► État Civil

• Nom & Prénom : Edge Aidan
• Surnom : Mac'A'Dames

• Age : 19 ans
• Date de Naissance : 11 Juin 1991
• Lieu de Naissance : Chicago
• Nationalité : Américaine

• Sexe : M
• Orientation Sexuelle : Hétérosexuel

► Casier Judiciaire

• Nombre d'arrestations : De souvenirs, une bonne quinzaine.
• Délits commis : Usage illicite et cession de stupéfiant, ivresse publique et manifeste, violence volontaire, outrage à agents, dégradations et destructions de biens publics, participations à des combats illégaux et j’en passe des meilleures.


► L'institut Teenagers

•Présent depuis :Nouveau. Ils sont nouveaux et débarquent… Hm, non, ils n’ont pas encore mit un pied dans les lieux. Ils arrivent.

• Chambre ou Dortoir : Une chambre, seulement avec son frère.

• Intégré à cause : Décision de justice.

► Physique

1m79 pour 63kg. Autant dire qu'il est dans la moyenne. Qu'ils sont dans la moyenne ; car Aiden et Aidan sont similaire en tout point sur le plan physique. Impossible de les reconnaître. Un visage fin, froid, fermé à toutes émotions la plus part du temps. Les traits fins de son minois sont ornés d'une chevelure mi-longue, en bataille et souvent retenu par un bandeau ou une quelconque paire de lunettes. Le tout s'échappe d'une façon hasardeuse. Quelques perles ornent quelques mèches. Un brin de féminités peut-on dire. Oui. Bref... Deux billes bleus ornent le visage du tendre, tant tôt cernées de noir, ou pas. De fines lèvres qui s'étirent rarement en sourire joyeux mais plus souvent en un sourire sadique. Un corps maigre, un squelette apparent. Le tout n'en est pas moins musclé mais sans plus. Un gabarit assez faible presque maladif mais cela est plus ou moins du à tout les stupéfiants qu'il ingurgite. Le tout n'en est pas moins harmonieux, un beau garçon au physique agréable.
Coté décoration, on peut voir que sous ses pupilles océans, sont tracés de larmes, une sous chaque oeil et de façon symétrique. Un tatouage à l'encre noire. Ce n'est pas moche, ce n'est pas beau non plus mais il semblerait que se soit la marque de fabrique des Mac'A'Dames. Autres ? Oui. Il est percé au labret, coté gauche ainsi que sous ses clavicules vers le sternum où deux perles noires reposes. Un certain style avec une allure plus ou moins nonchalante, provocante... Désinvolte même !

► Caractère

Comme il l'est dit un peu plus haut, Aidan est quelqu'un qui ne sourit pas souvent, voir très peu. Il n'est pas bavard préférant la plus part du temps la solitude qu'une mauvaise compagnie. Une bonne compagnie ? Son frère, personne d'autre. Autant dire qu'il a poussé l'insociabilité dans ses derniers retranchement. Malgré cela le jeune homme n'en est pas moins réfléchis et calculateur. Il ne laisse rien au hasard, perfectionniste de nature. Un brin manniaque mais sans plus. Plus que son jumeaux en tout cas ! Le coté nonchalant et désinvolte pousse l'admiration de ses camardes, surtout qu'il n'est pas bête et qu'il possède une très bonne répartie. Cette attitude à le don de séduire les demoiselles ; d'ailleurs, il sait comment s'y prendre avec la gente féminine... Oh oui. Mais passons la dessus. Bien qu'associable, il aime observer les gens, leurs réactions, leurs façon d'être, de réaggir. Tout ça l'intéresse. Sans doute pour mieux les cerner et les baiser ensuite. Hm. En dehors de tout ça, Aidan reste quelqu'un de calme, beaucoup plus zen que son frère. C'est une personne qui aime penser, réfléchir et inventer. Souvent dans les nuages, il n'hésite pas à mettre ses principes de cotés pour arriver à ses fins... Autre chose à savoir ? Ah oui ! La famille s'est sacrée pour lui, donc on ne touche pas à son frère... Seule famille qui lui reste.
En dehors de son asociabilité, Aidan reste quelqu'un de très ouvert d'esprit qui sait écouter. Bien que solitaire, et quand cela lui pèse trop, il aime parler, discuter... Ne surtout pas se prendre la tête. Il est un jeune homme très lucide qui aime réfléchir. De plus, il est très patient et assez tolèrent. Ce qui e fonctionne pas chez lui ? La prise de tête et la vérité. Il a horreur de son confronter à la réalité et s'énerve assez rapidement dans ce cas. Mais une fois bien cerné, il reste très difficile de lui annoncer ses quatre vérités, surtout si vous tenez à votre jolie nez. Ormis cela, il reste assez bordélique bien qu'il possède un esprit assez structuré. Enjoy !

Affinités Particulières

• Aime/n'Aime pas :
Le café, le goût du tabac, les filles, les nuages, dessiner / Les films d'horreur, Deny, son oncle, les blondes et les groseilles.

• Goûts Musicaux : Par définition, Aidan écoute de tout. Vraiment de tout. Il passe aussi bien du classique au Hip-hop français tout en passant par du bon vieux rock du genre Rolling Stones ou Pink Floyd. Mais il reste plus penché dans le downtempo c'est à dire tout ce qui electro mais... lent comme son nom l'indique. Rien de rapide, tout passe dans la relaxation et la composition des morceaux.
• Goûts Culinaires : Il mange de tout. Il aime cuisiner en plus. Une véritable passion la nourriture. Quelque chose d'essentiel pour vivre, subsister ! Et quand je dis qu'il n'est pas difficile, c'est qu'il passe des cuisines du Ritz au Mac Do sans problème.
• Goûts Vestimentaires : Tout ce qui lui passe par la main. Mais la plus part du temps c'est du genre décontracte. Un jean assez large, quelque peu troué ou délavé. Un pantalon en toile assez ample avec un haut du même registre. Ce qu'il faut pour paraître quelque peu négligé mais tout de même classe !


► Histoire

11 Juin 1991 :

« Et voilà, on est né. Je suis le plus vieux, le plus grand, le modèle. Bien que l’autre qui me sert de frère soit sortit juste après moi. On est jumeaux, des vrais. Destinés à être identique, à avoir les mêmes passions, les mêmes envies, la même histoire. Une idée qui ne me déplait pas, l’union fait la force comme on dit… On est donc voué à faire de grandes choses, devenir des hommes politiques, ou des associés à la tête d’une multinationale. Ouais. M’enfin, on n’y est pas encore… La vie est comme qui dirai-je, semée d’embuches ! »


L’enfance, la notre :

« Bien vite on nous appris tout un ramassis de conneries quant à nos origines. Comme quoi notre mère venait du Viêtnam que notre voisin, son frère donc notre oncle, était un rescapé de la guerre qui avait décidé de migrer jusqu’ici… Tout ça pour nous dire qu’à l’école se sera peut être difficile, que les bancs nous insulteraient et j’en passe des meilleures. Tss, foutue Histoire. Tout ça pour une histoire de couleur de peaux et d’yeux bridés. La m*rde quand même. Par chance, on n’a pas eu à subir ce genre de discriminations. Le miracle de la cote Est sans doute. Ou pas. Une enfance heureuse tout de même. L’école privée du quartier, de même pour le collège. De plus nos parents ont toujours veillé à notre épanouissement, que se soit sur le plan physique ou intellectuel. Quelques associations de sport, quelques groupes de dessins, de lectures. Les fameux camps de vacances aussi, où l’on partait pendant X semaines dans les Rocheuses pour observer les feuilles des arbres tomber. Tu parle de vacances… ! On n’avait pas’ à se plaindre, non. Si on savait la suite, j’pense qu’on aurait un plus profiter de ce qu’on avait et de nos parents. Prendre le temps d’être avec eux, de les remercier, de leur dire au revoir aussi… Mais quand on est gosse tout ça nous semble absurde. …
En parallèle de tout ça, nos parents bougeaient souvent, sans nous. Pendant les vacances et autres week-ends prolongés. Notre nounou ? Ce qui nous servait d’oncle dans la maison d’à coté. Tss. Quel gros lard, d’un niveau intellectuel pas très élevé. Ex-militaire qui avait survécu à l’invasion des Américains durant la guerre. Un mec devenu parano’, violent et j’en passe. Le seul point positif dans tout ça, c’est que Aiden l’aimait pour la simple et bonne raison qu’il nous apprenait des mouvements de self-défense issus de je ne sais quel Art-martial Vietnamien. On peut dire par la suite que ça nous a collé le goût du combat.
Les années passèrent, et nous étions de plus en plus inséparables. On en enchaîna les divers sports de combat dans le but de trouver notre voix. Tu parle, rien d’assez violent à nos goûts. Concernant les études ? Les profs ont toujours dis que j’étais un poil plus studieux que mon branleur de frère. M’enfin, d’après leurs dires, à nous deux nous avions l’Amazonie réunie dans la paume de nos mains. Quelle comparaison foireuse… »


2004 :

« On ne leur a jamais dit qu’on les aimait. En avions nous seulement conscience à cette époque… ? Non, je ne pense pas. … Carambolage sur la Highway de New-York, le portable de l’oncle qui sonne pour annoncer que les deux vieux y sont restés coincés sous un 45 tonnes. Bonjour l’ambiance. Avec Aiden, j’pense qu’on n’a pas trop réalisé ce qu’il se passait. La mort. Cette idée était bien loin de nos petites têtes à cette époque. Enterrement et tout le tralalala. J’garde encore en tête le visage de mes parents dans le cercueil. Froid et beau. Glacial même… Hm, d’toute manière je veux être incinérer à quoi bon garder cette image en tête ? Le lendemain de la mise en terre la bonne femme des services sociaux nous annonce que notre oncle est devenu notre tuteur… Tu parle d’une nouvelle. C’est en haussant les épaules que j’entrais donc dans la baraque du retraité d’guerre. Aiden ? Je ne sais pas. On n’a jamais vraiment discuté de ce jour là… »


2005 :

« C’est dingue la manière dont les choses s’enchaînent. Les rencontres que tu fais, ce que tu racontes et tes envies sont les grands vecteurs de ta vie… En y repensant, c’est à ce moment qu’on est entré dans la galère. Notre oncle ? Tss, il est gros, vide des bières toute la journée avachis devant la télé ! Et il ose prétendre être notre père !? Un jour je le buterai pour ça ! Quoi qu’il en soit, il n’a rien fait pour nous mettre en garde… On a rencontré Deni Scott à l’école. Petite frappe du quartier à l’époque. Maintenant ? Il doit être dans un caniveau entrain de pleurer sa mère parce qu’avoir les entrailles à l’air, ça fait mal. Bref. Avec lui, se fut les premières bagarres, les premiers joints, les premières fois pour tout en fait. C’est dingue comment on se sent intéressant dès qu’on dépasse les limites autorisées. 2005, c’est l’année de notre première arrestation avec Aiden, pour détention de stupéfiants qu’on était censé vendre pour rembourser ce connard de Deni ; et vol à main armée. Ne me demandé pas où j’ai eu le flingue, j’suis pas une balance et mon frère non plus… Alors à quoi bon ? Eh hab, l’fait de ne pas avoir balancé nous à couté deux années en maison de redressement. Notre oncle dans tout ça ? Il n’en avait rien à faire. Ça vous apprendra la vie nous avait-il balançait à la figure le jour de notre procès. Connard. »


2005 – 2007 :

« Pour moi l’enfer est similaire à cette putain de maison de correction. On a pris la taule de notre vie le jour de notre arrivé. Tout ça pour quoi ? Parce qu’un enfoiré de junk’ a provoqué Aiden. Tss, comme si je l’avais laissé parler. Pas de chance pour nous, on était que 2, ils étaient 10. Vous voyez le tableau ? Une arcade de cassée, un bras déboité et une douzaine de points en tout. La maison de redressement, c’est l’antre de la violence, la loi du plus fort. Pas seulement celui qui gueule le plus, non, mais celui qui frappe le plus et le plus fort. A ce jeu là, on a vite appris histoire de ne plus se faire emmerder. Non seulement on a appris mais on a aussi gagné… Finalement, ces deux années ne furent pas les pires. »


2007 :

« De retour chez l’vieille oncle. Il a prit de la bouteille, nous aussi. Tatouages et piercings sont aux goûts du jour. Les larmes datent de cette époques, les troues vinrent après. Le nombre augmenta dans les années, mais 2007 marqua le début. D’ailleurs, en parlant de début… En rentrant, ce bon vieux connard Deni était là. Il nous attendait encore avec ses vieux plans foireux. On était chaud pour se relancer dans les études, arrêter les conneries. Tu parle. Dès qu’il prononça les mots : combats illégaux, les bonnes résolutions sortirent de nos têtes aussi facilement qu’elles étaient rentrés ! Tss. A cette époque, on nous donna notre surnom : Mac’A’Dam. Non seulement parce qu’on faisait manger le béton à nos adversaires lors de ces putains de combat, mais aussi parce qu’on était réputé à enchaîner les filles. Les coups d’un soir, et j’en passe. La bonne époque, le nez d’Aiden en témoigne toujours. Soirées sur soirées nous on fait oublié les cours. On se relance dans le business : herbes, exta’, coc’, amphet’ tout y passe. Les frère Mac’A’Dam commence à ce faire un petit nom… Au point qu’un soir, sortie de soirée complètement torché on se met à dessiner sur des murs. Pas d’chances, une patrouilles de fliques passaient au même moment. La chance par contre, c’est qu’on n’avait plus rien sur nous. On s’en est donc tiré avec 48h au poste ainsi qu’une amende qu’on a pu payer avec l’argent du deal. L’pied ! »


2008 :

« La putain d’amende nous a mit sur la paille tout de même ! On s’relance sur le marché. Deal, etc… Cette fois tout y passe, même les drogues beaucoup plus lourdes : opium, crack et héro’. En parallèle, on s’fait un nom dans les sous-sols de Chicago. Les combats sa rapportent à mort ! »


2009 :

« On braque une putain vieille pour ça voiture. Un besoin urgent de descendre au Mexique pour faire le plein de Stup’. Pas d’chance encore une fois, on se fait épingler pour vol à main armée au coin de la rue par une patrouille. Notre avocat commis d’office plaide pour nous la perte de nos parents qui ont pu nous perturber et j’en passe. Mise à l’épreuve ? La vache la chance tourne, non ? »




2010 :

« La putain de mise à l’épreuve était de 2 ans. Qu’est-ce qui nous a pris ce soir là ? Peut être avait-on trop bu. Sans doute. J’ai comme qui dirait un troue noir sur ce passage. Lorsqu’on repassa devant le même juge pour ado’, il fut moins clément. Ivresse et destruction de biens publics. On avait mis le fau, apparemment, au gymnase à coté de chez nous… C’pas notre oncle qui nous fit la morale. Non. Mais cette fois, en plus de l’amende, on devait aller je ne sais dans quel institut en Californie pour jeune délinquant ou je ne sais quoi… Hm. Comme pour la maison de correction il suffira de ce tenir à carreaux, non ? »


► Joueur/Joueuse

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