Sujet: Sondage : Un peu d'Histoire Sam 27 Fév 2010 - 12:44 | |
| Rappel des textes : - Ange Levis (46 lignes) : - Spoiler:
1er Octobre 1939. Hitler est au pouvoir et décide d’envahir la Pologne. Deux jours plus tard, la seconde guerre mondiale commence. Je m’appelle Peter Wolckringen, j’ai seize ans et je suis Allemand. Je suis blond, grand aux yeux bleu gris. Les vainqueurs il parait. Mais vu ce que j’ai vécu, j’aurais vraiment préféré mourir ou être juif. Mes parents sont des gens vraiment gentils, ils n’aiment pas Hitler et aide les enfants juifs. Ils m’ont caché en me disant mort, pour ne pas que j’ailles tuer des gens innocents. C’est ainsi qu’a commencé ma vie coupée du monde. Je sais lire et écrire, alors pour moi, la vie n’est pas si dure. Je me dis que c’est ceux qui sont dehors les plus à plaindre… Un mois passe comme ça, mais un jour, père et mère me ramenèrent un garçon juif. Ils l'avaient trouvé au bord de la route, l’épaule percée par une balle. Je m'étais donc mis à le soigner, prenant très soin de lui, je ne voulais vraiment pas le perdre car on s’amusait beaucoup ensemble. On était vraiment de véritables amis, on passait notre vie ensemble, donc c’est normal. N’ayant qu’un lit, nous dormions aussi ensemble, collé l’un à l’autre. La journée, il faisait souvent froid, alors on se collait. Moi dans ses bras le plus souvent, et lui me câlinant avec tendresse... Je lui ai sauvé la vie par mes soins, mais je suis aussi tombé amoureux de lui. Je ne le savais vraiment pas au début, je ne me l’avouais pas, surtout que lui m’avais dit aimer les hommes dés le départ... Plus le temps passait et plus je tombais amoureux, j’avais si mal, si peur. Si j’avais sût la suite des événements, je lui aurais directement avoué, mais je suis trop bête pour ça.
Père et mère venaient régulièrement nous donner à manger et de quoi nous laver. Mais un jour, je ne sais pas ce qui c’est passé, comment c’est arrivé; Il m’a prit contre lui et m’a embrassé, il m’a dit des tonnes et des tonnes de je t’aime. Moi je suis resté sans rien dire, l’enlaçant juste et revenant l’embrasser avec tout l’amour et la tendresse que j’avais pour lui... Les choses ont alors commencées à déraper sérieusement. Cela faisait exactement cent quarante jours que nous étions enfermé tout les deux et jamais rien ne c’était passé, même quand nos corps de jeunes hommes en avaient envie et que nos virilités respectives prouvaient notre excitation. Et il s'est fallut d’un baiser, un simple baiser pour tout déclencher dans le dérapage. Ses mains ont commencé à glisser le long de mon corps que je musclais tous les jours. Il m’a pris par la taille et collé nos bassins avec ardeur avant de commencer à ondulé, me faisant gémir... Tout continua, jusqu’à l’acte sexuel en lui-même; C’est alors que j’étais sur le bord d’attendre le plaisir suprême et que lui venait de l’atteindre en moi, que mes parents entrèrent dans la pièce restant bloqués devant ce spectacle. Il avait sa main autour de mon sexe et le sien en moi, il me donné de brusques coups de bassin et moi je gémissais mon plaisir jusqu’à en avoir la voix coupée quand j’attendis le dit septième ciel. Jamais je n’avais aimé cet acte autant que là, jamais...
Mes parents n’acceptèrent alors pas du tout ce que nous venions de faire. Je suis resté des heures entières à essayer de leurs expliquer, mais eux, tout ce qu’ils voulaient maintenant c’était se débarrasser de l’intrus juif, ce traître à leurs yeux, il avait fait de leur fils tant aimé un monstre! Un monstre qui aime les hommes et se faire dominé bien plus que dominé... Ils appelèrent la police Allemande en disant qu’il s’était introduit chez eux en pleine nuit... Son exécution allait être donné tout de suite. J’écris ceci avant demain, là où mes parents le diront, car moi je sais ce que je veux faire. Je veux être le héros qui a sauvé un juif dont il était follement amoureux.
Je suis la maman de Peter et c’est à moi de vous racontez la fin. Comme mon fils l’as écrit, nous avons commis la plus grosse erreur de notre vie. Nous l’avons bien livré à la police ce juif que mon enfant aimait plus que les femmes. Et au moment où le policier allait tiré sur cet intrus, avec un sourire malsain sur le visage. Peter est apparu et c’est mis entre eux, ce prenant la balle en plein cœur en hurlant de toute ses forces.
« ADAM JE T’AIME ET JE T’AIMERAIS TOUJOURS MÊME DANS L’AUTRE MONDE, JE TE PROTEGERAIS JE T‘AIME………..»
La balle toucha son cœur, il tomba dans les bras de son Adam qui mourut à peine une minute plus tard, tenant Peter dans ses bras et pleurant, puis se fut le tour de mon mari. Et moi, je suis maintenant marié à cet homme qui a tué tous ceux que j’aimais…
- Alice Keeg (42 lignes) : - Spoiler:
Décembre 1347
Voilà maintenant près de deux semaines que je suis bloquer dans ce port, à Marseille. Ont-ils seulement la moindre idée de ce que ça me de rester là ? Je ne suis pas malade, moi, et aucun membre de mon équipage - du moins, parmis ceux à qui j'ai laissé l'occasion de franchir les portes de la ville - non plus. Leur mort ont beaux s'empiler dans les rues, cela ne me concerne pas. Si Dieu m'a épargné, c'est bien pour que le commrce de Ses biens continue.
La preuve en est que l'homme même qui a interdit aux commerçant italien de débarquer leur marchandise est mort de la peste ce matin même. Depuix, ont a assisté à un véritable chaos sur le port, tout le monde voulant se débarasser des marchandises maudites au plus vite. Mais lorsque la mort reigne, les citadins se préoccupe peu de tissus écarlates, et malgré les prix de plus en plus bas personne ne pense à en profiter. Surtout que beaucoup des propriétaire d'origine ne sont plus là pour les vendre, et que de simples marins ne savent rien de l'art du commerce. D'ailleurs, ça me donne une idée...
Me voilà donc en quête des plus précieux tissus, pour un bout de pain. J'ai même récupéré quelques splendide manteau sur les cadavres déposés devant les portes du quartier noble. Personen ne fait attention à moi. Ce n'est pas comem s'il y avait grand monde dans les rues. Seul Dieu me voit, et j'accomplie son dessein, quoi qu'en disent les moines. Si je suis passé au travers de la maladie, c'est que Dieu cherit ma vie. Et ma vie, c'est le commerce.
J'ai maintenant rempli plusieurs coffres de tissus rares, éclarlates, dorés, magnifiques. J'ai confié le bateau et ce qui reste de l'équipage à mon premier matelos, un des rares à avoir réchappé de la terrible peste. Mais chacun sait que le mal noir ne frappe jamais deux fois la même personne, si Dieu nous a sauvé de la mort après la remption de nos péchés, pourquoi reviendrait-il vers nous ? Il me faut maintenant une charette, et trouver le moyen de sortir de la ville sans me faire repérer. Mais j'ai l'impression que leur mise en quarantaine est de plus en plus difficile à tenir pour eux, bnombres de gardes ayant succombé à la maladie. Encore une preuve que Dieux ne veut pas que Ses cités se ferment. Il est probable qu'en sortant ces vetements de luxe j'apporte la maladie à d'autres endroit, mais ce sera fait selon Sa volonté. Même les moines clament que ce mal nous ait infligé en punition de notre déchéance. De ce que mes voyages m'ont permis de constater, je ne crois pas qu'Avignon résiste bien plus au péché que Marseille.
Je suis maintenant sur la route. Ce fut incroyablement facile. Durant la nuit, il n'y avait quasiment pas de gardes aux portes du chateau, et la plupart souffrent tellement d'hallucinations qu'ils ne voit plus la différence entre un être vivant et bien en chaires, le fantôme d'un proche décédé ou les cadavres des rues. J'aperçois une vaste ferme. Ses gens de la terre seront surement ravis de pouvoir s'habiller comme des princes, et n'entendent certainement rien aux prix habituels, ils ne se méfieront pas... Je vais faire un détour et arrivé par la route d'Avignon. Personne ne pourra savoir d'où viennent ces luxueux tissus.
Deux grosses propriétés visités et j'ai déjà presque vidé un des trois coffres. Habituellement, vendre à un tel prix m'empecherait de dormir, même au plus cruel de la famine, mais sachant que je les ai eu pour rien... A la fin de cette peste, je serait certainement un des marchands les plus riches, invité dans les plus belles maisons de Florence ! Dieu doit réellement m'aimer...
Comment ai-je pu me faire avoir par ce jeune garçon ? Un serf qui plus est ! Je ne comprends pas... Pourquoi m'as-Tu abandonné ?... Je serais pendu dans quelques heures. Je sais que si Tu as permis à ce jeuen garçon de me découvrir, Tu as décidé de mon sort. J'attends donc de Te rejoindre, mais je n'ai pas peur. J'ai appris qu'une femme d'Avignon avait attrapé le grand mal. J'aurais au moins permis à Ta punition de les atteindre. Je sais que Tu m'aime pour cela et que Tu m'accepteras en Tes cieux.
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