulières


• Aime/n'Aime pas : Il aime… L’argent, les fringues, les restaurants de luxe et ne pas payer le repas grâce à un habile procédé, les arnaques, les Pink Panthers, l’hiver, la pluie, l’orage, les plantes… Il n’aime pas les pintades, tout ce qui jacasse trop inutilement à son goût, le chocolat, l’été, les chaussures ouvertes…
[Voir ce qu’il y a écrit entre crochets un peu plus haut. *Déjàdehors*]


• Goûts Musicaux : Il écoute de tout. Musique japonaise. Musique russe. Musique anglaise... Classique, métal, pop, génériques d’animés, éléctronique… Aucun style ou presque, sauf ce qu’il ne considère pas comme de la musique (quelque chose comme le rnb et les merdes qui passent à la télé en général…), n’y échappe.
• Goûts Culinaires : Il préfère la nourriture japonaise et tout ce qui est cuit à la vapeur en général, abhorre la cuisine à l’huile et tout ce qui est trop ‘’lourd’’. Inutile de préciser que vous ne le verrez jamais avec un hamburger à la main ni avec une canette de coca. Il a de plus adopté des goûts de luxe depuis un certain temps et refusera de manger quoi que ce soit qui ne serait pas digne de son palet. Enfin… Disons simplement que si ça a un goût de chiottes, il jettera la chose, gaspiller de la nourriture n’est pas du tout un problème pour Naoya car les enfants africains qui crèvent de faim il s’en tape complètement. A noter qu’il mange très peu de viande, moins par amour pour les animaux que pour le dégoût qu’elle lui inspire. Il ne mange jamais de yaourts.
• Goûts Vestimentaires : Fanatique aigue de la mode japonaise et du « Quand on aime on ne compte pas », Naoya dépense et a dépensé des fortunes colossales dans la création de sa garde-robe à faire pâlir un centre commercial. On trouve de tout dans son armoire, du punk, du dandy, du kodona, du sailor, du classe, du classique, de l’ega… Ou même des kimonos. Beaucoup de styles japonais donc, puisque tous ses vêtements ont presque sont Made in Japan, peut-être un petit côté patriote. Il peut porter un jean un jour, et le lendemain porter un corsaire, ne vous étonnez donc pas, ce n’est pas qu’il s’est pris de passion soudaine, juste qu’il ne se cantonne pas à un seul style.

► Histoire

Il était une fois, un petit garçon. Il était né de l’union d’un père venant du pays des hamburgers et d’une mère de la contrée du sushi. Son papa était gentil, sa mère était jolie. Sujet de longues et grandiloquentes discussions passionnées, son prénom leur posa quelques problèmes en raison de leurs origines tant éloignées. Mais les nouveaux parents finirent par choisir Naoya. C’était, à leurs yeux et leurs oreilles, un prénom très « musical » et le fait qu’il soit mixte et japonais empêcherait leur fils de ne devenir un membre de plus de l’éternelle armée des Kevin et autres James. Pourtant, la Maman qu’on supposa épuisée par l’effort et en quête de liberté, quitta peu après sa venue dans ce nouveau monde le petit garçon et son Papa. Ce dernier sût surpasser sa rancœur et sa souffrance pour donner au petit garçon la meilleure vie possible, puisque de toute façon, et de toute évidence, Maman ne les avait pas laissés parce que contrairement à ce qu’il le lui avait fait croire, Papa n’était pas très riche. Car d’argent, ils n’avaient guère besoin, les choses et joies simples de la vie suffisaient au bonheur du petit garçon et de son Papa. Jouant de malchance sans doute, ils finirent par être expulsés de leur maison à crédit, et par se voir forcés de vivre à l’hôtel ou chez des amis. Le papa du petit garçon, alors qu’il entamait quelque chose comme sa huitième année, devint chauffeur de taxi, heureux de pouvoir faire un métier qui lui permettrait de venir en aide à ses concitoyens d’une quelconque manière. Car en dépit de toutes les épreuves que la vie lui avait fait subir, le papa du petit garçon avait gardé intacte son amour de son prochain. C’est pourquoi il commença, peu à peu, à amener gentiment et gratuitement ses clients en dehors de la ville dans un sympathique magasin qu’il leur laissait le temps de visiter à leur guise, ou devant cette foule de manifestations officielles les empêchant d’accéder à leur hôtel, il les amenait de lui-même dans de superbes endroits de sa connaissance. Le manque de reconnaissance des gens pour ses bonnes actions ne le décourageait jamais, et le petit garçon avait décidé de l’aider du mieux qu’il pouvait. Aussi, tous les deux, commencèrent de soulager les passants de leurs sacs parfois bien trop lourds et la bouille d’ange du petit garçon faisait à coup sûr fondre tout être humain quand il leur demandait gentiment de l’aide pour nouer ses lacets. Mais au fil du temps, le petit garçon et son papa ne furent plus satisfaits de ces actions minimes qui n’embellissaient pas assez la vie morne et triste des gens. Il leur fallu bientôt penser à de nouvelles généreuses opérations. Naoya le petit garçon se sachant fort joli, décida une fois de plus avec son Papa de mettre sa beauté au service du bonheur et de la paix universelle, leur but ultime tant convoité, en offrant son corps à de pauvres hommes seuls, délaissés par leurs femmes et leur famille. Malheureusement, jamais il ne parvint à atteindre son objectif de donner un peu d’amour à ces hommes, puisque chaque fois qu’il s’apprêtait à jouer à de rigolos jeux avec eux pour leur redonner le sourire, un homme absolument inconnu de lui, évidemment, arrivait tout gâcher pour prendre une photo. Après ça, les hommes se montraient fâchés envers le petit Naoya. Cependant il n’abandonna pas. L’étendue de leurs bonnes actions bienfaitrices s’allongeait comme passaient les années, et distribuer partout autour d’eux des images de gens tout nus et heureux faisait aussi partie de ces produits de leur altruisme démesuré. Tout comme héberger pendant quelques jours, quelques semaines, voire quelques mois des enfants chez eux. Naoya et son papa étaient des gens très heureux et comblés, aimant répandre la joie autour d’eux. Mais un jour, des gens méchants vinrent cogner à leur porte, et violemment, les mirent au cachot. Son papa allait y rester toute sa vie, tandis que le garçon allait être envoyé dans une prison plus éloignée, spécialement faite pour les jeunes comme lui. Alors, ils étaient récompensés ainsi pour leur gentillesse ? pensa le jeune Naoya, déçu. Maintenant qu’il avait perdu sa liberté, que pouvait-il faire ? Il décida envers et contre tous de continuer d’essayer d’atteindre le but ultime de son papa : répandre le bonheur et instaurer ainsi la paix universelle.

______________________________ Chez Harrison Warrence, bonus.

« Vous voulez faire ça ici ?
- Ouais j’ai envie d’admirer ta nuque et de t’entendre crier comme une chienne, prépare toi bien... »

La poésie de ces moments resterait sans doute à jamais gravée dans sa mémoire. Et voilà que dans un soudain accès de délicatesse, une main puissante et velue l’écrase contre le bureau, tandis que l’autre tente désespérément de trouver la braguette de ce pantalon récalcitrant. On compte les secondes, on compte les minutes. On espère que ce putain de connard ne va pas trop tarder, déjà la sueur coule le long de ton échine. Tu t’imagines ce qui va t’arriver si effectivement, ce quinquagénaire qui a sans aucun doute été faire son stock de viagra et d’aphrodisiaques à son sexe shop fétiche où il a même sa carte de membre VIP en tant que très bon client, entre autres pour la location de ses films familiaux du samedi soir, réussi à vaincre tes jeans un peu trop tôt. Heureusement, malgré ta légère inquiétude, le timing est toujours parfait, et alors que monsieur le pdg, monsieur le maire, monsieur on ne sait quoi, porte encore le haut de son costume et son petit caleçon moulant ses parties génitales en ébullition et qu’il a ses deux mains moites posées sur les fesses douces et arrondies d’un adolescent entièrement nu, presque un enfant, papa débarque en défonçant la porte comme les enquêteurs de films d’action. Et toi d’en rajouter.

« Sourit le vioque, t’es filmé. »

Eclair du flash.


► Joueur/Joueuse

• Mot de Passe pour la Validation :
• Comment avez vous découvert le forum : Par un représentant de Sodomites & Associés, j’ai nommé Eike mon psychiatre préféré.
• Commentaire : Habile. (*A part ça, s'excuse une fois de plus, honteux*)

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