► État Civil

• Nom & Prénom : Daniel Morrange
• Surnom : Dan, mais attention, que quand il est dans une de ses périodes rebelles… Par contre, s’il est dans son état normal, il trouvera ce que ce surnom fait voyou et pensera d’ailleurs que tout surnom est d’une vulgarité pas possible, et que si on a un prénom c’est pas pour le changer par des sobriquets stupides et puériles (c’est lui qui l’a dit hein ^^’)

• Age : Entre 14 et 21 ans 16 ans et demi.
• Date de Naissance : Le 18 juin 1993, lors d’un jour venteux…
• Lieu de Naissance : En France, quelque part en Alsace, pendant que ses parents étaient en voyage chez grand-père.
• Nationalité : Française. Ca l’empêche pas de parler plein d’autres langues et d’avoir passé du temps en Angleterre, au Mexique, en Australie et aux Etats-Unis.

• Sexe : Monsieur
• Orientation Sexuelle : Bisexuel, au grand désespoir de Daniel, mais à la grande joie de Dan’…

► Préambule

« Daniel, c’est la sixième fois… »

« Mais maman… Je t’ai déjà expliqué, maman, ce n’est pas contrôlable, je ne sais pas ce qu’il se passe… Pourtant… »

« Daniel ! Daniel, d’abord tu as agressé un professeur, je pensais que tu ne pourrais pas faire pire, mais tu as aussi agressé des camarades, tu… »

« Je sais, maman. Je sais, j’ai été expulsé de deux collèges, de trois lycées, maman je t’ai dit cent fois que cette situation m’horripilait… Ce lycée est abominable, la bibliothèque est pittoresque, les bâtiments affreux,il y a un tas de voyous et des tonnes de dévergondés, les professeurs sont incompétents, franchement maman, si j’avais pu choisir… »

« Je sais Daniel, je sais… Mais quand même Daniel, tu as aussi dégradé un abri-bus, tu… »

« Oui maman, je sais… Et je t’ai fait horriblement honte et c’est pour cette raison que tu as choisi de déménager en Angleterre. Je sais tout ça. »

« Et je pensais que… Que… Que tu ne pourrais rien faire de pire mais… Mais Daniel, enfin je… Boire, Daniel ! Boire ! Je ne t’en aurais jamais cru capable et… »

« Ne pleure pas je t’en prie. Maman, j’ai fait bien plus grave que de boire, maman… »

« Oui, oui, cette fille ! Seigneur, comment as-tu pu… »

« Mais j’en sais rien ! J’en sais rien ! J’sais pas pourquoi, j’sais pas ! Et encore, et encore, mais arrête de chialer putain ! Arrête, arrête ! »

Oh non, voilà que ça le reprenait… A l’évocation de ce souvenir, à la douleur qu’il ressentait, oui parce qu’il avait fait des choses immondes, lui Daniel, il s’était saoûlé à de nombreuses reprises, il avait fumé plus que du tabac, il avait couché, et là, violé, violé cette fille, il se dégoûtait, on venait de lui apprendre qu’il allait devoir se rendre dans un centre de redressement alors qu’il n’y était pour rien, que c’était l’autre, que c’était ce Dan rebelle qui avait tout fait… Ce Dan qu’il haïssait tant ! Ce Dan qui à chaque instant menaçait de…
Il leva la main, et frappa sa mère. Qu’est-ce qu’elle l’agaçait à pleurnicher comme ça, si naïve, si ignorante… Il grogna, pris d’une violente envie de la frapper encore une fois mais… Mais non, il l’aimait… Maman… Maman… Ses yeux s’agrandirent et il se rendit compte de ce qu’il avait fait, il vit la pauvre femme prostrée au sol, tremblante de peur… Maman… Oh non, ça avait recommencé… Effrayé, il s’éloigna, sortit de la cuisine, monta les escaliers en trombe, alla s’enfermer dans sa chambre tant il avait peur d’à nouveau lui faire du mal.
Il avait envie de fumer.

► Dan’


Le paquet de clopes était posé sur son lit. Ca faisait longtemps que sa mère ne faisait plus sa chambre et il savait qu’il n’avait rien à craindre. Nonchalamment, il en alluma une, puis alla allumer la musique à fond. Rock, rock parce que ses parents détestaient ça et trouvaient que c’était une musique de « dégénéré » mais lui il était pas d’accord, lui il aimait bien ça, et puis ça les faisait chier, alors c’était encore mieux.

D’ailleurs, qu’il se soit mis à fumer, ça les faisait chier aussi. Ils fermaient les yeux, ils faisaient semblant de rien, mais à leurs froncements de nez, aux regards de sa mère, il sentait bien que ça les embêtait franchement. Evidemment, fumer, c’est mal… Il ricana. Ah, s’ils savaient… S’ils savaient ce qu’il avait déjà fumé ! Bien sur qu’ils s’en doutaient, mais ils ne voulaient pas voir, ils ne voulaient pas admettre, voilà tout. Non, il n’était pas accro, juste à la clope, mais à rien de plus. Il avait fumé quelques trucs, deux-trois fois, pour essayer ces « substances du Diable », mais il avait du mal à s’en procurer, parce que son image de petit intello lui collait à la peau, et que c’était suspect que tout-à-coup ce lèche-cul de surdoué se mette à réclamer un ticket pour le Paradis… Et puis c’était cher, et quand il voulait se payer quelque chose, il ne trouvait plus ses économies, il ne savait pas trop pourquoi.

Oui et puis en plus de fumer, il buvait aussi, et qu’est-ce qu’il aimait ça, l’ivresse, le goût, les mélanges, la tête qui tourne et le sourire aux lèvres… Et puis quand on buvait en groupe, c’était bien sympa, tout se détendait, les limites s’oubliaient, et les gens s’offraient plus facilement, on pouvait faire des choses très, très, très plaisantes… Oui ces choses, il les avait faites plein de fois, et avec le consentement du partenaire, s’il-vous-plaît. Avec des filles d’abord, et puis avec un pote, et alors il s’était rendu compte que les deux étaient cool, que les deux donnaient du plaisir, que les deux avaient leurs atouts et leur charmes... C'était pratique, parce que quand il avait des crises, et bah il lui fallait quelqu’un, ou quand il avait trop bu, et alors il prenait ce qui tombait, et en général ça allait bien, mais la dernière fois, ça c’était mal passé, il en avait pris une dans la rue, c’était imprévisible, une pauvre petite secrétaire de presque trente-ans, et il l’avait maîtrisée, mais il n’était pas lucide, il n’avait pas pensé à se cacher, et ils s’étaient fait choper… Et depuis il n’avait même pas pu revoir son pote Sid, il devait partir pour cette foutue maison de redressement, même pas put dire au revoir à Sid… Dommage, il aimait bien Sid.

Sid, c’était le bon pote qui buvait volontiers, qui vous filait une clope volontiers, qui allait dessus, dessous, bien tranquille… Son meilleur pote d’ici, en Amérique. Bon il y en avait d’autres, hein, et les filles aussi étaient cool. Ah mais quand même c’avait été l’Angleterre, dans la folle année de ses 15 ans, quand il avait découvert les plaisirs de la vie… L’Angleterre, c’avait été Londres et la campagne plus au Sud, et Londres, ça avait été la première fois, la première fois avec un mec (avec Sandy, une espèce de petit voyou à la famille recomposée, drogué jusqu’à la moëlle), les plus belles nuits de taré de sa vie, la plus grande débauche… Et puis à la campagne ça c’était un peu calmé, il n’y avait presque que des filles, plutôt sages, pas tellement d'accès à la ville… En France, il n’y avait pas eu grand-monde, on se méfiait, et aux Etats-Unis, et ben y avait eu Sandy, entre autres, et toute une ribambelle de jeunes et de moins jeunes. Et maintenant, ça serait Teenagers.

Bon, bref, faire sa valise. Il alla chercher son sac, celui qu’il s’était acheté par ses propres moyens, parce que ses parents avaient refusé de le payer… Un sac en bandoulière l’effigie d’un de ses groupes préféré, forcément, ça faisait bien trop décontracté et délinquant… Mais il s’en foutait, il se l’était payé de lui-même, avec l’argent de poche accumulé en récompense des excellents résultats de Daniel.

Il mit d’abord ses fringues. Tous les T-shirt qu’il avait déchirés, les pas déchirés, ses gilets, ses jeans larges et moins larges plus ou moins troués, ses ceintures cloutées, son collier… Non, son collier, sa chaîne, il l’enfila autour du cou. Quelques gilets… La veste, il la mettrait pour partir… Deux paires de converses (celles-là, c’étaient ses parents qui l’avaient achetées, par contre, quand ils pensaient encore que ce n’était qu’une petite crise d’adolescence passagère et qu’en le ménageant, ça allait vite passer), quelques boxers et paires de chaussettes. Hors de question d’emmener ces saloperies d’uniformes qu’il mettait autrefois, et que des fois, quand il était bien disposé, il revêtait encore, mais il ne comprenait pas trop pourquoi, c’était un peu flou… En tout cas, il n’en pouvait plus de ces cols tous serrés, et de ces cravates qui l’étouffaient, de ces pantalons tout rigides sans aucun plis… Beurk beurk beurk. Il enleva ses vêtements à la hâte et enfila un sweat confortable, un jeans assez ample et même pas troué… Bah voilà, ça allait déjà mieux.

Il alla chercher une trousse de toilette et quelques serviettes de bain qu’il lança négligemment sur les vêtements, puis ajouta au sac quelques magazines (deux de musique, un destiné aux adolescents, et trois pour le plaisir des yeux), des capotes en vrac (il comptait bien s’éclater, là-bas), deux paquets de clopes qu’il avait achetées en conséquent du voyage (il ignorait si là-bas il trouverait tout de suite les bons plans pour s’en procurer d’autres),quelques cannettes de bière (idem) ses CDs, et puis c’était tout. Sa radio, il la mettrait au dernier moment. Des jeux vidéos, des choses technologiques, fragiles, il n’en avait pas, parce que Daniel n’en avait jamais voulu et parce que maintenant, il savait qu’il lui arriver de péter des plombs et qu’il risquait de casser toutes ces choses fragiles qu’il aurait payé très cher et avec son argent.
Rien, il n’avait rien d’autre. Son regard tomba sur sa bibliothèque. Il détestait ça, toute cette grande littérature… Jamais il n’en emmènerait là-bas. Il les avait tous lu plusieurs fois, mais il ne savait pas comment il avait fait. Ca le répugnait, et il aurait bien aimé crâmer cette étagère mais… Il n’y parvenait pas. Oh, il avait déjà essayé, mais c’était plus fort que lui, il n’arrivait pas à abîmer les livres, et généralement ça le mettait dans une fureur noire, cette constatation. Frustré rien que d’y penser, il donna un coup de poing dans le mur, et la douleur qui en résulta l’excita plus encore. Il y avait un livre sur le bureau, un livre ouvert. Il le saisit d’un geste violent et s’apprêta à le lancer contre la porte, mais… Mais non. Une Vie, Maupassant.

C’était le livre qu’il était en train de lire… Fébrilement, il chercha la page à laquelle il s’était arrêté, la trouva, lut quelques lignes… Lut quelques lignes, puis quelques pages. Il alla s’allonger sur son lit, finit le chapitre, et cette coupure le ramena à la réalité.

► Daniel


Daniel soupira, enleva le vulgaire sweat qu’il portait, le jeans certes assez sobre mais qu’il ne supportait pas du tout, et remit les vêtements qu’il portait avant, rajusta son col, refit le nœud de sa cravate, lissa son pantalon. Il eut très envie de se débarrasser de la cigarette, mais il savait qu’il ne devait pas parce que son organisme était dépendant de la nicotine et que s’il en manquait, il pétait un plomb. Alors même s’il détestait ce goût, cette idée même de fumer, il la termina, parce qu’il était raisonnable.

Oui, il était raisonnable, beaucoup plus raisonnable que Dan’. C’était pour cela qu’il emmènerait toutes les affaires que lui-même –oui, lui, c’était lui- avait préparées, mais qu’il rajouterait ses effets à lui. Il alla couper la musique insupportable. Il n’aimait pas tellement la musique, juste le piano, le doux son du piano. Le reste, non, et surtout pas le rock ou les musiques urbaines, ni les trucs techno, tout ça était agressif, et d’un vulgaire… Et puis les Opéras, les grands classiques, tout cela avait tendance à l’agacer.

Dans une petite valise très sobre, il plaça ses vêtements, tous inspirés d’uniformes scolaires. La trousse de toilette, c’était aussi celle de Dan, et les sous-vêtements étaient les mêmes. Et sa distraction… Pourvu qu’il y ait une bibliothèque, là-bas, mais sinon, il demanderait à s’acheter des livres. Il choisit toutefois d’emmener ses ouvrages préférés, Maupassant, Balzac, Hugo, Zola, Flaubert et Baudelaire. Derrière le rayon Balzac, il avait caché ses économies, qui constituaient en fait en l’argent de poche offert chaque mois par ses parents et en les récompenses que ces derniers lui offraient suite à de bons résultats. Il plaçait à la banque, mais en gardait toujours sur lui, et en l’occurrence, il y avait là, caché, à l’abri de Dan’ (qui les aurait dépensés en choses inutiles et en un rien de temps) l’équivalent d’une bonne centaine d’euros. Il les planqua entre deux livres. Il emmena également de quoi écrire, et des livres pédagogiques pour l’apprentissage des langues étrangères.

Il n’abandonnerait pas le travail. Il était surdoué, il le savait. Il concentrait surtout ses efforts sur les langues, la littérature, l’étude des chefs-d’œuvre de toutes époques, l’apprentissage passionnant de plein d’autres langues pour s’ouvrir à la culture d’autrui… Quelques années auparavant, il était encore destiné à faire de grandes études, mais il savait que cet espoir était vain, désormais. Il avait été renvoyé de son prestigieux collège en troisième, lors de sa toute première crise, quand il s’en était pris à un professeur… Et grâce à ses bulletins brillants, il avait pu être accepté dans un autre collège privé, pour finir son année… Renvoyé encore, renvoyé parce qu’il avait fortement perturbé l’épreuve du Brevet des Collèges. C’était pendant les premières semaines de ses 15 ans, pendant les grandes vacances, qu’il avait goûté à la cigarette, à l’alcool, aux sorties tardives… A la fin de ces vacances qu’ils avaient déménagé en Angleterre, à Londres, après la deuxième arrestation, parce que la honte rongeait ses parents, parce qu’ils pensaient que cela améliorerait les choses… Evidemment, en seconde, il n’avait été admis que dans un lycée banal. Cette année avait été désastreuse, il n’avait plus voulu travailler, et les brèves accalmies ne lui avaient pas permises rattraper quoique ce soit… C’était son année de débauche, celle où il avait tout découvert, celle qui lui donnait envie de vomir, celle dont il était le plus honteux. La deuxième seconde avait été plus calme et beaucoup plus satisfaisante.

L’équivalent de la seconde en France, bien évidemment, parce qu’il était scolarisé dans un lycée Anglais, mais ça ne posait pas de problèmes. Daniel était surdoué et parlait couramment l’Anglais, l’Espagnol et le Chinois en plus du Français, sa langue natale, mais il se débrouillait aussi en Portuguais et en Allemand et comprenait le Japonais et l’Arabe. Maintenant, il essayait d’apprendre comme il pouvait le Russe, tout en continuant à se perfectionner dans les autres langues, mais à cause de ses crises, il progressait lentement.

Mais maintenant… Ca allait être compliqué. Il soupira. Il ne ferait jamais d’études, mais, calme et objectif comme il était, il acceptait cela… Il s’était loupé, il y avait eu des erreurs, peut-être dans son éducation, peut-être dans sa façon à lui de se prendre en main… Il n’y avait toujours eu que les études, que le travail. Chez lui, il n’y avait pas la télé, pas de jeux vidéo, pas de téléphones portables, ses parents étaient contre et lui aussi. Tout comme ils étaient contre le sexe, la drogue, l’alcool et compagnie… Et c’était tout ce que Dan’ faisait. Ca le dégoûtait, il se dégoûtait, parce que lui aussi détestait tout ça… Et lui aussi trouvait que l’homosexualité, c’était pas naturel, c’était répugnant, et la bisexualité c'était tout-à-fait la même chose d'ailleurs, et pourtant, et pourtant…

Peiné, il croisa son reflet dans le miroir, le grand miroir devant lequel il s’habillait tous les matins, et s’y attarda. Il était maigre, petit et maigre, ça se voyait qu’il n’aimait pas le sport. Il ne dépassait pas le mètre 75, mais ça ne le gênait pas du tout. C’était comme ça. Et puis son visage… Ses cheveux châtains mi-longs et sa frange légèrement chassée de côté convenait aussi à Dan’. Il n’était pas beau. Il le savait : il dégageait un truc, un air de sériosité froide –il était froid, il n’aimait pas les autres et surtout ceux qui allaient contre ses idéaux- qui repoussait les gens. Même dans le miroir, cela transparaissait. En revanche, cette aura disparaissait lorqu’il disjonctait, et alors il devenait plus attirant, un peu effrayant peut-être par moment quand un sourire sadique et incontrôlable s’étalait sur son visage, et quand ses yeux se plissaient, un éclat de méchanceté au fond de sa pupille…

Lui, il savait. Il était assez raisonnable pour accepter ses crises au point de les étudier. Quand, elles survenaient, elles commençaient par une période violente où il ne contrôlait pas, et puis il se calmait, restait dans cet esprit rebelle… Un élément particulier pouvait le mettre dans une rage absolue ou bien le faire redevenir calme, voir celui qu’il était en ce moment, le Daniel tranquille et posé qu’il connaissait. Mais quand il était Dan’, il était persuadé d’être toujours Dan’… Mais il y avait toujours des éléments déclencheurs. A ce jour, il avait répertorié entre autres des cigarettes, des paroles particulières, sa mère, les livres, du Rock, le son d’un piano, la vue de jeunes « dévergondés », des vêtements…

Bref, il était triste de devoir arrêter le lycée. Il n’avait aucune année d’avance, contrairement à ce que l’on aurait put penser ; il avait, en revanche, pendant deux ans (à huit ans et à treize ans) stoppé sa scolarité le temps d’une année pour aller effectuer un long voyage touristique à l’étranger (d’abord en Australie, puis au Mexique). Plus l’Angleterre, plus les Etats-Unis… Il avait beaucoup voyagé, sans compter les petites vacances de deux semaines dans tous les coins du monde. Et maintenant il allait découvrir un monde tout-à-fait étranger, celui de Teenager, celui des délurés délinquants carrément dingues… Un monde étranger et hostile pour lui, Daniel. Peut-être que ce serait un chouette endroit pour Dan’… Tout dépendrait des libertés laissées, à son avis.

Bref, bref, bref. Il se débarrassa du mégot, boucla sa valise qu’il plaça dans l’autre sac –en prenant soin de ne pas regarder se qui se trouvait à l’intérieur. Il y mit également glissa le dernier CD de Rock, la petite radio, la veste et les chaussures de Dan’ puis sortit, descendit les escaliers pour aller rejoindre ses parents –son père, tout juste rentré du boulot, essayait de consoler sa mère. Ils le regardèrent, effrayés, mais il leur offrit un sourire gentil, et ils se rendirent bien vite compte qu’ils avaient là affaire à leur fils chéri. Son père pris le sac sans parvenir à masquer une grimace, ils montèrent en voiture, ils en auraient pour quelques heures de trajet, et puis…

Teenagers.


► En plus

Il y a des trucs demandés que je n’ai pas mentionnés, je sais pas trop si c’est important, mais sait-on jamais…

• Ses yeux : Marrons, plutôt clairs
• Goûts Culinaires : Daniel aime la bonne cuisine, la gastronomie, les grands restaurants. Dan’, comme on peut s’y attendre, aime plutôt les trucs style fast-food, restauration rapide, pas très sain, mais au goût qui lui plaît beaucoup. Et puis c’est provoc’ vis-à-vis de ses parents alors bon.
• Chambre ou Dortoir : Je dirais plutôt chambre étant donné ses accès de violence imprévisible.
• Intégré à cause : il y a été parce qu’un juge l’y a obligé tout d’abord, mais aussi parce que ses parents le voulait, et parce que cette solution a été fortement conseillée par la psy. Et puis Daniel s’y résigne plutôt bien.
Je précise aussi que Daniel est issu d’une famille modeste.


► Joueur/Joueuse

• Mot de Passe pour la Validation :
• Comment avez vous découvert le forum : De partenaire en partenaire…
• Commentaire : J'ai flashé, tout simplement =)

Bienvenue mon Cher

Welcome ! Pas mal la prez', je crois que je vais aimer ton gars ^^-

Bon shinon, j'aime bien les dessins, sont pas mauvais.
[Lulu : mais t'as pas dit que c'étais bon >>"]
Lulu ^^* ? Je t'ai demandé quelque chose ?
[Lulu : Pfff, spèce d'hypocrite --']

*scène censuré pour cause de ... violentes chatouilles ...*

Bienvenu :!

Bienvenue !

J'aime ta fiche !

Bienvenue sur Teenagers ! ^^

Donc bon en effet, vu la présentation que tu as choisie il est difficile de voir si toute les infos nécessaires sont là, mais après avoir lu je pense que c'est bon.

Dernier petit détail : on compte un peu trop d'homosexuels parmi nos membres, le drame pour la nombreuse population féminine du forum, donc si tu acceptes de rendre ton personnage au moins bisexuel nous t'en seront reconnaissants. Nous t'obligeons à rien bien sûr, ça ne sert à rien de te mettre bi si tu comptes jouer seulement homo derrière - mais ça me semblerait plus logique vu qu'une de tes personnalités est limite homophobe.

Quoi que tu choisisses, ta fiche est validée. Bon jeu parmi nous !

Merci c'est gentil de ta part -^^