► État Civil

• Nom & Prénom : Crowley / Wilson James Corey Adam Philip.
• Surnom : Wil’, l’ours, Gobelin, Phil’.

• Age : 21 ans. Oui, je sais, ça se voit pas forcément…
• Date de Naissance : 24 décembre / Année.
• Lieu de Naissance : Galway / Irlande.

• Sexe : Masculin, of course !
• Orientation Sexuelle : Hétéro pure souche ! En fait non, je dirais plutôt… du genre frigide !

► Curriculum Vitae

• Profession : Concierge de base : Bibliothécaire renfrogné / Jardinier acharné / Surveillant intolérant !
• Qualifications & Etudes : Quelques petits boulots de surveillant par ci par là, dans quelques écoles primaires, collèges et lycées / Un an dans le parfum comme premier boulot / un an à travailler avec un thanatopracteur / un an d’apprentissage dans l’étude des livres / deux ans d’apprentissage dans la carrière de paysagiste
Plus de pratique que de technique, je n’ai jamais aimé les études !
A présent, j’arrive à l’Institut Teenagers

► L'institut Teenagers

• Présent depuis : J’arrive à peine, et propose mes services…
► Physique

• Taille : Oh… je ne suis ni trop grand ni trop petit. Jamais on ne m’a appelé le géant ou nabot… gobelin à la limite, mais c’est moins parce que je me tiens souvent vouté et sur la défensive qu’à cause de mon caractère… nous n’y sommes pas encore… bon, j’avoue que si je devais me situer dans une certaine catégorie, je me rapprocherais plus du nabot que du géant… ainsi, de quelle façon que je me tienne, je reste tout de même aux alentours du mètre soixante-dix. L’espèce de chose presque filiforme que je suis est particulièrement souple, elle semble avoir cet aspect de bambou qui plie sous le vent. Mon attitude calme et tranquille n’est qu’une façade, et on apprend vite à le savoir…
• Poids : A vrai dire, ces derniers temps, je ne me suis pas pesé, mais il paraît que je n’ai pas changé depuis que j’ai une petite quinzaine d’année… sans avoir une allure de super costaud, sans avoir l’air d’un petit morveux avec les fringues sur la peau sur les os, je dirais… soixante bons kilos ? Oui, je suis juste un jeune homme en bonne santé, voilà tout ! Le sport et la nourriture saine, y’a que ça de vrai !
• Ses Cheveux : Vilains guerriers constamment en bataille, on dirait bien qu’ils font ce qu’ils veulent quand ça leur chante… pourquoi ? Parce qu’en dehors du fait qu’ils sont particulièrement sauvages et se battent tous les matins avec mon peigne et qu’ils refusent de rester courts ou de devenir longs, ils sont incapables de garder une seule teinte dans l’année… l’été, ils sont de même couleur que la paille sèche, pendant l’automne et l’hiver, ils sont presque aussi roux que les feuilles mortes et au printemps, ils deviennent jaunis… et comme si ça ne suffisait pas, ils changent aussi… de matière ? Parfois, ils sont doux et légers, de temps à autres ils sont droits, secs et rêches, et il arrive même qu’ils bouclent, lorsque l’air est à peine humide… en gros ? UN CALVAIRE !
• Ses yeux : Des billes. Ils sont ronds comme des billes. En général, j’ai un regard blasé ; de temps à autres, il est allumé d’une lueur malsaine, presque psychopathe ; souvent, il brille de curiosité et de fraîcheur de vivre. Eveillé et vif, ce regard. Quant à sa couleur, les rumeurs vont bon train ! Certains disent que mes yeux sont bleus, parfois très clairs ; d’autres pensent qu’ils sont plutôt dans les tons grisâtres sombres… il y en a même qui croient qu’ils sont dans le vert ! Paraît que ça dépend de mon humeur, du temps qu’il fait dehors, de la saison, et de pas mal d’autres choses complexes et absolument inutiles à ma survie…
• Autres : Mon visage est plutôt ovale, reflète une certaine joie de vivre, et la couleur de ma peau est entre le paille et le pâle… De par mon aspect ni dur ni fragile, je semble être une personne basique qui prend un coup facilement et bêtement… mais ma vitesse de réaction n’a d’égales que la rapidité de mes réponses… et la facilité avec laquelle je peux me blesser… mon sourire constant me fait paraître comme un brave gars tout mou et tout gentil, mais gare aux apparences… j’ai plusieurs années de krav maga, taekwondo escrime et tir au pistolet derrière moi.
J’ai un karma assez pourri donc il n’est pas rare de me voir avec un œil au beurre noir, ou bien des pansements, voire des marques à nu sur mon corps, je me fais régulièrement mal…

► Caractère

• Qualités : Je suis considéré comme quelqu’un de calme, de patient et de doux… je suis très appliqué, dans tout ce que je fais. Et le pire, c’est que je prends un plaisir fou à faire tout ce que je fais. J’ai souvent l’attitude cool d’un bon gars qui laisse la vie suivre son cours. Particulièrement courageux, je n’hésite pas à défendre la veuve et l’orphelin. Je ne supporte pas le mensonge, la tristesse et j’ai souvent pour habitude d’écouter gentiment les braves petites âmes en peine et en besoin de vider leur sac, sans rien dire, sans énoncer mon avis, sans donner de conseil mal avisé alors qu’on m’a rien demandé, j’écoute. Je suis même d’accord pour tenter de rassurer au mieux ces pauvres petites âmes en peine… j’ai un gros cœur, dont j’ai tôt fait de me servir si j’estime que c’est le bon moment. On dit que j’aurais fais un bon psychologue… heureusement que je n’écoute jamais ce qu’on dit, j’aurais eu tôt fait de m’arracher la tête ! Brave garçon, je suis celui qui aide et qui n’hésite jamais à proposer ses services.
Je peux même être doux, voire adorable, si les astres vous sont favorables…
J’allais oublier : je suis un cuisinier hors pair !
• Défauts : Colérique, je suis incapable de me retenir de hurler et/ou de frapper si je me trouve face à ce que je pourrais considérer comme une injustice. Or, il y a pas mal de choses que je considère injustes. Au début, ça peut faire peur de m’entendre beugler toutes les insultes qui me viennent sur le moment, mais je pense qu’on s’y fera… de plus, j’ai la frappe facile ; il suffit qu’on ne m’écoute pas une fois pour que je mette en œuvre ce que j’ai pu apprendre durant mes années d’apprentissage… forcé. Je suis franc et direct, je parle généralement sans arrière pensée.
L’éducation que j’ai subie m’a donné certains tocs comme celui d’ouvrir et de fermer à clé plusieurs fois par nuit certaines portes comme les placards, les celliers, les cuisines (?!), fouiller plusieurs fois les boites et sacs à dos que j’estime suspects, observer très attentivement chaque mouvement de chaque élève et personnel que je rencontre. Même la directrice, je risque de la soupçonner de tout et n’importe quoi… d’accord, ça c’est pas des tocs, ça s’appelle la paranoïa… on dirait que j’ai été élevé comme un agent secret, et c’est presque le cas.
Sans dire que je suis bête, il faut tout de même avouer que, les études n’ayant pas été ma tasse de thé, j’ai une culture générale plutôt moyenne… ah, pour sur, on pourra me poser toutes les questions qu’on veut sur la nature, mais pour ce qui est du reste… j’ai aussi une légère tendance à préféré m’enfermer et rester seul plutôt que côtoyer la foule… et j’ai seulement dit que je n’aimais pas les mensonges, pas que je n’en disais jamais ! Il m’arrive souvent de mentir, en général pour avoir la paix. Je déteste l’erreur, même si, à cause de cette si grande maladresse que j’ai hérité de mon défunt père, j’en fais régulièrement, ce qui me vaut ces bleus, ces égratignures et toutes ces marques que j’ai partout…
• Centres d'intérêts : J’aime tout, mais alors vraiment tout ! Sauf le blanc et le noir. La seule chose que je peux encore moins supporter, la seule chose à laquelle je sois monstrueusement allergique, c’est la politique ! Si vous voulez recevoir un coup, si vous voulez crever, c’est exactement le genre de sujet qu’il faut aborder avec moi ! Je lis beaucoup, je regarde pas mal de documentaires animaliers puisque j’adoooooore les animaux, sur les catastrophes aussi… Je m’adonne souvent à la peinture, au dessin en général, à l’écriture parfois (mais je les cache par honte…).
Je ne sors pas souvent ; en général, j’aime bien rester cloitré dans mon petit bout de chez-moi,

► Affinités Particulières

• Aime/n'Aime pas :

Aime ^^^ ♠ Les chats, c’est trop mimi, ça demande plein de câlins, et c’est super intelligent ! Malgré leur air suffisant, je les aime ! Je suis incapable de ne pas fondre devant une si belle créature ^^^ ♠ Les films d’horreur, ça m’botte, j’dois dire. Voir la pauvre petite victime déchiquetée par le monstre en colère, voir comment le héros va s’en sortir et tuer la bête… je ne parle que des BONS films d’horreur ! ♠ Les sensations fortes, c’est mon truc ! Je suis incapable de sortir si ce n’est pas pour voir ou faire quelque chose à couper le souffle. Je suis passé près de la mort plus d’une fois à cause de cette manie, mais je suis incapable de réfréner ce besoin… ♠ Me battre ! C’est une espèce de conducteur, on n’est plus présent nulle part que dans l’action elle-même, on est le centre de l’action. Et qu’on soit le bon ou le mauvais gars, on cherche qu’une chose : avoir le dessus sur l’adversaire ! ♠ L’alcool… Une petite tékila, un tit ponch, une bonne bière, ça ne tue personne hein ?! En tout cas moi, ça me tue pas ! Enfin, ma mère disait toujours « un jour, ça te tuera ! » ♠ La nature, j’dois dire que c’est l’une des choses que j’aime le plus au monde. Je suis du genre à faire quelques escapades de temps à autres, pour me retrouver dans un environnement totalement délaissé par l’homme.

N’aime pas è_é ♠ Le sexe… Je suis un perturbé du sexe… ♠ Les crétins qui écrasent mes fleurs, font du mal à mes chats et bousillent mes livres ! Ceux-là, je leur crèverais bien les yeux ! ♠ Les jeunes de moins de vingt ans en général. Surtout ceux des pensionnats comme celui-ci… ♠ La mort ! Maman, j’ai une trouille terrible de la mort ! Si seulement elle pouvait m'oublier celle-là, surtout le jour de la fin, ça m’arrangerait… j’suis pas pressé de la voir ! ♠ Les insectes, et plus particulièrement les moustiques ! Nom d’un chien ! Entendre un moustique voler dans une pièce suffit à me rendre fou !

• Goûts Musicaux : Je ne suis pas du genre difficile. Les seules musiques dont je ne pense pas qu’il s’agisse de musique, mais plutôt de bruit organisé, sont le rap, la techno et le Rn’B. je suis un fervent admirateur de la grande et belle musique classique, un adepte du rock’n Roll, un amoureux de musique celtique et de country, un métaleux dans l’âme, et un fan invétéré des bandes originales de films.
• Goûts Culinaires : Je ne suis pas du genre à dire non à grand-chose. Je suis friand de tout ce qui peut être mangé, que ça soit de la bouffe ou de la drogue… enfin, non ! La drogue, c’est pas bien ! Mais on est pas là pour parler de ça ! Pour ce qu’il s’agit des boissons, j’adore tout ce qui contient des bulles, que ça soit une boisson alcoolisée ou non, et j’aime aussi ce qui arrache la gorge. Pour ce qui est de nourriture, j’aime absolument tout et n’importe quoi du moment que ça bousille l’estomac !
• Goûts Vestimentaires : On dit de moi que je suis flash… et oui, j’aime bien les couleurs, donc je m’habille souvent avec. Le blanc, c’est trop clair, c’est plat, c’est habituel, c’est trop pur… le noir, c’est sombre, c’est apocalyptique, c’est pas drôle, c’est relativement barbant, c’est nul.
Les couleurs, c’est la vie, c’est la joie, c’est les meilleurs amies du cache-malheur. C’est pourquoi je mets toujours des couleurs, généralement du jaune, pour aller avec mes cheveux, du bleu pour aller avec mes yeux, du rouge pour aller avec les coupures que je me fais régulièrement, du vert… parce que j’aime le vert, du mauve pour le fun, et surtout du orange !
C’est pourquoi on me verra souvent porter des sweats, pulls, tee-shirts, manteaux de couleur orange, verte, mauve… idem pour les pantalons, et ne parlons pas des chaussures. Aucun piercing, aucun tatoo… enfin si, une espèce de petite souris sur l’omoplate, mais je ne me souviens même pas la raison pour laquelle j’ai bien pu me retrouver un matin avec cette chose là… d’après le tatoueur, que j’ai réussi à retrouver après quelques heures de recherche, je n’étais pas tout à fait neutre et je l’avais menacé de le tordre en deux si je n’avais pas cette chose sur le dos.

► Histoire

Au dehors, le bruit devenu monotone et triste, persiste à travers la douce brume qui s’est installée dans le monde des vivants. Je haie la pluie. Surtout celle-là. Celle qui, doucement et tendrement, incite la pauvre créature à sortir de son trou malgré l’absence du soleil. Une fois de plus, mes cheveux rebelles répondent, eux aussi, à l’appel latent de l’eau dans une ambiance moins humide qu’elle y paraît et leur bout commence à se courber lentement, tendrement… je pourrais faire comme je faisais jusqu’à avoir 15 ans, je pourrais tenter par tous les moyens de les forcer à rester comme JE l’entends, comme j’AI envie qu’ils restent. Mais, heureusement pour eux, j’ai abandonné l’idée le jour où j’ai enfin compris qu’il serait inutile d’espérer.
Alors, au lieu de tenter de les plaquer, ces satanés cheveux, comme j’en avais l’habitude, je regarde la moiteur s’accumuler dehors.

Citation :

Il paraît que le jour où je suis né, il pleuvait comme ça. Pas de brume. Pas de pluies torrentielles. Pas même un tout petit orage. Juste cette pluie-là, qui a été inventée juste dans le but de me pourrir l’existence. Et au même titre que ce personnage de Douglas Adams, je me sens… aimé, collé par cette eau qui tombe du ciel, par ces nuages si haut qui me frappent pourtant si fort ! Un Dieu de la Pluie, hein ?! Qui amène le mauvais temps sur son passage… ma mère riait souvent en disant que j’étais son « petit Dieu de la Pluie »… J’ai jamais su comprendre son humour…

C’est bête à dire, mais je crois bien avoir eu une enfance relativement… normale disons. La seule chose qui n’ait pas été normale étant la mort prématurée de mon père. Je devais avoir dans les 4 ou 5 ans, je crois… et mon mère venait à peine de passer le cap des 30 ans. Il crachait juste un peu de sang et toussait. Il est allé faire des examens, et BIM ! Monsieur, vous cracher du sang, c’est normal : vous avez un cancer.
J’ignore si son moral a influencé la maladie, mais si je me souviens bien, quelques jours plus tard, ma mère n’avait plus qu’à pleurer sur sa dépouille. C’était un peu comme une baffe ; à peine as-tu le temps de savoir que tu vas en recevoir une que PAF, tu l’as déjà reçue. Ca pour sur, ça en a été une aussi pour ma mère. Enfin, jusqu’à ce qu’elle rencontre ce connard qui a tant voulu faire en sorte que ma vie soit belle, mais moins « pour mon bien » que pour le sien. Ma mère était bonne, et pleine de fric. C’était tout ce qui lui importait. Dix ans ? Non, moins… j’devais en avoir six ou sept…

Une lumière aveuglante me stoppe dans mes réflexions. Suivie de près par le cri déchirant qu’elle a poussé en se déversant parmi les gouttes sous forme d’un éclair. Tss… peut-être la pluie sera-t-elle plus forte à présent ?! Au moins, si mes cheveux continuent de friser, ça sera à cause d’une véritable averse, et non d’une petite pluie de pacotille !
Tu parles, Charles ! Causes toujours, ouais. Orage ou pas, cette pluitounette a décidé de persister, et je perds contre des monstres aussi petits que des moustiques…

Citation :

A l’époque où elle a rencontré beau-papa, ma mère sortait tous les soirs, après m’avoir couché. Je le sais parce que la curiosité m’avait poussé à faire semblant de dormir pour voir ce qu’elle faisait. Et il se trouve que madame se pomponnait et se faisait toute belle… madame s’habillait chic et choc pour aller en boite de nuit. Je n’ai pas le souvenir qu’elle faisait ça, avant ! Remarquez, je n’ai pas beaucoup de souvenirs d’avant, en fait. Mais il me semblait qu’elle lui était fidèle, à mon père. Ce qui est certain, c’est que je suis de lui, puisqu’ayant écopé de ses yeux et de ses foutus cheveux, ainsi que de certaines de ses mimiques.
Il me semble aussi que chaque matin, je prenais mon bol de lait avec un homme différent en face de moi. Il me disait gentiment bonjour, tentait de me faire la conversation et disparaissait à jamais. Enfin bref.

Un patin, donc, ce type arrive, pisse sur MON territoire et se croit immédiatement maître du tout. mère, enfant, maison. Tout lui est dû et nous n’avons plus qu’à nous baisser et l’appeler maître ! Comme si j’allais me laisser faire !
Dès le jour où ma mère me présenta à cette espèce de mauvais acteur traîne-la-savate, profiteur et sans le sous, la guerre a été déclarée. En sa présence, nous nous regardions à peine, nous lui parlions, mais aucun mot ne filtrait entre nous deux, aucun. Ni bonjour, ni m*rde. Et dès qu’elle était partie, les regards de l’un envers l’autre atteignaient le Zéro absolu. Le froid glacial qui enveloppait chaque fois la pièce dans laquelle nous nous trouvions seuls est la conséquence de notre façon si spéciale de nous défier des yeux. Dans un silence si profond qu’il ressemblait à celui d’un champ de batailles où n’a survécu personne... Juste nos pensées qui hurlaient des insanités contre l’autre.

Puis j’ai du emménager chez lui. Ma mère ne me demandait pas mon avis. Cet abruti fini la faisait jouir, fallait pas aller plus loin pour savoir ce qui la faisait céder à tous ses caprices ! Pas besoin de demander où se trouvait mon bonheur là-dedans ; j’étais qu’un gosse, un gosse, on l’écoute pas.
Monsieur avait un appartement, ultra-luxueux, dans un quartier ultra-chic de Dublin, un appart obtenu je ne sais comment, puisqu’il était au chômage. Et qui payait le loyer tous les mois ? Miss Pigeon bien sur ! La seule femme au monde qui pouvait croire tout ce que lui disait ce prince charmant de mes deux !
Pendant des années, il l’a bercée dans l’idée qu’il était bourré de thunes, qu’il allait se marier avec elle, qu’il attendait juste le rôle de sa vie. Mais pendant qu’elle faisait les courses, qu’elle payait la note foutrement salée à la fin de chaque mois, qu’elle travaillait d’arrache-pied pour nous faire vivre tous les trois, qu’elle faisait la cuisine, le ménage, le repassage, heureusement aidée par moi, l’autre espèce de salopard restait avachi sur son gros canapé bleu velours (pour lequel, bien sur, ma mère s’est une fois de plus endetté), à se curer le nez, à se gratter l’instrument devant un bon porno sur sa nouvelle télévision à écran 3D (pur laquelle ma mère s’est aussi saignée à blanc)
« Je cherche, ma chérie » qu’il disait. « Je cherche mais j’ai bien peur que ces rôles soient trop simples pour moi. »
C’était pas la modestie qui l’étouffait, celui-là. Le pire était sans doute qu’il avait toujours la main sur tout. Même le temps que ma mère avait l’occasion de passer avec moi – le peu de temps – il le piétinait des deux pieds s’il le pouvait. Ça, il s’en donnait à cœur-joie !

Une nouvelle fois, un éclair zèbre le ciel. Brrr ! J’aime bien les orages, mais cette pluie est-elle obligée de venir s’incruster avec les bourdonnements du tonnerre ? Il semblerait que oui…
Je soupire. Cette époque-là, c’tait le bon temps… ah non, pas l’époque dont je viens de parler, mais celle à laquelle je suis déjà en train de penser. L’époque de la vengeance, l’époque de la découverte.

Citation :

Heureusement, un jour, j’ai trouvé la parade. Un peu malgré moi, certes…
J’en avais marre de l’entendre dire des mots doux à ma pauvre génitrice qui m’avait déjà complètement oublié. J’étais allé me coucher, un soir, dans le but d’aller faire chier le voisinage puisque je ne pouvais même pas faire chier cet abruti fini qu’était beau papa. La première folie que j’ai eu le courage de faire, même si ce n’était pas énorme, c’est d’aller pisser sur les plantes de la voisine. Ma chambre – heureusement, je ne dormais pas sur le canapé, ma mère avait réussi à faire sorte que beau papa m’accueille un peu chez lui – avait une petite fenêtre donnant sur un tout petit balconnet qui surplombait les splendides pétunias de la petite vieille qui nous servait de voisine. Sous ma fenêtre, le salon de l’autre profiteur s’ouvrait sur un grand balcon. Qui jouxtait lesdits pétunias.
Pendant quelques semaines, dès que je me couchais, je passais par la fenêtre de ma chambre pour faire ma petite MA (Mauvaise Action) du soir. Les pauvres petites fleurs commençaient à le sentir, à se vexer qu’on leur fasse tant de mal…

Alors que je rentrais de l’école, seul comme à mon habitude, tandis que ma pauvre mère faisait des heures sup pour payer la nouvelle lubie de l’autre artiste à deux sous, je le vis beugler comme jamais contre la pauvre petite vieille du palier d’en face.
Debout, à l’entrée du bâtiment, je pus me délecter de ce nectar au parfum de victoire tandis que les paroles de l’acteur et de la mamie se déversaient mielleusement dans la couloir. Mais nan, pauvre folle, espèce de vieille sorcière, si elle croyait qu’il avait encore l’âge de s’amuser à pisser sur ses saloperies de plantes à la c**, c’et qu’elle avait plus qu’à attendre la dernière piqure ! Elle le ferait plus chier, comme ça ! Et si elle continuait à l’emmerder avec cette histoire, il avait eut tôt fait de l’envoyer au cimetière du coin, espèce de garce, nan mais pour qui elle se prenait, celle-là !
Et la vieille, sans se démontrer un brin, qui rétorquait qu’elle aurait sans doute raison de lui, elle qui avait fait la guerre d’Irlande, s’ils se battaient tous les deux. Que ce petit branleur qu’avait pas assez de cran pour s’attaquer à plus fort que lui allait le voir, le poing dans sa gueule, qu’il arrête de faire semblant d’être un gentil gars, parce qu’elle savait qu’il pissait sur ses pétunias juste pour la faire chier ! Il était né pour faire chier !
Nan mais elle allait le voir venir, son cercueil si elle continuait ! Elle était suicidaire la vieille !

Bon, je l’avoue, je n’ai rien dis parce que c’est moi qui suis né pour faire chier. Et cette altercation me plaisait tellement que je n’osais pas les déranger… mais les meilleures choses ont une fin. C’est alors là que j’intervins, sourire jusqu’aux oreilles. Vengeance.

_ Bonjour, madame Harris.

Les deux voisins stoppèrent et la tête de chacun se tourna vers moi avec surprise. Ils ne s’étaient même pas rendus compte que j’étais arrivé et que j’avais assisté à leur dispute.

_ Euh… Bonjour Wilson.

Ils me suivirent des yeux lorsque je fis le chemin qui séparait la porte d’entrée du bâtiment et l’appart de Sire Crétinus. Sans dire un mot. Comme s’ils n’en croyaient pas leurs yeux de me voir aussi souriant. Pour sur, y’avait anguille sous roche. Lui comprenait pas pourquoi j’étais si joyeux, elle se rendit immédiatement compte de ce qu’il se passait en réalité. C’était peut-être ne vieille, mais elle était maline, et j’eus des années pour apprendre à la connaître. Néanmoins, elle ne dit rien. Comme si elle se trouvait… satisfaite.

Il ne pleut plus, dehors. Avec mes cheveux qui rebiquent, j’observe le ciel, transpercé de temps à autres par les lumières blanches. Comme disait je ne sais plus quel chanteur français, « Jupiter s’en est allé faire entendre sa colère ailleurs ».

Citation :

Avec son air niais et stupide, il profita de mon entrée chez lui pour claquer la porte sans un dernier mot à la femme qui attendant une éventuelle réplique… mais non sans un dernier regard assassin à son encontre.
Et là, Oh bizarrerie incongrue, alors que j’allais à la cuisine me servir un verre de lait et prendre mon dernier livre de zombies qu’avec le peu de sous que j’avais réussi à piquer à cet imbécile, j’avais réussi à m’acheter, il me suivit. Je m’assis sur ma chaise et sortis l’objet de mon sac. Il prit place en face de moi, à la fois en colère et dépité. C’était à pisser de rire !
Et il me regarda.

_ Tu le crois toi ça ?!

Les sourcils rehaussés par la surprise, les yeux écarquillés par l’incompréhension, je le regardai soudain. Je n’en revenais pas. la première phrase qu’il m’a dite.

_ Sans blague ! Non mais, enfin… en plus, c’est pas moi qui pisse sur ses plantes quoi !

Je sais, Ducon ! C’est moi qui pisse sur ses pantes.
J’écoutais pas vraiment la suite, mais je compris vite son petit jeu : il voulait me mettre de son côté. Mais on achète pas un Crowley comme ça. Surtout si son prénom, c’est Wilson ! Alors, au beau milieu d’une de ses phrases, je me levai et pris mes affaires pour aller dans ma chambre. Une fois de plus, il se trouva comme deux ronds de flan et ne sut pas réagir. Il ne fit que me suivre du regard, la bouche grande ouverte. Resta planté sur sa chaise.
Mouché. Je n’avais plus qu’à continuer pour lui rendre la vie impossible. Surtout que la bonne femme, elle risquait pas de se laisser marcher sur les pieds ! Ca allait être drôle !

Le lendemain se déroula quasiment la même scène quasiment à la même heure devant moi. Et je matais à nouveau la dispute. Mais elle dura légèrement moins longtemps, et la vieille tourna la tête vers moi.

_ Bonjour Madame Harris, lançais-je avec une voix pleine de bonne humeur.
_ Bonjour mon p’tit bonhomme. Ca te dit, des crêpes ?

J’étais surpris mais bien trop heureux pour comprendre la supercherie.

_ Oh ! Ouais, que j’ai crié.
_ Entre, mon garçon, dit-elle. J’en ai préparé rien que pour toi.
_ Super ! Merci Mme Harris.

Je ne vis ni l’air vainqueur de Mme Harris, ni l’air abattu de la pièce rapportée Sire Crétinus. Je me précipitai vers l’appartement de la vieille et m’y engouffrai littéralement, la mine radieuse.
Elle ferma la porte derrière moi, je me retournai vers elle, tout sourire mais n’eu pas le temps de parler que ladite crêpe (au sens littéral du terme) ne tarda pas. Je me souviens l’avoir mangée tellement vite qu’elle resta imprimée toute la soirée sur ma joue. Mon étonnement fut tellement grand que je manquai de tomber à la renverse. Bouche bée, yeux écarquillés, main sur le point d’impact… aucun mot. J’étais comme une poule sur le dos ou un lapin devant les phares de la voiture qui ne tardera pas à l’écraser. Mon cerveau était passé en mode stand by, je ne comprenais strictement rien de ce qui venait de m’arriver.

_ A présent, dis-moi pourquoi tu as fais ça.

C’est cette phrase qui me fit bouger à nouveau.

_ Quoi ?
_ Pourquoi tu te soulages sur mes plantes ! Elles t’ont rien fait !
_ Ah… euh…

La honte suivit. Haussement d’épaules et regard vers le sol. Main dans le dos.

_ Ch’ais pas.

Son regard se fit plus doux.

_ Allez, raconte.
_ Bah en fait, au débout, c’était pour vous embêter… mais quand j’ai vu que ça l’embêtait, LUI… j’ai continué. Co… comment avez-vous su ?
_ Ton regard et ton sourire.

Elle proposa de m’asseoir à sa table et entreprit de me faire la leçon.

_ On va faire un marché, toi et moi, qu’elle m’a dit à la fin. Je ne dirai rien à tes parents, et en échange, quand tu rentreras de l’école, tu viendras chez moi. je t’apprendrai à respecter les plantes, tu n’auras plus à te soulager dessus. Et je continuerai à engueuler ton père.
_ C’est pas mon père ! Hurlais-je avant de me ressaisir. C’est d’accord.

Je croyais que ça allait être chiant, de suivre ses cours du soir, ses cours sur les fleurs, les arbres, les trucs et les machins… mais je me pris finalement de passion pour tout cela. Sans compter les livres qui parlaient pas forcément de zombies, et de ses chats qui me faisaient la fête à chaque fois que j’arrivais chez elle. Le fait qu’elle continue d’injurier l’acteur de mes trois comme au début nous comblait tous les deux de joie. C’était une sorte de défouloir commun, et puis c’est si fréquent, les vieilles séniles qui beuglent sur les gamins ! Fallait bien qu’elle s’occupe en mon absence.
Bientôt, je me rendis compte que j’attendais la fin des cours en trépignant, non pas pour jouer à la console, non pas pour lire des histoires gores, non pas pour aller jeter des cailloux sur les belles voitures… mais pour aller parler à Martha qui était finalement devenue une amie pour moi. Mon mentor, la mamie que je n’ai jamais eue. C’est plutôt elle qui m’éleva. A la militaire, parce qu’elle avait fait la guerre ! En plus des leçons sur les plantes et la littérature, elle m’enseigna la vie en communauté, les bases de la survie en milieu hostile, l’art du pinceau et des armes, et l’amour de la cuisine.
Combien de cours d’œnologie j’ai suivis, avec Martha pour maître ; combien de pièces de théâtre sous-je allé voir ; combien d’opéras, combien de salons du livre, combien d’expositions… elle m’emmenait à ses retrouvailles avec ses vieux compagnons de la guerre de jadis. Et j’en apprenais bien plus qu’en restant comme l’autre andouille sur son sofa miteux à mater sa télé à écran 3D !
J’aimais tellement mieux être chez elle que chez « moi », je restais tellement souvent chez elle que je le connaissais finalement plus que ma propre mère.

Un soupir, face à l’orage qui s’éloigne, lui aussi… et pourtant, au souvenir de ce qui va bientôt se produire dans ma vie, j’ai l’impression que des trombes d’eau se déversent juste sur ma tête. On est peu d’chose dans ce monde de brutes… c’est ce qu’elle disait tout le temps. peu de chose… personne ne peut imaginer à quel point j’ai souffert, le jour où elle est morte.

Citation :

j’étais le seul jeune, le seul enfant, le jour de son enterrement. Je devais avoir 15 ans ; j’avais dores et déjà quitté l’école et je travaillais dans une parfumerie. Le seul à pleurer à chaudes larmes. Le seul à ne pas avoir réussi à lire sa déclaration sans qu’elle soit entrecoupée de hoquets de sanglots.
Je ne me souvenais que trop bien du jour où je l’ai retrouvée…

Elle m’avait fait un double de ses clés, et c’était par habitude que j’entrais chez elle comme chez moi. Les jours fériés et les jours où je ne travaillais pas, je venais chez elle tôt le matin, pour passer la journée en sa compagnie.
Comme toujours, j’étais allé dans sa cuisine pour nous faire du thé. Etonné de voir qu’elle avait oublié de donner à manger à ses chats, la veille au soir, je les nourris en attendant que l’eau fut chaude. Puis, j’avais versé la préparation qu’elle m’avait appris à concocter dans deux tasses en porcelaine, ajouté l’eau, posé les deux tasses sur un plateau. Avec une rose blanche dans un vase. Transporté le plateau avec souplesse jusqu’à sa chambre. Ouvert la porte avec un doigt. Poussé le battant. Allumé la lumière à l’aide du coin du plateau.
Tout allait bien jusqu’à ce que je comprenne en voyant que les draps ne bougeaient pas au rythme de sa respiration.

Les miaulements plaintifs des chats accompagnèrent la chute du plateau sur le sol, tandis que je me jetai vers elle pour savoir s’il ne s’agissait pas là d’une blague ou une erreur. Je lui criais qu’elle se réveille en la secouant, les larmes aux yeux, mais la rigidité cadavérique avait déjà fait son office et l’avait figée dans l’état de sommeil tranquille dans lequel elle s’était plongée pour la dernière fois. le sommeil du juste. Elle avait toujours souhaité mourir sans le savoir. S’endormir tranquillement sans regretter quoi que ce soit, sans avoir à dire un dernier adieu déchirant, ou avoir à supporter celui des autres. S’endormir tranquillement un soir. Et ne jamais se réveiller.

Je me souviens de tout… de tous les vieux qui se trouvaient dans l’église, de ces deux sièges vides, qui avaient pourtant été réservés à ma mère et à Sire Crétinus. Tss. L’enfoiré, il avait rétorqué lorsque j’avais annoncé à ma mère ce qui venait d’arriver que c’était bien fait pour elle. Qu’il allait pas se geler le cul deux heures pour une vieille théière qui l’avait soulé pendant si longtemps ! « Mais mon chéri, tu sais que ça ferait plaisir à Wilson qu’on l’accompagne et qu’on le soutienne pour l’enterrement de son amie » qu’avait sans doute voulu dire ma mère en lui proposant que j’aille seul pendant qu’eux deux feraient encore leur trucs dégueux de leur côté ! Tss… l’amour ça fait oublier la peine des autres. C’est dégueulasse !

Citation :

Les années qui ont suivi ne sont pas franchement éblouissantes. Des années basiques d’un jeune au travail, quoi. Après la mort de Macha, j’ai quitté mon emploi dans la parfumerie, et ai suivi le chemin d’un thanatopracteur, sans doute pour comprendre pourquoi mon amie était morte. Surtout pour apprendre à ne pas avoir peur de la mort. Ne plus en avoir peur.
Ça m’a beaucoup apporté, mais pas assez pour que je décide d’en faire un métier pour la vie. Alors j’ai fais un an en tant que documentaliste, deux ans dans le paysagisme, et en guise de second boulot, pendant ces trois années consécutives, j’occupais un poste de surveillant.
A mon vingtième anniversaire, je n’ai rien trouvé de mieux à faire que quitter mon Irlande natale pour la Californie. Pas un seul au revoir à ces deux cons-là. Qu’ils continuent leurs fornications.
J’ai eu besoin d’une nouvelle année pour me faire au climat et à la mentalité américaine, à présent, je viens de franchir les portes du Teenagers Institute.

Et j’en suis le concierge.

► Joueur/Joueuse

• Mot de Passe pour la Validation :
• Comment avez vous découvert le forum : grâce à Jesse ^^^
• Commentaire : OWI commençons à joueeer !

Bonsoir et bienvenue sur le forum !

Cela sera moi qui m'occuperais de ta jolie fiche n_n Donc si tu as la moindre question n'hésites pas =p !

Je ne sais pas si c'est mon PC, mais si ce n'est pas le cas, n'oublie pas ton avatar ^w^ Et si tu n'en trouves pas, je te conseille de chercher sur deviantart n_n

Bon courage pour la suite !

Je te souhaite la Bienvenu sur Teenagers.
Si jamais tu as des questions n'hésites pas.
Pour les avatars, il y a ce site super, mais il faut s'inscrire.

Year ^^^


Merci à vous deux !

Vous en faites pas, j'ai déjà un avatar, le souci c'est qu'il n'a pas été chargé T_T

J'm'en vais le mettre de suite !


EDIT : je ne comprends pas... j'ai beau tenter de mettre des images pour mon vava et ma signature, mais rien ne veut se mettre T_T

C'est bon je vois ton avatar ^^

Pour ta signature, as tu bien coché "toujours attacher ma signature" dans tes préférences?

Bienvenue à toi, nouveau concierge.

J'espère que tu finiras vite ta fiche.

Bonne continuation ! :p

Merci à vous deux aussi ^^^


Bon, pour la signature, je l'avais fais, mais je crois que j'avais juste fais héberger mes images dans un site hébergeur pourri, voilà tout T_T

Maintenant, j'ai mon vava, j'ai ma signa, et tout va bien ! Je vais pouvoir terminer ma fifiche ^^^

Hiiii un avatar \o/

Bon courage pour la suite ^w^ ♥

Allons, un peu de patience !

Il ne me reste plus que l'histoire à écrire, et je pourrai enfin jouer avec vous !

Allez allez :p

Fais gaffe sinon je sors le fouet, bwhahahah (A)

J'ai oublié de noter que Willy avait des tendances sado-masochistes ^^^

Ouais ^^^

VOus en faites pas, j'ai un max de trucs en ce moment et j'ai promis de la terminer avant le mois de juillet (je me le suis promis !)

So, j'pense que je vais pouvoir poursuivre jusqu'à la fin du mois au moins ! (mais j'suis claquée à cause de mon boulooooooooot !)


PROMIS !!!!!!

J'fais tout ça le plus vite possible (au pire j'bacle l'histoire //SBAM//)

Bon, j'en suis à la moitié je crois de l'histoire ^^^


J'ferai un edit si jamais je l'ai terminée ^^^


EDIT : FINIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Je regarde ta fiche ce soir, à moins que Nath passe avant moi ~
Grand désolé du retard !

Wai nan, t'en fais pas, y'a pas de choussi ^^^

En plus, ch'uis certaine qu'y aura des trucs à refaire ^^^

Je n'ai rien à dire si ce n'est que tu es validé ^w^
J'ai bien aimé la description sur les cheveux, et puis ta manière de raconter l'histoire =D Original !

Bref, bon jeu parmi nous ♥

WAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII


Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Enfin, j'vais pouvoir saigner Jeremiaaaaaah !
(hein ? Non, j'suis pas venu pour lui spécifiquement, mais euh... OK, je me tais !)