Gia * "They call me Pain."

Sujet: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 18:03

► État Civil

• Nom & Prénom : Novikoff Gia.
• Surnom : Pain. (Inutile de préciser de le prononcer à l’anglaise)

• Age : 18 ans.
• Date de Naissance : 30 décembre 1991.
• Lieu de Naissance : Omsk, Russie.

• Sexe : Féminin.
• Orientation Sexuelle : Bisexuelle.
• Nationalité : Russo-Américaine.

► Casier judiciaire

• Nombre d'arrestations : Trois.
• Délits commis :
Délits informatiques ;
détention de drogues ;
coups et blessures volontaires dont un ayant entraîné de graves séquelles.

► L'institut Teenagers

• Présent depuis : Six mois.

• Chambre ou Dortoir : Chambre. Loin de figurer dans la catégorie des asociaux, Gia a néanmoins besoin d’un espace bien à elle.

• Intégré à cause : Suggérée par le psychiatre chargé de son expertise lors de son procès pour coups et blessures avec intention de donner la Mort, son intégration résulte d’une sanction pénale.

► Physique

• Taille : On attend généralement des jeunes filles qu’elles soient petites et adorables. Gia, elle, est svelte et élancée. Son mètre soixante-dix, bien que classique, lui sied à merveille. Rares sont les fois où elle ressent le besoin de se rehausser, talons à l’appui, mais, lorsque cette lubie la prend, elle peut parfois atteindre le mètre soixante-quinze ; tout dépend du talon. Et, même s’il paraît que tout ce qui est petit est mignon, selon le lieu commun, Gia assume parfaitement cette taille qui l’exclut des stéréotypes féminins usuels. Et c’est tant mieux.

• Poids : Naturellement, on s’attendrait à ce que Gia soit un poids plume. Que nenni ! Loin des rondeurs excessives, la jeune résidente est néanmoins douée de formes faites et voluptueuses qui lui confèrent un poids tout juste dans la moyenne. Si la balance pouvait parler, elle dirait « Gia a ce qu’il faut, là où il faut. Ni plus, ni moins ». Et elle ne ferait qu’énoncer la stricte vérité.

• Ses Cheveux : La couleur de ses cheveux est difficilement identifiable. Elle se situe quelque part entre le châtain et l’auburn ; c’est selon les jours, les saisons, la lumière. Ceci dit, Gia est née blonde. Comme les blés. Avec l’âge, il lui a semblé bon de remédier à ce fait biologique qui, disait-elle, lui conférait un air trop bon enfant qui lui correspondait fort mal. Ce qui, entre nous, n’est pas tout à fait faux.

• Ses yeux : Gia possède deux yeux tout à fait singuliers ; grands, ouverts et fixes, la couleur de leurs pupilles est aussi difficilement identifiable que celle de ses cheveux. Par moments, on les croirait bleus. Et puis, tout bien réfléchi, ils nous semblent plutôt verts. Alors, instinctivement, on fronce les sourcils, un peu contrarié. On se concentre et on poursuit l’examen. Et, finalement, on en vient à la conclusion suivante ; les yeux de Gia sont bleus et verts. A la fois.

• Autres : Deux piercings, trois tatouages et une cicatrice subliment –plus ou moins- le corps exquis de la donzelle.
Son premier piercing est un piercing de surface, situé sous l’œil gauche. On n’en voit que les extrémités ; deux petites boules noires. Son second se situe sur son nombril. Classique.

Sur la nuque se trouve son premier tatouage. Il s’agit d’un leitmotiv, écrit en russe, signifiant « Jamais un échec, toujours une leçon ». Le second est à sa cheville ; c’est un symbole OM, qui signifie l’absolu. Son troisième et dernier tatouage se situe à l’intérieur de son poignet droit. Il se divise, en fait, en deux petits tatouages. Le premier, sur l’extrémité gauche de l’intérieur du poignet, est le chiffre VI, qui représente le Diable, l’imperfection. Le second est le chiffre VII, sur l’extrémité droite ; chiffre divin, symbole de perfection.

Enfin, c’est sur son ventre que se trouve sa cicatrice. Relativement discrète, elle trouve sa place juste au-dessus de l’aine droite et mesure environ sept centimètres.

► Caractère

• Qualités : Ce qui frappe, chez Gia, c’est son éveil intellectuel. Curieuse, cultivée et avide de connaissances, elle est d’une ruse et d’une intelligence souvent rares, chez les jolies jeunes filles de son âge. Discrète et loyale, on peut tout lui confier sans hésiter. Secrets et missions délicates seront respectivement bien gardés et bien effectuées ; ça ne fait aucun doute. Aussi, Gia est franche. Trop, peut-être. Mais, au moins, avec elle, on sait à quoi s’en tenir et l’hypocrisie n’est pas à craindre. Elle est du genre peu susceptible et friande d’humour (surtout noir, cynique et « limite », moralement, mais c’est plus fort qu’elle), ce qui constitue une qualité non négligeable. Douce et affectueuse, dans ses bons jours, elle peut être d’une compagnie extrêmement agréable pour ceux ou celles qui manquent un peu d’affection. Enfin, elle fait certainement partie des meilleurs partenaires de conneries en tous genres, pour les casse-cous, blagueurs et autres petits malins de ce genre.

• Défauts : Gia a une propension à l’énervement certainement supérieure à la moyenne. Si quelqu’un énonce une ineptie ou tente de la provoquer, voire de lui nuire (à elle ou à ceux qu’elle aime), elle parviendra mal à canaliser sa colère et à répondre de façon calme et pondérée. Il lui arrive même de céder à la facilité de la violence physique.

Elle peut aussi être capricieuse ; certain diront déterminée. Il lui est difficile de renoncer à un désir, arrivé à un certain stade.

Enfin, Gia est extrêmement rancunière. Quiconque en vient à la trahir ou à lui faire du mal aura nécessairement à en subir les conséquences et peut, de toute façon, dire adieu à son amitié et/ou à sa confiance. Autrement dit, avec Gia, pas de joker ; personne n’a droit à l’erreur

• Centres d'intérêts : Les intérêts de Gia sont extrêmement variés. La jeune femme s’intéresse à toutes sortes de domaines et n’en exclut aucun. Mais, à choisir, elle se qualifierait certainement comme une amoureuse transie de la littérature classique et contemporaine. Gia aime apprendre, elle en a besoin ; sentir que son esprit est en progression perpétuelle lui est presque vital. C’est une guitariste hors-pair. Elle compose quelques morceaux qu’elle n’a jamais joué, et ne jouera probablement jamais, à personne. La photographie, également, est domaine qui la fascine. Elle admire ceux qui sont capables de capturer l’instant et de le sublimer, à l’aide de quelques outils informatiques, ou simplement grâce à un angle de vue, à une lumière particulière. Elle manipule un peu l’appareil photo, mais son talent dans ce domaine est modeste. Gia raffole aussi des sensations fortes et nouvelles, quelles qu’elles soient. Drogues, sexe ou sports extrêmes lui procurent un plaisir indicible. Pour finir, Gia est passionnée par l’informatique et excelle particulièrement dans cette discipline.

► Affinités Particulières

• Aime/n'Aime pas : Gia aime la solitude –avec modération-, la littérature –sans modération-, n’être soumise à aucune contrainte excepté les siennes, fumer –du tabac mais pas que-, apprendre de tout et de tout le monde.

Elle n’aime pas la solitude –quand elle n’est pas modérée-, la bêtise, les entraves à la réalisation de ses désirs, les voix trop aiguës, ceux qui n’ont pas d’humour et/ou qui s’offusquent face à ses blagues douteuses.

• Goûts Musicaux : Ses goûts musicaux sont variables. Ils vont du rock, métal, hard-rock, à la pop-rock, parfois même au rap, voire à la musique classique. Tout dépend des jours et des moments.

• Goûts Culinaires : Gia est une piètre cuisinière mais aime les repas copieux et goûteux. Elle éprouve une préférence féroce pour la cuisine du monde (japonaise, chinoise, indienne) mais trouve également son bonheur dans les pizzas et les pâtes, toutes bêtes. Last but not least, Gia adore, littéralement, la viande. Et saignante, s’il vous plait.

• Goûts Vestimentaires : En ce qui concerne ses goûts vestimentaires, là aussi, tout dépend des jours et des moments. Pour Gia, chaque vêtement a une fonction et un contexte qui lui correspondent particulièrement. Aussi, lorsqu’elle cherchera à se mettre en valeur, Gia privilégiera les tenues sexy, types chemises, t-shirts, débardeurs ou pulls décolletés accompagnés de pantalons slims ou de jupes –souvent sombres-, toujours au-dessus du genou avec, aux pieds, des louboutins ou escarpins à talons, assortis aux vêtements. En soirée, elle usera surtout de robes, au-dessus du genou, moulantes ou non, c’est selon, et toujours de talons. En revanche, les jours de repos et de je-m’en-foutisme, Gia peut facile sortir en t-shirt classique, jean large, avec aux pieds des converses, des tongs, ou tout type de vêtements particulièrement confortables.
Elle porte peu de bijoux ; une paire de boucles d’oreilles, (généralement des perles, tout ce qu’il y a de plus banal), et quelques bagues. Les colliers seront de mise en soirée.

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 18:09

MAI 2010.

L’expert observait l’accusée. D’un air pincé, il replaça du bout de l’index la monture de ses lunettes, aux verres épais, qui, régulièrement, glissait jusqu’au bout de son nez. D’une voix morne, peu propice aux confessions, il invita sa patiente à lui parler de son existence.

« Le but de cet examen étant de déterminer les raisons qui ont pu vous pousser à commettre les actes dont vous êtes accusée, il m’est nécessaire de comprendre votre parcours. Tâchez de vous laisser aller, ce qui sera dit ne passera pas la porte de cette pièce. »

Face à lui, l’adolescente, que l’on avait autorisée à fumer, expirait à intervalles réguliers d’énormes volutes de fumée blanchâtre. Placide. L’expert ajouta, comme pour l’encourager :

« Commencez par votre enfance. Dites-moi ce que vous savez à propos de votre naissance, de votre environnement familial. »

Gia eut un sourire bourré de sarcasme. Flegmatique, elle écrasa l’extrémité incandescente de sa cigarette au fond du cendrier prévu à cet effet. De nouveau, elle fixa ses iris à ceux de son interlocuteur et, après s’être adossée à sa chaise, entama le récit de son piètre parcours.

« Comme vous le savez sans doute, je suis née fin décembre, en 1991, à Omsk. Ma mère n’était qu’une entité faible et soumise à la force virile des mâles environnants. Mon père, en l’occurrence. C’était une brute un peu sèche, mal-aimante et sentimentalement maladroite. J’ai peu de souvenirs de ma mère mais, chaque fois que je me rappelle son visage, je le vois trempé. Souillé de larmes.

Mon père était membre d’un gang, aux Etats-Unis. Une équipe d’escrocs et de pirates informatiques, incroyablement bien hiérarchisée et dont mon père était le chef adjoint. Ces types gagnaient leur vie en hackant des données bancaires et parfois même en exécutant des casses et des cambriolages. Quand je suis née, mon père était malade. Un cancer du pancréas. Nous savons, vous et moi, que ce cancer est le plus fatal de tous. Alors il voulait un fils, pour lui succéder dans l’équipe. Ma mère était une idiote, un peu naïve, enamourée, que mon père n’aimait pas mais qui avait accepté de lui rendre service. Mais rien n’est aussi simple, n’est-ce pas. A ma naissance, mes parents ont eu beau chercher, ils ne m’ont découvert aucun pénis. Imaginez la déception.

Simplement la maladie de mon père n’était certainement pas patiente et n’accorderait aucun délai. Alors il s’est résigné. J’ai atterri sur le sol américain à six mois, à peine. Mon père est mort deux mois plus tard. Ma mère avait renoncé, comme prévu, à ses droits parentaux, et c'est un membre de l'équipe qui m'a adoptée, à la demande de mon père dont il était très proche. J’ai grandi au milieu d’ordinateurs et de bandits. Dès que j’ai su parler, j’ai été initiée à la technologie informatique. On ne m’accordait aucun répit. Sitôt rentrée de l’école, j’étais happée, captive, forcée de les écouter m’expliquer comment on pirate l’ordinateur du voisin, puis le réseau de l’école, ceux de l’entreprise d’à côté et enfin ceux d’une banque. Et autant vous dire qu’il me fallait apprendre vite.

Je n’ai jamais compris pourquoi mon père souhaitait tant que sa place soit cédée à un héritier. Les autres membres de l’équipe étaient sacrément plus performants que moi, au fond. Peut-être qu’il me considérait comme un prolongement de lui-même et qu’en me laissant perpétuer ce qu’il avait commencé, il avait le sentiment d’exister encore. Je n’en sais foutrement rien, en fin de compte.

Le fait est que j’ai appris. Très vite. J’ai même fini par être fascinée par le hacking, les capacités infinies d’une machine à faire sauter toutes les sécurités d’une autre. C’était formidable de gagner de l’argent, le cul vissé à une chaise, vous imaginez bien. A douze ans, j’étais un petit génie. C’était extraordinaire. J’ai ensuite appris à maîtriser les armes et à me défendre. On me chargeait d’effectuer quelques petits vols, par-ci par-là, et pour lesquels je n’ai jamais été interpellée. Remarquez, j’étais relativement jeune. Quand on se fait voler par une gamine pré-pubère, on râle et on se dresse contre ceux qu'on appelle les "racailles". Mais on ne porte pas plainte. C'est un avantage.

Je ne me suis jamais sentie orpheline. Au Q.G., des pères, j'en avais des tas. Quand j’ai eu 14 ans, j’étais déjà un vrai bandit. L’étoile du piratage informatique. Ca me permettait de faire des tas de choses. Je me vengeais de mes ennemis du collège en leur volant, par exemple, quelques photos compromettantes que je diffusais, en tâchant toujours de faire en sorte qu’on ne découvre pas que j’étais la coupable. Ca fonctionnait bien. Les chefs et les « employés » commençaient à me refourguer de la came à vendre. Coke, weed, ecsta et héroïne… J’en avais toujours des tas, sur moi.

Je les vendais un peu partout. Je me mettais en danger. C’est là que j’ai commencé à être violente. J’étais forcée, vous pensez bien. Des types, des drogués, et un dealer de 14 ans et 1m60. Ils n’avaient qu’une seule idée derrière la tête. Mais j’étais plus maline. Plus rusée, et surtout, je savais me défendre. Et puis j’avais, malgré tout, des tas de défenseurs qui venaient à ma rescousse, si besoin était. Le problème, c’est que la violence devenait un mode d’expression banalisé. Je me mettais à frapper mes camarades de classe s’ils m’emmerdaient un peu trop. Ca m’a apporté quelques problèmes. Jamais rien de grave.

Enfin bref, je menais mon petit bout de chemin. J’ai été arrêtée une fois, pendant que je vendais ma came, et relâchée aussitôt. A 14 ans… qu’est-ce qu’ils pouvaient faire, mhm ? Je n’avais aucune vie familiale, et aucune vie affective. A 15 ans, pourtant, j’ai eu un petit ami. C’était un garçon adorable qui vivait dans une grande maison et qui avait deux petites sœurs. Je me suis mise à l’envier. Je suis même tombée amoureuse de lui. Fatalement, j’avais moins de temps à consacrer à l’équipe, et ils ont mal apprécié ce pseudo abandon. C’est là que tout a basculé. »

L’adolescente fit une pause et sortit une seconde cigarette de son paquet. Sans même demander la permission de l’allumer, elle s’exécuta et souffla longuement avant de poursuivre.

« Selon eux, j’avais besoin de découvrir les hommes, la sexualité, et c’était normal. Ils ont cru, naturellement, qu’en abusant de moi, j’aurais ma dose et que je cesserais de déconner en passant mon temps chez Dylan. Quels enfoirés. Ils m’ont violée à trois. Ils m’ont eue en traitre. J'ai même était battue.C’était dégueulasse, c’était écoeurant. Par "chance", j’avais déjà expérimenté l’acte sexuel avec Dylan et je savais que, normalement, ça ne ressemblait pas à ça. Alors je n’ai pas été spécialement traumatisée et encore moins dégoûtée des hommes. J’étais seulement dégoûtée, vous voyez ? Je leur faisais confiance, à ces types, je leur rapportais un max de thunes. Et eux, ils m'ont trahie.

Pour être honnête, j’ai eu peur que, suite à cet épisode, ils aient l’idée de me prostituer. Pervers comme ils étaient. Mais non, visiblement, ça ne leur a pas traversé l’esprit. C'est c**. Leurs poches auraient été dix fois plus pleines.

Mais vous connaissez la suite, n’est-ce pas ? J’ai grandi sans plus pouvoir accorder ma confiance à qui que ce soit. Je les ai haïs. Et pourtant, je continuais à bosser pour eux. De nouveau, ils m’ont violée. Plusieurs fois. Je ne me défendais pas plus que ça et, de toute façon, j’avais beau maîtriser les armes, ils les maîtrisaient mieux que moi. Pour preuve, l'un d'eux a failli m'étriper avec son couteau, une fois où j'ai tenté de me défendre. Alors, qu'est-ce que vous voulez que j'vous dise ? Je me résignais.

Mais il y a trois semaines, quelque chose a émergé, brutalement. Je n’en pouvais plus. Littéralement, je craquais. Je n’ai pas voulu les tuer. Ils avaient beau me dégoûter, ce n’était pas mon intention. J’aurais eu du mal à vivre avec un meurtre sur la conscience. Donc, je me suis contentée de les avoir un par un. J’ai utilisé un couteau. Je les ai menacés, et je les ai attachés, comme ils m’avaient appris à le faire, au cas où. Un. Par. Un. Ceux qui m’avaient violée. Six au total. Tous alignés. Je les ai frappés. Frappés, frappés, frappés.

Et si j’ai planté mon couteau dans le dos de Bogdan, c’est parce qu’il a souri, les dents ensanglantées et qu’il a dit « Je sais que tu as aimé ça, salope ». C’en était trop. Mais il n’est pas mort, n’est-ce pas ? C’est ce qui compte, j’imagine. Au moins, condamné à pourrir dans son fauteuil roulant, il ne violera plus personne.

Aujourd’hui, je n’ai aucun scrupule à les dénoncer, tous. J’en ai ma claque, de cette vie-là, vous voyez ? J’ai traversé, et je traverse toujours, une période de dépression assez avancée et ma consommation de drogue atteint des sommets. A 17 ans, j’aurais aimé que ma vie soit un peu différente. »

xXx

Une semaine plus tard, Gia était déclarée saine d’esprit. Au vu de son environnement et du conditionnement auquel elle a été exposée depuis son plus jeune âge, le juge ne la condamna pas pour ses délits informatiques et sa détention de drogues. Compte tenu également des faits de viols, il ne réclama aucune sanction particulière pour les coups et blessures infligés aux escrocs. En revanche, il lui sembla nécessaire, comme au psychiatre, de la placer dans une maison de redressement qui lui permettrait de se réintégrer dans la société et d’apprendre à mener une vie normale, elle qui n’a jamais vécu qu’entourée de criminalité.

Elle fut alors envoyée au Teenagers Institute.

► Joueur/Joueuse

• Mot de Passe pour la Validation :
• Comment avez vous découvert le forum : Par Partenariat ^^
• Commentaire :Le design est sublimissime.

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 20:16

miss, j'espère que tu te plairas ici fantasme

Alors, concernant ta fiche, il y a quelques points que j'aimerais mettre au clair :

- Je suis pas sûr que ça existe, les yeux bleus-verts-noisettes oO j'ai déjà vu des verts noisettes, mais avec du bleu...?

- Le père de Gia a vécu 13 ans avec un cancer du pancréas ? L'espérance de vie est d'un an (plus ou moins) avec ce cancer Wink

- Après la mort de son père, avait-elle un tuteur ? Puisqu'elle est scolarisée et tout ça, les services sociaux ont dû désigner quelqu'un pour s'occuper d'elle, non ? (et je pense pas que le gang soit choisi pour cette mission xD mais ça l'empêche pas d'y rester je pense ^^)

Voilà, pour le reste c'est très bien écrit, donc je n'ai rien d'autre à ajouter Wink

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 20:51

Aloooors :

- Concernant les yeux de Gia, je me suis simplement inspirée de mon avatar. Je les ai regardé, longuement... j'ai même penché la tête sur le côté et... Je n'ai pas pu trancher. Alors oui, je l'admets. Lapidez-moi, je le mérite. J'ai cédé à la facilité et j'ai déclaré qu'ils étaient toutes les couleurs du monde à la fois. Si c'est très grave, promis, je me forcerai à décider. u_u

- Pour le cancer du pancréas, c'est... je... Je n'ai aucune excuse. J'ai modifié l'histoire pour en préserver le réalisme.

- Quant au tuteur, je n'ai pas d'excuse non plus... Ma vie est foutue. J'y ai remédié.

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 21:54

Bah on est un forum réaliste, ce qui fait que de temps en temps on doit refuser quelques fantaisies comme les yeux rouges/violets/ect ^^ donc non évidemment c'est pas grave, y'a pas mort d'homme xD mais il faudra quand même te décider. Perso moi j'les vois bleu/vert Wink

Pour les modif' de ta biographie, c'est parfait. J'attends juste ta couleur d'yeux pour te valider Razz

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 22:40

Bienvenue sur Teenagers Gia ! Ta fiche est agréable à lire et ton personnage intéressant. YOUHOU *sors*

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 23:16

WELCOME !

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 23:50

C'est modifié ! Smile

Merci pour vos bienvenues !

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 23:53

Bonsoir et Bienvenue sur Teenagers Welcome

J'espère que tu te plaira sur ce forum, si tu as la moindre question ou remarque le staff de Teen reste à ton entière disposition par Mp ou dans la section d'aide prévue pour les membres. Je n'ai pas encore prit le temps de lire la totalité de ta fiche mais le peu que j'ai parcouru me suffit à dire que tu me semble avoir une belle plume. Et le compliment vis-a-vis du design me va droit au coeur, merci Wink

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Lun 15 Nov 2010 - 23:57

Bon jeu à toi ♥

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain." Mar 16 Nov 2010 - 0:02

Merci beaucoup ;p (Pour la validation et le compliment de Kathleen qui me va également droit au coeur Smile

)

Sujet: Re: Gia * "They call me Pain."

» Dans la peau d'une tranche de pain !

Gia * "They call me Pain."

Gia * "They call me Pain."

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