Luka

► État Civil

• Nom & Prénom : Luka Droski.
• Surnom :

• Age : 26ans
• Date de Naissance : 26/03/1984
• Lieu de Naissance : Chali, en Tchétchénie.

• Sexe : Masculin
• Orientation Sexuelle : Hétérosexuel

► Curriculum Vitae

• Profession : Etudiant.

• Qualifications & Etudes : Je rêve de devenir Professeur d’Art, je prépare ma Licence en Art appliqués. Par la suite j’aimerais enseigner dans un Lycée ou un Fac. Mais pour le moment mon objectif premier est de me faire de l’argent, c’est pour cette raison que j’ai accepté le poste de surveillant à l’Institut Teenagers.

► L'institut Teenagers

• Présent depuis : 1semaine

► Physique

• Taille : L’on m’a toujours dit que je deviendrait un garçon grand, c’est vrai. Aujourd’hui je fais 1m85. Peu de français atteignent cette taille là. Peut-être dois-je ma taille aux origines scandinaves de mon père.

• Poids : Je ne pèse pas lourd puisque je n’ai jamais connu le bonheur et la joie d’avoir une assiette pleine. Je viens d’une famille pauvre, et j’ai, pendant ma jeunesse, guère mangé de tout mon saoul et ce même à la DASS. Mon estomac n’est pas bien grand, je suis habitué a de petites rations de nourriture alors, vous savez même ici, où je ne manque de rien, je ne mange jamais beaucoup. C’est pourquoi je fais 60kg.

• Ses Cheveux : Mes cheveux sont noirs. Simplement noir. Ce n’est pas que j’aime particulièrement la couleur noir mais ils sont souvent dissimulés par mon bonnet alors ils pourraient être jaune, orange, blond, violet ou autre que je n’y accorderais pas plus d’attention.

• Ses yeux : C’est la partie de mon corps que je préfère. Premièrement parce qu’ils sont symétrique, se qui n’est pas courant dans mon pays, du moins. Ensuite mes cils ne sont pas trop épais. L’on dirait également qu’ils ont étaient dessinés, à l’aide d’un crayon. Bref, je m’égare, ils sont noirs, comme mes cheveux.

• Autres : Rien à ajouter concernant mon corps.

► Caractère

• Qualités : Je suis un homme patient. J’aime prendre le temps en toute chose et jamais je ne me presse. Je suis pragmatique et si il ya une chose dont je puisse avoir horreur c’est bien du bazar. Je suis pointilleux, non parce que l’art du dessin le recommande mais parce que je prends plaisir à m’appliquer en tout. Je suis gentleman avec les jolies demoiselles si souvent représentées par des peintres célèbres. Je n’aime pas les hommes qui leur manquent de respect. Oui, je suis très respectueux.

• Défauts : Néanmoins je suis très rancunier et pardonne difficilement à autrui. Il est facile de s’attirer les foudres avec moi. Je ne supporte pas le bruit et j’exige que chacun de mes cours soit silencieux. Parfois, eux qui m’entourent me disent que je suis maniaque, je tenais donc à le préciser ici, même si je ne suis pas d’accord avec eux. Même si je suis sociable je déteste que l’on me touche. Et lorsque je me sens agressé, je ne suis plus moi-même. Je n’ai peur de rien. Ce sentiment m’effraie car j’ai l’impression d’être deux personnes en une. Je peux être gentil, agréable souriant, calme, à l’écoute des autres te de mes élèves principalement et la minute d’après votre ennemi, mais bien sur, si jamais vous venez me chercher des noises et je sais me battre, puisque la rue fut mon seul toit pendant plusieurs années. Je suis solitaire, je ne suis pas vraiment quelqu'un de sociable. Ce n'est pas que je refuse d'avoir de la compagnie, c'est juste que je n'en recherche pas.

• Centres d'intérêts : Dans ma vie, seul le dessin compte. A l’époque j’aidais mes parents en dessinant pour les touristes en périodes estivales. Soit je dessinais les touristes intéressés ou sinon faisait des paysages. J’ignorais tout de mon talent car pour moi dessiner était si naturel. Encore aujourd’hui seul le dessin m’intéresse. C’est pour cela que j’ai décidé de l’enseigner à d’autre. Afin qu’eux aussi puisse profiter du bonheur et du rêve que profère le dessin ainsi que les multitudes de techniques existantes. Il y a le design qui me plait en second plan. J’achète pas mal de bouquin sur ça et parfois je dessine des plans que j’envoie. Je fais des concours aussi. Je dois également vous avouer que les filles me plaisent et que mes soirées sont fortement occupées. Maintenant que je suis aux Etats Unis j’essaie de gouter à la vie et de m’ouvrir vers les autres cultures qui m’entourent, lorsque les cours me le permettent je lis beaucoup de roman d’auteur français.

► Affinités Particulières

• Aime/n'Aime pas : Ce que j’aime ! Le dessin pardi ! La peinture aussi ! J’adore visiter les musées d’art. je passe mes week-end à ça. J’achète aussi des livres. Parce qu’il n’y a pas que le dessin, il y aussi le design et j’en passe. Je lis et regarde tout ce qui concerne cette branche là. J’aime beaucoup ma famille adoptive et je leur doit tant.

Je déteste les gens hautain. Je hais la Rap. Je n'aime pas beaucoup le bruit de la ville et la circulation, mais je n'ai pas le choix. J'ai la phobie des chiens, donc je les hais. Je n'aime pas le Chocolat, je fais parti des rares qui n'aiment pas cela.

• Goûts Musicaux : Je n'écoute pas beaucoup de musique mais je peux vous dire que je n'écoute pas de Rap. C'est un massacre pour les oreilles. Il m'arrive d'écouter du rock, généralement anglais. Parfois du classique ou encore du métal.

• Goûts Culinaires : A chaque Noël, ma pauvre mère nous faisait de l’oukha. J’adore ça ! Maintenant que je suis en Amérique et que j’ai toute sorte d’aliment à disposition je goûte et mange de tout. Mais en petite quantité, bien entendu.

• Goûts Vestimentaires : Petit je n’avais qu’un vêtement par ans. Aujourd’hui c’est différent. Déjà en fonction du temps. S’il fait chaud alors je mets un chemin et un short. Toujours des habits de couleurs foncés. Et lorsqu’il fait froid, le pull et le jeans est de rigueur. En Amérique, j’ai découvert la marque Converse, alors depuis je ne mets que ça. J’aime beaucoup mettre une espèce de bonnet lorsque le temps le permet et un long manteau noir qui me descend jusqu’au genou. J’aime ce manteau car je trouve qu’il me donne un petit air sérieux.

► Histoire


Je suis née dans une ville en Tchétchénie, dans une famille pauvre. Très tôt j’ai du apprendre à être autonome. Premièrement parce que mes parents n’étaient pas à la maison, parce qu’ils cherchaient de quoi se nourrir et deuxièmement car mes parents n’avaient strictement rien à faire de moi. J’avais appris plus tard que j’étais né par « erreur » et que ce qui m’arrivait était entièrement de ma faute. Un jour, alors que j’étais dans la rue, accompagné par d’autres enfants vagabonds, je trouvais, au sol, au cahier, assez petit, avec des pages blanches sur lequel était accroché un crayon de bois. Je me souviens avoir caché ma trouvaille dans mon pantalon, afin que personne ne me le dérobe. Plus tard, le soir, je réaliser mon premier dessin. Lorsque j’eu 10ans je décidai de vendre mes dessins et de dessiner pour les touristes. C’est ainsi que je peux gagner mon argent, m’acheter des feuilles et des crayons que je prenais grand soin de cacher chaque soir, pour qu’ils ne soient pas volés. Un jour, alors que je dormais dans la rue, parce qu’il faisait relativement bon, ce qui est rare dans mon pays, un homme me saisit et me posa la main sur la bouche. Je me débattis et l’on m’assomma. Je me souviens m’être réveillé dans un lit propre avec des draps blancs. Un dame fit irruption dans ma chambre, me calma et m’expliqua qu’ici je ne risquais plus rien et que l’on prendrait soin de moi, que si je restais j’aurai de la nourriture 3fois par jour et un lit ou dormir. Seulement j’étais mon libre arbitre et pouvais rester que je si j’en avais réellement envie. Et quelques jours plus tard je commençais à apprendre à lire et écrire, dormais dans des draps propres et mangé 3fois par jour en petite quantité parce que je n’étais pas le seul enfant. Il y en avait d’autres, des enfants comme moi, des « erreurs » que personne ne voulait.
Chaque jour j’apprenais assidument les enseignements qui nous étaient prodigués par un unique professeur. C’est d’ailleurs cet homme, que j’admirais profondément qui découvrit mon talent en dessin. Il semblait ravi. Le soir même la directrice de cet Institut vint me voir et m’annonça que des Américains m’avaient parrainé, c’est –à-dire que chaque moi il m’envoyer une somme d’argent. C’était un couple vivant en Californie.
J’aimais cet Institut parce qu’il y avait de quoi m’épanouir pleinement, des livres étaient à volonté, principalement des livres Anglais, si bien que je dû apprendre à parler cette langue. Ce fut un dur labeur car je l’appris seul.
J’avais 14ans lorsque je décidais d’écrire une lettre particulière à mes parrains. J’avais hésité longtemps car ce ne serait pas une lettre comme toute celle que je leur écrivais parce que j’avais une demande toute particulière à leur adresser. Je voulais qu’il m’envoie assez d’argent pour que je puisse venir chez eux aux Etats-Unis. Je savais que cela pouvait être très difficile mais il n’avait pas d’enfant car la femme était stérile, je savais que j’avais peut-être une chance, grâce à cela. Je reçu la réponse deux mois plus tard. Elle disait qu’il avait beaucoup réfléchis et qu’afin de compte il avait accepté. J’étais heureux comme jamais. Bien sur, il y avait écrit que si je n’avais pas un bon comportement je retournais dans mon pays mais je ne m’en souciais guerre car je n’avais jamais cherché à mettre le bazar ou que ce soit et que j’étais sage.
6mois plus tard j’arrivais en Californie. Je fus mis à l’école où je dû travailler d'arrachepied pied afin de rattraper le niveau scolaire. J’obéissais du mieux que je pouvais à ceux que j’avais le droit d’appeler parents à présent. Je mis du temps avant de les appeler ainsi car c’était comme une déchirure avec mon ancienne vie de plus je n’avais jamais appelé mes parents papa ou maman. D’ailleurs la première fois j’ai pleuré silencieusement dans ma chambre. Jamais je ne pourrais remercier ses gens pour le geste qu’ils ont eu envers moi. Un geste d’amour. J’ai grandi, en ayant pour ambition d’être un grand professeur d’arts, encouragé par mes nouveaux parents.