• Nom & Prénom : Okida Kaori
• Surnom : /

• Age : 17
• Date de Naissance : 20 Décembre
• Lieu de Naissance : Etats Unis

• Sexe : M
• Orientation Sexuelle : Homo


• Nombre d'arrestations : 1
• Délits commis : Homicide volontaire + Trafic de drogue



• Présent depuis : Nouveau

• Chambre ou Dortoir : Dortoir

• Intégré à cause : Obligation Judiciaire


• Taille : Kaori est plutot grand , il mesure 1m81.
• Poids : Il n'est pas très musclé , mais est loin d'etre gros , et pèse 65 Kg
• Couleur de cheveux : Les cheveux de Kaori sont noirs . Parfois , des reflets bleutés apparaissent . Ils ne sont pas très longs , mais pas courts non plus .
• Couleur des yeux : Le jeune homme possède des yeux ni trop grands , ni trop petits . Ils sont bleus très foncés et captivent les regards .
• Vêtements les plus souvent portés : Kaori n'a pas de style vestimentaire bien précis . L'androgyne est le plus souvent habillé de noir . Il aime varier dans les styles mais est plutot généralement concidéré comme " emo" . Il aime les accessoires ( chaines accrochées au pantalons , ceintures qui tombent ( et qui ne servent a rien x3 ) ) qu'il porte toujours .
• Autres : Le jeune homme aime les bijoux , il en porte souvent , et posséde un piercing a la lèvre et aux oreilles .


• Qualités : Kaori sait prendre sur lui et reste en général plutot calme et posé . Généralement , il ne reponds pas aux provocations , et déteste la violence gratuite , que ce soit envers lui ou qui que ce soit d'autre . On lui a toujours apprit a etre galant et respectueux , et il applique très bien cette lecon . L'androgyne est sympathique envers tout le monde , mais peux très bien devenir cruel et sans pitié quand on le pousse a bout . Sinon , c'est quelqu'un de très franc et qui n'a pas froid aux yeux .
• Centres d'intérêts : Pour ce qui est des centres d'interets , Kaori a l'esprit très ouvert . Parlez lui de tout et n'importe quoi , il trouvera forcemment quoi repondre . Il donne toujorus son avis , meme quand il n'y est pas invité ( ce qui peut , pour certaines personnes , paraitre très agacant ) Même si il s'interesse a tout , le jeune homme préfère parler de musique , car c'est le sujet qu'il m'aitrise le plus , d'après lui . ( sans se vanter bien sur =D ) Le seul sujet qu'il ne vaut mieux pas aborder avec Kaori , c'est son passé ... Il deteste en parler et n'en parle pratiquement jamais . Comme la plupart des personnes qui ont un passé lourd a porter , non ?
• Goûts & Loisirs : Le principal loisir de Kaori est sa guitare . Il ne la quitte pratiquement jamais . Elle est pour lui une sorte d'échapatoire . Le jeune homme aime aussi chanter , histoire de s'accompagner a la guitare . L'androgyne aime aussi lire , mais ne lit rien d'autre que des mangas . C'est la musique qui occupe malgré tout la plupart de son temps .




Mon histoire , suis-je vraiment obligé de vous la raconter ? Oui ? ... C'est comme vous le voulez , sachez juste que je n'ai vraiment pas l'habitude d'en parler , et que , malgré le fait que ce soit lointain , c'est toujours plutot embrouillé dans mon esprit ....

x Partie 1 x

Mon frère et moi sommes nés une nuit de pleine lune , une nuit où la neige venait se déposer contre les parois de la fenêtre de notre chambre d'hopital . La nuit du 20 Décembre . Nous passâmes plusieurs jours dans cette chambre , ma mère , mon père , mon frère que l'on avait prénomé Yuki , et moi-même . Bien sûr , je n'ai aucun souvenir marquant de cette période de ma vie car je n'avais que quelques jours . Je m'épanouissait innocemment , sans me soucier des autres , je découvrait le monde qui m'entourait à ma manière et je grandissait plus rapidement que mes parents ne l'avaient surement espéré .
Car , malgré le fait que je ne soit désormais qu'un enfant de six ans , je comprenait bien sûr que mes parents n'en avaient que pour mon frère jumeau . Tous deux s'occupaient de lui sans cesse , ignorant presque totalement mon existence . C'était à peine si ils m'adressaient la parole . Et quand je leur demandait pourquoi ils ne s'occupaient que de Yuki , ils ne me répondaient pas , me demandant d'aller jouer ailleur . Ce que je fesait systématiquement pour ne pas qu'ils m'enferment dans cette pièce ... Vous me demanderez surement de quelle pièce je parle , n'est ce pas ? Et bien , je vais tout vous dire à propos de ce lieu . C'était un jour où Yuki et moi n'avions que cinq ans . Nos parents nous avaient laissé seuls durant quelques instants . Et ce jour la , nous avions joué a un jeu stupide avec mon frère ... Le premier qui fesait tomber l'autre du canapé alors que nous étions debout avait gagné ! J'ai gagné , mais Yuki , au lieu de rire , pleurait et saignait . Nos parents , ayant entendus le raffut que nous venions de mettre , étaient accourut pour voir ce qui se passait et avait trouvé mon frère par terre , pleurant a chaude larmes . Ils le conduirent a l'hopital , contraints de m'emmener avec eux . Quelques heures après , Yuki allait mieux et nous rentrâmes à la maison ... Mais l'histoire ne fut pas terminée comme ca . Mon père , persuadé que c'était moi qui avait eu l'idée de ce jeu , était terriblement en colère . Il était tellement en colère qu'il m'en voulut toujours , et qu'il m'enferma dans une pièce que je n'avais jamais vu auparavent . Cette pièce était sombre , minuscule , froide et humide . Mes parents m'avaient laissé dans cette pièce une semaine entière et ce rituel se reproduisait a chaque fois que je m'approchait de trop de leur précieux Yuki .

x Partie 2 x

J'avais à présent neuf ans , et depuis mes six ans , il ne s'était rien passé dans ma vie , qui sorte de l'ordinaire . J'avais plusieurs fois été enfermé dans cette pièce qui me fesait tant peur ... Tout cela était de la faute de Yuki ! Au fil du temps , je m'étais mis à le haïr alors que je ne le connaissait même pas ou à peine ( car nos parents ne m'avaient toujours pas autorisé à l'approcher ) . J'étais d'ailleur toujours ignoré par eux , j'avais même fugué plusieurs fois sans qu'ils s'en inquietent , sans même qu'ils s'en apercoivent ! Comme so , pour eux , je n'existait pas ... J'avais mal au coeur a l'idée d'être comme orphelin , mais j'avais toujours vécut cela alors je m'y était un peu habitué et je m'étais fait à l'idée que je n'aurait jamais la famille dont j'avais tant rêvé . Et tout ca me fesait ressentir tellement de haine envers eux tous que j'avais décidé alors de fuguer pour de bon . Fuguer et ne plus jamais revenir ... Tel était mon plus beau rêve que j'avais enfin décidé d'accomplir .
Le soir où je quittai la maison " familiale " dont je me sentait tant exclu , j'attendis que tout le monde soit couché et endormit pour recuperer le peu d'affaires qui étaient à moi et les mettre toutes dans un sac a dos . Je le prit avec moi et partit silencieusement par la fenetre de la petite pièce qui m'avait servit de chambre pendant toutes ces années . Une fois éloigné , je regardai une dernière fois ce qui avait été ma maison pendant ces neufs années et je me mit à courrir , des larmes coulant sur mes joues , s'écrasant les unes après les autres derrière moi ... Pourtant , ce n'était pas des larmes de tristesse mais , au contraire , des larmes de joie et de soulagement . Elles cessèrent de couler et ma joie indescriptible se dissipa quand je fut arrivé en ville ... J'était perdu , je ne reconnaissait rien a cause de la pénombre qui m'entourait , et dehors , seuls les mendiants étaient éveillés . Je ne savais plus où je devais aller ni ce que je devais faire . Je courrut alors , surement pour me rassurer , tournant dans les ruelles , une fois à droite , une fois à gauche . Je finis par m'arreter sur des marches en pierres , devant un grand batiment que je n'arrivai pas a distinguer à cause de la pénombre , car seul la lune m'éclairait dans la nuit . J'étais tellement extenué et desemparé que je finis par m'endormir , posant ma tete sur mon sac , restant assis sur les marches de pierre .
Le lendemain , à l'aube , je fut réveillé par un jeune homme d'une vingtaine d'années au sourire charmant . Je me retournai , inquiet , et je revis le batiment que j'avais apercu la nuit précédente . Ce n'était donc pas un rêve ? J'étais bien partit de chez moi ? Des tats de questions se bousculaient dans ma tete et les larmes me montèrent aux yeux . Finalement , je me retournai pour apercevoir le visage rassurant de celui qui venait de me reveiller et je finis par lui demander de ma voix tremblante et timide :

" Qui ... qui êtes vous ? Et que me voulez vous ? "

L'homme ne me repondit que part son éternel sourire , et me tendit la main . Avec un peu d'hésitation , je la lui prit doucement , toujours un peu endormit et desorienté . Je remit mon sac sur mon dos et suivit le jeune homme dans le grand batiment . Il s'écria , tenant toujours ma main dans la sienne , fesant un grand mouvement circulaire avec l'autre :

" Je te présente mon havre de paix "

Je ne voyait pas vraiment où il voulait en venir mais je decidai de ne pas relever . A la fin de la journée , il me demanda si je voulait rester avec lui et je lui repondit sans aucune hésitation que rien ne serait pire que ce que je vivais avant alors la réponsé était oui .

x Partie 3 x

Aujourd'hui , j'ai 15 ans . Oui ! C'est le jour de mon anniversaire . J'ai une petite pensée pour Yuki et je me demande ce qu'il est devenu ... Ma haine envers lui s'est dissipée avec le temps mais je ne pourrai jamais pardonner à mes parents ce qu'ils m'ont fait endurer pendant les neufs premières années de ma vie . Vous vous demandez peut être si je vis toujours avec l'homme qui m'a recueuilli ? En effet , peut après que nous soyons rentrés chez lui , Hikari-sensei s'est présenté à moi et je me suis présenté à lui , je l'ai tout de suite beaucoup aimé . Il m'a prit sous son aile et m'a apprit tout ce que je devais savoir et que j'ignorait . Hikari-sensei m'emmenait chaque jour dans son " havre de paix " qui était en fait son lieu de travail ( la librairie de la ville ) et , grace à lui , j'observait le monde d'un oeil nouveau . Il s'est toujours occupé de moi comme de son propre fils , mettant sa propre vie entre parentheses .
D'ailleur , il est aujourd'hui à coté de moi alors que je viens de souffler les bougies du gateau ( un peu raté xD ) qu'il a passé la journée a faire . Il me sourie tendrement , à vrai dire , Hikari-sensei n'a pas beaucoup changé physiquement , moi , si . Vous me voyez tellement heureux aujourd'hui et vous vous demandez certainement comment un garcon aussi épanoui que moi ai pu sombrer dans la drogue , l'alcool et le meurtre ? Eh bien , ne soyez pas si impatients , je vais vous expliquer ...
Nous étions donc le 20 Décembre , je venais d'avoir 15 ans et Hikari-sensei venait de prendre une photo de nous deux . Il posa l'appareil et me dit d'une voix inquiète et pleine de désolation :

" Oh ! Kaori-kun , j'ai oublié ton cadeau au magasin ! * Bakaaaa * Je file le chercher ! "

Il m'embrassa sur la joue , prit son portable et disparut dans le couloir en courrant . Je souriai et decidai d'aller devant la télé . Cela faisait déjà une heure que Hikari-sensei était partit . Je décidai de l'appeler alors , mais en vain . Je tentai le coup plusieurs fois , m'inquietant chaque fois un peu plus mais ce fut inutile car il ne repondait pas . Je prit alors le bout de papier sur lequel mon maitre avait noté l'adresse du magasin et je courrut à toute vitesse , jusqu'a arriver devant un petit magasin . J'étais soulagé de voir HIkari-sensei , le sourire aux levres , attendre devant la caisse . Pourtant , un coup de feu retentit , j'accourut alors dans le magasin pour voir que c'était Hikari qui venait d'etre touché , je hurlai alors a la vendeuse d'appeler les secours , ce qu'elle fit sans broncher . L'homme qui venait de tirer sur celui que je considerai comme mon père venait de s'enfuir et je ne pouvait plus le rattraper . Je suis alors resté aux cotés de mon maitre , attendant les secours , jusqu'a ce qu'il me prenne la main et me dise dans son dernier souffle " Je t'aime mon fils " , il me relacha la main , le regard dans le vide et je comprit alors que tout était fini . Des larmes coulèrent alors a flots sur mes joues , ma tristesse étant aussi grande que ma haine contre cet homme et contre moi meme ...

" Je te vengerai Hikari-sensei , je te le promets ! ... "



22 Décembre Les funerailles ont lieu aujourd'hui . En m'y rendant , je ne peux m'empecher de penser à autre chose que ce qui s'est produit il y a deux jours maintenant . Chaque nuit , je revois le visage sans vie de mon maitre et le sourire sadique de celui qui la lui a volé . Le visage de cet homme ne pourra plus jamais s'effacer de ma memoire , a cause de lui , je me retrouve seul au monde , livré à moi même sans que personne ne me tende plus jamais la main comme Hikari-sensei l'a fait il y a longtemps . En entrant dans l'église , je ne suis pas surpris de voir autant de monde . Je ne connais personne et personne ne me connait . Je m'installe au dernier rang , me remémorant tous les souvenirs et les bons moments passés avec Hikari-sensei . Pourquoi a-t-il fallu que ce soit lui ? Peut etre suis je egoiste mais je m'en fiche .... Je continue de me morfondre , sentant mes larmes chaudes couler les unes après les autres sur mes joues glacées . " Je dois tenir la promesse que j'ai faite à mon maitre et je le ferai quoi qu'il m'en coute ! " Ce fut la pensée que j'eut et qui resonnai dans ma tete quand je sortit enfin de l'église . J'étais convaincu que ce que j'allai faire serait le plus beau cadeau d'adieu que je puisse faire à Hikari-sensei .

[...]

25 Décembre Je l'ai eu ! Ne me demandez pas comment ( j'ai mes sources ) mais je l'ai eu ! Je connait son nom , son lieu d'habitation et tout ce qu'il y a à savoir sur celui qui a volé la vie à l'être le plus cher à mes yeux . La haine qui bouillait en moi m'insitait à aller le voir tout de suite , mais même si j'en avait envie , il fallait que je prépare mon plan . Biensur je n'allai pas lui sauter dessus , c'est pour ca qu'il fallait que je sache ce que j'allait faire pour savoir , primo pourquoi il avait tué mon maitre et pas un autre , deuxio pour qui il travaillait , tercio comment j'allait m'y prendre ... J'étais seul dans la maison d'Hikari-sensei et en regardant la photo du tueur dans le dossier le concernant , je ne put m'empecher de prendre un air sadique et de dire d'une voix pleine de haine :

" Akio Yoshida ... Tu mourras .... ce soir ..."

Rien ni personne ne pouvait plus m'en empecher , je prit la journée pour reflechir et c'est a vingt heure que je me decidai à partir à la recherche de ma victime . Avant , je prit un couteau que je cachai dans mon manteau et je mit la photo prise a mon anniversaire dans ma poche . J'étais enfin pret , il allait souffrir .. il allait enfin payer pour ce qu'il avait fait .

Je marchais seul dans la rue ou il habitait , il n'y avait pas un bruit . Comme si les gens avaient su à l'avance que j'allait veniret tuer un des leurs . Pourtant ce silence ne me destabilisait pas plus que ca , au contraire , il me calmait et me rendait encore plus serein et détendu que je ne l'était ... Qui pourrait croire que j'allait tuer une homme dans moins d'une heure ? ... Personne bien sur ! D'après la fiche d'informations que j'avais entre mes mains glacées , cet homme n'avait pas de famille et venait de finir sa journée . Il était , d'après ce que la fiche disait , rentré chez lui , comme chaque jour . Peu à peu , je me rapprochait de la maison , et quand je fut devant la porte d'entrée , je ressentit une montée d'adrénaline soudaine . Je soufflait doucement :

" C'est pour bientot Akio .... "

Un coup d'oeil jetté par la fenetre du salon et je l'apercu enfin , assoupi devant la télévision . Tout me paraissait si facile , comme si le destin avait voulu que je le tue ... Je decidai qu'il ne fallait pas que je me soucie de ca et j'ouvrit la porte sans un bruit . Je traversai le couloir a pas de loup et me faufila derriere lui . Une fois cela fait , je lui ligottait les mains et les pieds ; bien sur , il se reveilla , se demandant surement ce qu'il lui arrivait , mais je l'assoma alors en suivant . Après l'avoir baillonné , j'attendit que l'homme que je haissait tant se reveille pour qu'il ressente pleinement la douleur que j'allait lui infliger et aussi pour qu'il se voit mourrir . Une fois que je put voir ses yeux bleus azurs , je sortit mon couteau et lui coupa les doigts un a un , le plus lentement possible . Du bout de la lame , je lui dessinait sur la peau , enfoncant mon couteau profondement dans sa chair . Lui souriant alors qu'il me regardait de ses yeux pleins de larmes . Lui arrachant violemment l'enorme scotch noir que je lui avait collé sur les levres , je lui mit ma main dessus pour ne pas qu'il hurle et lui tailla l'embrasure de ses fines levres , lui dessinant un sourire macabre . Au niveau de ses oreilles , je fit de même et , de mon eternel sourire sadique , je lui souffla a l'oreille :

" Maintenant ... si tu ouvres la bouche tu meurs .... a toi de choisir "

J'enlevai ma main de sa bouche et il ne fit rien , aparemment , il pensait qu'il s'en sortirait ... il était vraiment pathéthique . Ma haine et mon excitation ne cessait d'augmenter alors que mon jouait commencait , lui , a fatiguer , se vidant toujours de son sang dans lequel il baignait désormais . Je lui adressai un dernier sourire avant de lui dessiner des pointillés , toujours a l'aide de mon couteau , dans le cou . Une fois cela finit , je lui dechira sa chemise et lui decoupa la peau a l'endroit ou son coeur était placé . Je me levai alors , essuya mon couteau et partit par la porte de derriere , sans oublier d'adresser un dernier mot a ma victime :

" Tu n'aurais jamais du faire ce que tu as fait ... Akio Yoshida .. "

Je sentais son sang sur mes mains mais cela ne me procurrait aucun sentiment , aucune sensation ... pas de bonheur , ni d'horreur , pas de degout ni de soulagement ... rien ! J'avais tué cet homme et je ne me sentait ni libéré , ni quoi que ce soit d'autre . Ce sentiment si neutre me deroutait completement . Je me mit alors a courrir dans les rues sombres , alors que les flocons de neige s'écrasaient sur mon visage , je levait la tete et vit la pleine lune ... Tout cela me fit sourire , ( voir tout début de l'histoire ) mais qu'allait je faire maintenant ? Je ne pouvait tout de meme pas retourner a la maison d'Hikari-sensei ....

x Partie 5 x " Que vais-je devenir ? "

Mes vêtements et mon corps empestaient le sang . Finalement , j'avais courrut presque pendant toute la nuit à travers les ruelles sombres et étroites où personne n'osait s'aventurer , qui , elles , sentaient l'alcool et la drogue a plein nez . J'étais pret à m'arreter quand une bande de jeunes à peine plus âgés que moi m'interpela :

" Hé toi ! Qu'es' tu fous tout seul ? "

Je m'avancait prudemment vers eu en leur montrant mes mains couvertes de sang . Je pensait pouvoir leur faire confiance , ils étaient les seuls qui pouvaient peut etre m'aider . Qu'auriez vous fait à ma place sérieusement ? Je leur répondit alors , m'adressant plus particulierement à celui qui semblait etre le " chef " :

" J'ai ... comme un probleme ... "

Ils comprirent tout de suite et m'emmenèrent avec eux au dernier étage d'un immeuble abandonné qu'ils avaient emmenagé à leur facon pour en faire une sorte de " repaire " . Ils m'accueuillirent et me " tendirent la main " à leur manière , je m'en contentait car c'était mieux que rien . J'était exténué mais ils m'obligèrent à leur raconter toute mon histoire , ce que je fis sans broncher . Quelques minutes après la fin de mon recit , je m'endormit .

26 Décembre Je me réveille allongé dans un vieu canapé miteux . Je ne comprends pas très bien ce qui se passe , ni ou je suis . * Qu'est ce qui c'est passé ? u_u * Je me retourne et reconnait le visage du " chef " , puis , mon regard dévie sur mes mains toujours ensanglantées et je me rappelle enfin . Un sourire vient alors illuminer mon visage . Je me sens tellement ... soulagé ! C'est un peu comme si je portais un poids en moins . Finalement , je me redresse sur le canapé et je prends en main la tellecomande avant d'allumer la télé . Bizarrement je tombe sur les informations mais je ne zappe pas :

" Présentatrice - Nous retrouvons maintenant notre reporter ...
Reporter - Effectivement , je suis arrivé sur les lieux du crime qui a eu lieu hier soir .

[...]

Reporter - Nous avons rarement vu un tel massacre !

[...]

Reporter - Les enqueteurs viennent à peine d'arriver et recherchent en ce moment d'éventuelles pistes sans franc succés
Enqueteur - En effet , nous n'avons aucune idée de l'identitée du tueur mais nous le coincerons j'en suis certain !

[...]"

Je sens alors la telecomande m'échapper des mains et je regarde derriere moi , le " chef " me sourie avant de me dire :

" On ne dira rien ... à une condition ... "

x Partie 6 x " A une condition ... "

[ A suivre ]