► État Civil

• Nom & Prénom : Hellena Caprice
• Surnom : Hell, Princesse, Lena, Cap’

• Age : 986 153 937 jours. Plus ou moins. Donc, 27 ans.
• Date de Naissance : 21 mai
• Lieu de Naissance : Vardø

• Sexe : Féminin
• Orientation Sexuelle : Homosexuelle, quoi qu’adorant draguer les mec.

► Curriculum Vitae

• Grade : Capitaine
• Profession : Maître nageur. Je me suis découvert une véritable passion pour l'eau, la nage. C'est le seul élément capable de me calmer autant physiquement que psychiquement.
• Qualifications, Études & Parcours : Études militaires à partir de 16, j'ai étudié tactiques, techniques d'interrogatoire et mécanique. Les math n'ont plus de secret pour moi, tout comme reconstruire une arme, un bombe... Je vous laisse imaginer la suite.

Je suis un sniper. Une tireuse d'élite, une tueuse. Connaissant également la biologie et la chimie sur le bout des doigts, il m'était aisé d'empoisonner quelques dirigeants sur ordre des supérieurs hiérarchique. Mais tuer n'était pas seulement dans mes qualification. Je devais également pouvoir soigner, apaiser les troupes et le moral des gens lors de missions humanitaires. En gros, ma formation a été variée et complète quoi qu'on en dise.

► L'institut Teenagers

• Présent depuis : Quelques mois. Cinq tout au plus. Cinq mois d'enfer, parce que je suis une femme d'action, rester sans bouger est un calvaire. Voir des gosses la bave aux lèvres et la morve au nez, ne me permet pas de me remettre de la dernière mission, bien au contraire. Me lâcher ici en disant "leur présence vous fera du bien" n'est qu'un excuse pour se débarrasser de moi.

► Physique

Nous sommes revenus de guerre et comme chaque fois, le passage à l'infirmerie était obligatoire. Je boitais sévèrement, la cheville s'étant bien tordue durant notre replis. En attelle, béquille sous le bras, je me dirigeais dans ce camp avec l’entrain d'une bête allant à l'abattoir. C'était pourtant pas la mort...

Je fixai l'homme devant moi, qui me désigna l'espèce de paravent pour que je me déshabille. Je revins vers lui, claudiquant, en sous-vêtements. Il me fixe encore quand je monte sur la balance, s'y reprend à plusieurs fois avant de trouver le poids qui devait me convenir.

cinquante-six Kilogrammes et quelques poussières. Trop peu pour ma taille. D'ailleurs, on voit mes côtes, des os saillants. Je n'aie plus rien de la jeune fille élégante. Je suis une... comment on dit déjà? "Évadée de l'enfer" ou encore "Un cas habituel de privation dû à la guerre." Je ne supporte déjà pas le regard que ce médecin me lance. Plein de condescendance, de pitié. Et d'envie. J'ai envie de lui sauter à la gorge et de frapper fort sa tête contre le sol de la tente. Jusqu'à ce qu'il ne reste que de la purée de cervelle. Mais je m’égare. Encre ces pensées impures et dangereuse.

Il m'indique un coin de tente, où est dressé une grande planche de bois. Je me colle à elle, me redresse malgré la douleur lancinante et dresse la tête, bien droite, quasi au garde à vous.

173 centimètres.

Il m'allonge sur le lit de fortune et commence à m'examiner. Pas d'autres blessures, quelques contusions sans gravité, Une tension un peu basse mais pas inquiétante. Vue parfaite, excellente comme toujours. Pourtant quand il passe la petite torche devant mes iris, une réaction se déclencha, violente. Je le repousse en hurlant, de terreur autant que de douleur. Au sol, il m’observe étrangement alors que je me planque en dessous d'un bureau, dans un coin.

Accommodation à la lumière vive. Choc dû aux multiples explosions.
Respiration rapide, hyperventilation dans des espaces ouvert, et pièce closes/ouvertes avec du monde. Traumatisme sévère.

Passage chez le psychiatre militaire obligatoire. Trouble sévère de la personnalité

Charmant n'est-ce pas? Ça va mieux à présent. Je me contrôle, grâce aux médicament, je gère mieux mes crises d'angoisse. Je vis mieux. Je souris toujours rarement, mais j'ai repris un peu de poids. Je fais maintenant cinquante-neuf kilogrammes. C'est mieux, mais toujours insuffisant. Moi, ça me convient: mon corps est gracile et élégant, sa silhouette fine ne fait qu'accentuer des formes simples et pourtant délicates, généreuse.

J'aime beaucoup mon dos, parce que j'ai toujours été attiré par les chutes de rein. Et je trouve la mienne particulièrement bien dessinée. Et puis mes jambes, longes et fine, un ventre plat, légèrement musclé, dur durant l'extase et l'effort. Et ma poitrine... un délice pour le regard. Une peau douce, pâle, mise en valeur par des cheveux naturellement très clair, à la limite du décoloré et des yeux d'une intensité remarquable, d'un bleu océanique. Mes cheveux... je les coupe moi-même. Parfois sans miroir, ce que donne des mèches inégales et rebelles. Oui, je ressemble un peu à une sauvage avec une clope au bec.

Et aussi, pour les plus intimes et observateurs, j'ai également un tatouage. Un grand, un beau, un sensuel. Un tatouage peut être sensuel? En tout cas le mien invite mes amantes à le découvrir. Des lignes savantes, croisées et décroisées, des fleurs minuscules comme des gouttes d'eau qui remontent vers mon intimité... avant de tourner brusquement vers mon aine en une fleur splendide qui est éclose, se terminant sur la naissance de ma hanche.


► Caractère

• Qualités : On dit de moi que je suis naïve et adorable. Pourtant l'intelligence fait aussi partie de ma personne. Je suis débrouillarde et je ne crains pas grand chose.Je suis crieuse, j'adore apprendre. C'est une sorte d'exutoire. C'est une chose dont je ne peux me passer. Je suis, ou plutôt, j'étais très sociable, avec un contact facile. Je ne juge pas les gens avant de les connaître et quel que soit leur problème... je m'en fiche. Nous sommes tous humains. Gentille, compréhensive aussi, loyale et fière.
• Défauts : J'ai beaucoup de défaut... par exemple, j'ai l'autorité en horreur. Je ne suis pas non plus des plus fidèle. Il m'arrive d'être froide, peu causante voire carrément mordante. J'ai le réveil mauvais, surtout si on me lève de force, à un moment que je ne veux pas. Je déteste faire les courses aussi. Ça compte comme un défaut? Je suis parfois un peu trop perfectionniste et j'ai une fâcheuse manie de tout ranger dans un ordre précis. Un peu maniaque à cause de l'armée. Il m'arrive aussi de dire des mensonges. Je mens très bien parait-il. Et je suis aussi assez manipulatrice. Moui, assez contradictoire avec mes qualités, je vous l'accorde.
• Centres d'intérêts : ( Loisirs, ect. Minimum dix phrases bien construites)

► Affinités Particulières

• Aime/n'Aime pas : Je déteste les esprits fermés. Ceux qui sont carrés et ne veulent jamais entendre raison. Je n'aime pas non plus qu'on me rabaisse à simple geen. Ce n'est pas parce que je ne suis pas attirée par les bijoux masculin que je suis forcément différente des autres. La preuve, j'ai été militaire décorée. Après, j'aime me retrouver seule pour peindre, observer les nuage et rester au calme. J'aime le calme. Et la nuit aussi. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'aime pas vraiment le noir. C'est dans la pénombre que survint les pires choses. Oh. Pourquoi j'aime les femmes, ça s'est une question. Parce qu'elles savent comprendre les autres femmes. Elles savent les combler, ce qui leur fait du bien. Leur douceur et leur manière de princesses. J'aime qu'il faille prendre soin d'elles, qu'elles puissent se permettre des folies financières pour l'unique raison de la beauté. Elles savent être autoritaires, magnifique et étrange, mystérieuses.

• Goûts Musicaux : Tout dépend du moment... par exemple, lorsque je coure, j'aime la musique entraînante. Parfois violente, ce qu'il faut en fait pour que je garde un rythme soutenu, que je ne songe pas à l'effort afin de pouvoir le faire durer et trouver mon second souffle. avant de dormir, je préfère ce qui est plus calme, écouter des paroles qui me font divaguer et songer à je ne sais quelle aventure. Bref, qui laisse place à l'imagination. En gros, j'écoute de tout, mais je déteste le jazz et le rap, sauf quelques rares exceptions. Et pas la peine de me parler de Slam. Je suis au courant des nouveautés, je connais les groupes et les paroles, mais je n'aime pas pour autant.

• Goûts Culinaires : L'armée étant ce quelle est, la guerre étant aussi ce quelle est, il m'a fallut m'habituer aux rations. C'est franchement pas extraordinaire, mais mangeable. Et quand on nous sert ça à tous les repas, on fini par aimer. Ou détester. Dans mon cas, j'ai fini par aimer. J'ai commencer à trouver cela ingénieux en plus d'être succulent. Tellement que je m'en passe difficilement aujourd'hui. Du coup, hamburger, pain saucisse et repas plus gastronomique me semble... étrange tout en étant parfaitement succulent. Je redécouvre un peu la vie si vous voulez. Et je ne suis donc pas difficile pour ce qu'on me met dans l'assiette. Si ce n'est que je déteste les champignon, courgettes, endives... bref.

• Goûts Vestimentaires : J'aime les habits larges, amples qui ne laisse que deviner les forme. Généralement, je mets un pantalon taille basse, laissant apercevoir le bout de ma culotte. Couleur sombre si possible. Comme haut, ça ressemble à un marcel féminin, avec un beau décolleté, toujours large et sans soutif. Du coup, je dois parfois faire attention quand je me baisse, même si je ne suis pas vraiment pudique. Ce haut est blanc la plupart du temps. J'adore aussi mettre de gros bonnets gris vert... et des écharpe! j'adore les écharpes.

► Histoire

Je suis la fille héritier d’une riche entreprise dont les ramifications s’étendent dans plusieurs pays différents. Mon père était lui-même le fils du précédent directeur de cette entreprise, mais il a fait tout fructifier de ses propres mains. Sa richesse colossale, il ne la doit qu’à lui-même. C’est ce qu’il ne cessait de me répéter. Homme froid, perfectionniste et imbu de sa propre personne, il dirigeait chacun de ses hommes, chacun de ses employés, d’une main de fer. La famille ne faisait pas exception. Que cela soit ma douce mère ou moi-même, cela ne faisait pas de différence. Quoi qu’il était bien plus dur avec ma pauvre personne qu’avec n’importe qui d’autre. La preuve :

Il était en pleine discussion avec un type quelconque sur une affaire toute aussi quelconque. Moi j’étais censée écouter la conversation qui se tenait en français pour la retranscrire dans ma langue maternelle. « Rien de mieux que la pratique, Fille ! » C’est ça. Dis plutôt que t’es trop débile que pour tout comprendre. J’aurais bien voulu le lui dire en face mais la perceptive de la punition m’empêchait de mettre ce désire à exécution. Avec un soupire profond qui me valu un regard noir, je fis ce qu’on attendait de moi. Après un temps particulièrement long, le type prit congé et je pus enfin demander ce que je voulais.

Moi qui lui demandais seulement de m'acheter une nouvelle voiture téléguidée, je me retrouvais une nouvelle fois avec l'inventaire de l'arbre généalogique de ma famille... autant m'achever tout de suite, cher papa. Lilas, Mimosas, Gertrude et Alphred n’avaient plus de secret pour moi. Je me demande vaguement comment une vie peut-être aussi ennuyeuse.

A quatorze ans, ma vie se limitait au manoir familial et plus particulièrement, ma chambre. Une chambre que je détestais. Ce n’était pas moi qui l’avais choisie, ni même qui l’avait décorée. Les meubles sont massifs, décorés finement, les murs sont peins avec une sorte d’orange-beige qui à force d’être éclairé par le soleil, me donne mal de tête. J’ai déjà parlé de la décoration ? Oui je crois. En fait, il n’y a pas de décoration. Ça risquerait de me déconcentrer, dixit mon cher petit papa. Assise sur la chaise, devant mon bureau, penchée sur mon devoir passionnant, je relisais pour la centième fois ce que je connaissais déjà. Une heure plus tard, mon père était de retour, avec une personne que je connaissais bien. Il la fit entrer et me jeta un coup d’œil significatif. Retenant un nouveau soupir, je descendis de ma chaise saluai pour la cinquième fois de la journée mon paternel. C’était d’un ennui ! Impassible, j’attendis qu’il termine de discuter avec la femme et lorsqu’il quitta la pièce, je restai immobile encore quelques minutes dans le silence. On n’est jamais assez prudent ! Quand je fus certain que Père ne reviendrait pas, je sautai au cou de Pénélope.

- Tu m’as manqué ! murmurais-je.
- Je suis pourtant venue il y a deux jours, madame.

Pénélope est ma préceptrice. Avec un père comme le mien pas question que j’ai une éducation laissant à désirer. J’ai plusieurs professeurs mais Pen' est sans doute celle qui vient le plus souvent. Elle est chargée de m’apprendre les langues, la musique, l’histoire, et l’astrologie/astronomie. Pour dire la vérité, nous ne faisons jamais grand-chose, on travaille certes, mais on discute surtout beaucoup. Péné est la seule que je puisse vraiment considérer comme une amie.

- Regarde Pen ! fis-je en anglais en lui montrant un dessin.
- Très réussi. C’est votre travail pour Luwreti ?
- Non. Me casserais pas le cul pour ce vieux débris. Non, ce dessin, il est pour toi.

Bha, Elle me regarde bizarrement maintenant. Elle sourit un peu, puis de plus en plus avant d’éclater de rire.

- Pauvre homme ! Lui qui est certain de ne rien pouvoir tirer de vous ! Cessez de le faire ainsi marcher !
- Et toi cesse de me vouvoyer. On se connait depuis trop longtemps. Je bougonne.

Elle passa sa main dans mes cheveux, les ébouriffant. Elle murmura quelque chose comme : mais vous êtes ma maîtresse, avant de sourire. Puis nous commençâmes à travailler. Dans deux mois, j’aurais quinze ans.


C’est mon anniversaire aujourd’hui. C’est censé être un jour heureux. Pourtant je ne le suis pas du tout. Je ne comprends même pas comment on peut être aussi triste. Comment un cœur qui ne connait rien à la vie peut-il aussi ardemment désirer mourir ? Hier, Pénélope était venue me donner cours. Elle m’a offert un bracelet d’or blanc en affirmant que rien n’était trop beau ou trop cher pour moi. Qu’elle voulait juste me voir sourire, rire. Elle savait que je n’étais vraiment heureuse qu’en sa présence, et malgré les dix années qui nous séparait… nous étions amies.

Pourquoi mon père l’a-t-il renvoyé à la fin du cours ? Il ne peut pas avoir entendu ma… enfin ! Je l’avais murmuré au creux de l’oreille de Pen, Père ne peut pas l’avoir entendue ! Il ne peut pas savoir que j’aimais Pénélope… C’est impossible.

N’empêche qu’aujourd’hui je suis seule, enfermée une fois de plus dans cette pièce que je déteste tant, avec une montagne de choses que je suis censée apprendre. Qu’est-ce que je pouvais bien en avoir à faire de la physique quantique ? Des Asymptotes et autres machins particulièrement chiants ? Je veux juste la voir… Jouer au piano le morceau que j’ai composé pour elle… Je veux juste ne plus avoir mal de tête et cesser de pleurer. Je voudrais pouvoir dire à mon père combien il est bête, combien je le hais et surtout, que ses rêves de me voir reprendre la société ou un quelconque autre métier comme médecin avocat ou astronaute, me laisse particulièrement indifférente. Je voudrais lui cracher à la face que je ne suis pas la fille parfaite qu’il aimerait avoir. Première imperfection : la première personne que j’ai aimée était une femme. Deuxième: je ne suis pas un homme.

On toque à la porte, je ne réponds pas. Ma mère entra et me fit un sourire désolé en me voyant. Elle me prit dans ses bras et essaya de calmer ma douleur. Ma mère a toujours été une femme très douce, mais elle ne s’opposait jamais à son mari. Elle l’aimait trop pour ça.


Seize ans. Un an jour pour jour après l’événement. J’ai repris du poil de la bête, je me suis remplumée, me suis renforcée autant mentalement que physiquement. J’ai cessé de déprimer, de désirer si ardemment la mort. Je suis décidée à me venger, à prendre ma propre voie. C’est ce que Pénélope aurait voulu. Peut-être aurait-elle désapprouvé mon choix, c’est même certain, mais j’avais décidé de partir, de faire ma vie. J’avais même reçu une aide inespérée. Mes parents étaient assis devant moi, attendant que je parle puisque je leur avais expressément demandé de s’installer devant moi. Je ne reçois pas de cadeau, comme depuis de nombreuses années. Sur la table devant nous, plusieurs tas de papiers, des liasses et des liasses. Tout ce que mon père m’avait demandé depuis les derniers mois. Des calculs, des réflexions, des lectures, contre-rendus et traductions. Je souris à ma mère qui me fait un petit geste d’encouragement.

- J’ai quelque chose pour vous.

Impossible de savoir à qui je m’adressais. A mon père ? A ma mère ? Ou bien les deux ? Difficile de savoir puisque j’étais obligé de vouvoyer mes géniteurs depuis que j’avais le don de la parole. Je me levai, demandai d’attendre quelques minutes et ne songeant même pas à être en colère sous le regard accusateur de mon paternel. –je lui faisais perdre du temps, et le temps, c’est de l’argent. – Dix minutes plus tard, j’étais à nouveau en bas, changée. J’avais troqué mes habits classieux pour la tenue de soldat réglementaire. Je ne possédais qu’un unique sac avec mes effets personnels.

- Je me destine à une carrière de militaire Père. Un jour peut-être recevras-tu un coup de fil t’annonçant la mort de ton fille unique… J’espère que ce jour là, tu souffriras autant que tu m’as fait souffrir. Maman… Merci. Pour tout.

Je l’embrassai et quittai la demeure familiale avant que mon paternel ne puisse vraiment comprendre ce qui se passait.

► Joueur/Joueuse

• Mot de Passe pour la Validation : HCS
• Comment avez vous découvert le forum : Par Athénaïs
• Commentaire : Nop ^^ Y'a juste quelques liens qui fonctionnent pas, dont un dans le message de bienvenue ^^

Bienvenue sur le forum Capitaine ~
A la moindre question n'hésite pas !
Et bonne chance pour ta fiche !

Bonjour et bienvenue ~
Bonne chance pour la suite de ta fiche n.n

Comme promis, fiche terminée! si vous désirez d'autres détails ou autre, n'hésitez pas ^^

Par Athenaïs ? ^w^ C'est chouette ca.

Bon, si ma connexion ne fait pas de caprice ce soir, je m'occupe de ta fiche ~

Désolé du temps de réponse.

Alors alors.
Il manque les centres d'intérêt déjà pour commencer.
Ensuite, le rôle de maître nageur n'était pas proposé comme accessible pour les militaires... Du coup je vais y réfléchir un peu.
Le rôle de ton personnage dans l'armée, est trop vague. Il va falloir préciser. Le fait qu'elle sache beaucoup de chose ne dit pas ce qu'elle y était.
Ensuite, à moins que j'ai lu trop vite, tu n'as pas mentionné, comment elle se retrouve dans FAITH, que cela soit dans son parcours ou son histoire. Surtout que visiblement elle n'était pas à être formée pour les centres, alors c'est bien plus intéressant encore ^^

Pour ce qui est du rôle de Capitaine, vu le niveau de rp, je te l'accorde sûrement, même si les femmes ont toujours été en minorité à l'Armée. Mais pourquoi pas ~

Bref, que de choses à modifier, si tu as d'autres questions, n'hésites pas, et bonne chance

Coucou Hell ! Je te souhaite la bienvenue sur Air Teenagers ! Tu viens d'embarquer pour un allé simple vers la dépression nerveuse et les fous rires (souvent causés par une nervosité trop grande ou bien par réalisation que le sadisme, ça te va bien), le voyages sera ponctué de durs regards de l'équipage ainsi que tous les autres passagers, farouches quoiqu'on en dise, qui ont la salle habitude d'obtenir des objets potentiellement dangereux. Ne t'en fais pas trop, récemment, le règlement des transports et transfères de marchandises s'est plus stricte, ce qui nous assure que tous les gentils compagnons bisounours qui suivent bien gentiment les règles n'en possèdent aucun.

En espérant qu'il ne t'arrive rien (de grave), rejoins-nous vite ♥

(En clair, bienvenue, Hell ^^)