Anthony Hazen

Sujet: Anthony Hazen Mar 5 Jan 2010 - 20:18

Rape Me ~ Nirvana

► État Civil

• Nom & Prénom :
Hazen Anthony
• Surnoms :
An'
La Victime, le fantôme...

• Age :
16 ans
• Date de Naissance :
30 décembre
• Lieu de Naissance :
Londres
• Nationalité :
Anglais

• Sexe :
M
• Orientation Sexuelle :
Quand t'as eu que des expériences traumatisantes, tu te poses pas de questions là-dessus, tu subis.

► Casier Judiciaire

• Nombre d'arrestations :
2
• Délits commis :
- Le meurtre d'un client de sa mère (à 5 ans)
- Le meurtre d'un de « ses » clients (à 15 ans) (cas de légitime défense, mais ça, on l'a pas pris en compte)
- Coups et blessures graves sur sa demi-sœur (idem que pour le meurtre de « son » client)

► L'institut Teenagers

• Présent depuis :
Novembre 2009

• Chambre ou Dortoir :
Dortoir, il n'y dort jamais de toute façon, ou alors pendant la journée, enfoui sous une couverture, d'un sommeil trop troublé.

• Intégré à cause :
Choix judiciaire. Curieusement, ce choix a été fait pour le protéger.

► Physique

• Taille :
Anthony est tout ce qu'il y a de plus gringalet, alors qu'il a pourtant passé la majeure partie de sa vie à dormir. C'est sans doute parce que c'est pendant le sommeil lourd qu'on produit les hormones de croissance qu'il a si peu grandi : son sommeil était rarement lourd. Il ne doit pas dépasser le mètre 67, et encore, il l'atteint tout juste. Il semble encore plus petit, car il a toujours la tête légèrement courbée en avant, en un geste de soumission.
• Poids :
Ayant souffert de malnutrition et de sous-nutrition pendant 10 ans de sa vie, Anthony n'arrive pas à s'habituer à manger plus. Il se tient donc à deux repas par jour, et des repas légers, de légumes et de fruits, parfois avec un peu de viande crue. En conséquence, il ne pèse pas lourd du tout, et semble prêt à s'envoler au moindre coup de vent, fait accentué par la légèreté de ses os, et le fait que ses os soient visiblement saillants.
• Ses cheveux :
Les cheveux d'Anthony lui tombent sur les épaules, en mèches mal coupées. Ils sont très fins, étrangement soyeux. On pourrait les comparer à des toiles d'araignée. Ils ont une couleur blanchâtre, argentée. Il était blond à la naissance, mais après 10 ans de vie dans une chambre sans fenêtre, éclairée que deux ou trois heures par jour, et encore, par des lumières tamisée, ils ont perdu leur couleur originale, jusqu'à se décolorer totalement. Quand ils lui tombaient trop dans le visage, sa demi-sœur entrait et lui ôtait les mèches avec ses ciseaux en argent, sans prêter garde à sa peau. Elle faillit un jour lui crever un œil.
• Ses yeux :
Anthony dut avoir des yeux bleus dans son enfance innocente et joyeuse. Aujourd'hui ils sont délavés, par les larmes et la longue obscurité qu'il dut subir durant ces années infernales. Il est perturbant de regarder dans ses yeux aux iris grisâtres, et à la pupille trop claire et presque invisible. Quand toute ta vie tu as vécu dans l'obscurité, la pupille s'y habitue et toute luminosité légèrement plus forte fait rétracter presque entièrement le centre sombre de l'oeil. Cette hyper-sensibilité de ses yeux en fait un être essentiellement noctambule et d'intérieur. Il est rare de le voir dehors, rare de le voir debout de jour, et impossible de le voir dehors de jour, notamment aussi à cause la sensibilité de sa peau au soleil, comme ses yeux.
• Autres :
Si la peau d'An' est extrêmement pâle, s'y découpent d'autant mieux de nombreuses cicatrices grisâtres, rosâtres ou même encore rouges. Son dos subit le fouet durant ses années de souffrance et les marques en sont encore présentes. Les menottes qui lui enserraient parfois les poignets ont laissé de profondes marques dans ses poignets. Une grande cicatrice se détache du milieu de sa poitrine à son téton gauche, cicatrice récente, qui date du jour de son arrestation. D'autres, plus anciennes et moins visibles, lézardent son torse.

► Caractère

• Qualités :
Anthony n'a aucun sens du bien et du mal. Pour lui n'existe que la loi du plus fort, et lui, c'est le plus faible. On peut donc considérer dans ses qualités qu'il ne cherchera jamais à dominer quelqu'un, il sera toujours très humble, voire soumis. Peut-on dire que son caractère laconique est aussi une qualité ? Il est très sensible, mais aussi souvent impossible. Ses pleurs sont toujours silencieux, et ses larmes coulent presque sans qu'il s'en rende compte. Il n'est pas méchant, vulgaire ni désagréable. En revanche, on ne peut pas dire qu'il soit gentil, poli ou aimable. Il n'est rien, tout simplement. Il est là, il regarde, perdu dans son monde. Il ne juge pas, il ne colporte pas, il ne critique pas, il ne complimente pas, il ne se moque pas. Faites comme s'il n'était pas là, ou jouez-vous de lui, ou donnez-lui de la violence, c'est tout ce qu'il connaît.
• Défauts :
Anthony n'a aucun sens du bien et du mal. Ah, je l'ai déjà dit ? C'est que je ne sais pas si ça peut compter comme qualité ou comme défaut. Il est totalement amoral. Il peut tout à fait faire quelque chose de mal sans savoir que ça l'est. Ce n'est pas sa faute. Il n'est pas méchant, son but n'est pas de faire le mal. Il veut juste comprendre. Alors souvent il ne dit rien, ne fait rien. Il n'a aucun but dans sa vie, mais peut-on dire que c'est un défaut ?
• Centres d'intérêts :
Franchement, je ne sais pas comment je pourrais faire dix phrases sur des centres d'intérêt de cet adolescent, puisqu'il n'a jamais rien connu d'autre qu'une chambre sans fenêtre et la souffrance. Il ne sait pas ce qu'il aime. Il n'est pas maso, mais il endure la souffrance. On pourrait presque dire qu'il est stoïcien, qu'il veut que les choses arrivent comme elles arrivent, mais ça serait supposer qu'il veut quelque chose. Veut-il quelque chose ? Dur à savoir. Enfin, si c'est acceptable comme centre d'intérêt, Anthony aime marcher, longtemps, pendant la nuit. Le jour, il préfère rester confiné dans des chambres obscures : la lumière du soleil le blesse. Il est aussi un fervent observateur : il est très intrigué par la vie, lui qui n'en a jamais eue. Laissez-le vous regarder, ou blessez-le.

Affinités Particulières

Cauchemar, Phobie :
Le sang (il s'évanouit à sa vue – sauf quand c'est le sien, il s'y est hélas habitué), le feu et les tisonniers, le noir, les nuits d'orage, les éclairs (et tout éclairage alternatif, comme les flashes des appareils photos, les éclairages de discothèques, une ampoule avec faux-contact...), les gens qui font des grands gestes et beaucoup de bruit, dormir seul (dans ces cas-là il rêve systématiquement de son enfance au début et ne finit jamais sa nuit).
• Aime/n'Aime pas :
Anthony aime regarder les autres. Il aime la lune, la nuit, le silence, marcher sans but. Enfin, ce n'est pas qu'il aime ça, c'est que c'est ce qu'il fait en général, ce qu'il contemple pendant des heures comme ça.
Anthony n'aime pas se souvenir, le soleil, qui lui fait mal aux yeux et lui brûle la peau. Il n'aime pas les voix féminines agressives qui le font penser à sa demi-sœur, il n'aime pas voir les gens sourire gentiment, ça le fait penser à sa mère. Il n'aime pas le bruit et la foule, qu'il évite toujours.

• Goûts Musicaux :
Anthony n'a jamais entendu de musique que quand les clients que lui imposait sa demi-sœur étaient des mélomanes et voulaient de la musique pendant leur besogne. Vous accepterez le fait que ce n'est pas forcément un bon souvenir. Ainsi, il n'écoute jamais de musique de lui-même, sans pour autant la haïr.
• Goûts Culinaires :
Anthony recevait en général un repas par jour, deux les jours fastes, et ces repas consistaient souvent en un bol de bouillon, une assiette de riz ou des légumes crus. Ce n'étaient jamais des aliments pourris, parce que payer le médecin c'était encore plus cher que des aliments frais. Aujourd'hui, il se contente de fruits et de légumes, parfois de quelques féculents, et d'un petit morceau de viande crue.
• Goûts Vestimentaires :
Les vêtements d'Anthony sont blanchâtres ou grisâtres, souvent des chemises qu'il ne ferme pas et des jeans tellement délavés qu'ils en sont blancs. Il porte rarement, voire jamais, de chaussures, n'appréciant pas avoir les pieds enserrés dans ces fourreaux inconfortables. De toute façon, il déteste sortir.

► Histoire

« Sleep now darling, sleep »
Maman m'embrasse sur le front et sort de ma chambre, en laissant la porte entrebaîllée, parce que j'ai peur du noir. Ensuite elle va dans sa chambre et elle se change. Je le sais parce que je la vois passer tous les soirs devant ma porte et je la vois par la fente qu'elle laisse. Je sais qu'elle retire sa jolie robe à fleurs toute douce dans laquelle j'adore me blottir, et qu'à la place elle met un truc qui lui serre la taille en faisant ressortir sa poitrine et par-dessus une petite nuisette en soie rose lavé. Cette nuisette aussi est toute douce mais je ne l'aime pas, parce qu'elle ne sent pas Maman, elle sent l'étranger. On sonne. Maman sort de sa chambre et passe devant la mienne. Ah, elle a mis un peignoir. C'est vrai, on est en hiver, il fait froid. Moi je n'ai pas froid, au fond de mon lit, recouvert de ma couette bien chaude. Un homme rentre, je sens l'air humide rentrer dans l'appartement. C'est l'air humide du port, et c'est l'air humide de la pluie. Il pleut toujours ici, été comme hiver. Maman parle avec une voix douce, caressante. Mais moi, je sais que ce n'est pas sa vraie voix, je sais que c'est une voix hypocrite. Maman a une voix beaucoup plus jolie quand elle me parle à moi. Je l'entends accrocher le manteau du marin-enpermission – c'est Maman qui m'a dit que les hommes qui venaient étaient des marin-enpermission. J'aimerais bien savoir ce que c'est exactement, mais je n'ose pas demander à Maman. Ils passent tous les deux devant ma chambre et vont dans la chambre de Maman. Et là, j'espère que je vais m'endormir vite, parce que je n'aime pas les gémissements que fera Maman bientôt, ni comment l'homme respirera bruyamment, comme un porc, dans peu de temps. Je ferme les yeux, je me recroqueville et j'attends le sommeil. Mais le sommeil ne vient pas. Alors j'écoute le battement de la pluie contre la petite fenêtre. Tout à coup j'entends un coup de tonnerre. Mes yeux s'ouvrent brusquement et je me raidis. Non, pas un orage! Pas ce soir! Ce soir Maman est occupée, elle ne peut pas venir me consoler... Un éclair illumine ma chambre. Je hurle. Je hurle. J'entends du bruit dans la chambre d'à côté. Maman arrive, je ne peux m'empêcher de remarquer qu'elle n'a plus ni peignoir ni nuisette, et qu'elle a les seins à l'air, malgré l'obscurité de la chambre.
« Darling, are you okay darling ? »
Elle me prend dans ses bras, elle me berce en murmurant une petite berceuse. L'homme arrive. Il est grand, il sent la sueur, il est torse nu, il est musclé. Je frissonne. Il me fait peur. Je gémis.
« Miss it's wonderful that you have such a cute little son, but I payed my night. »
Il attrape le bras de Maman et la tire. Je me cramponne à elle. Il me repousse brusquement. Maman s'interpose. Il l'attrape par les cheveux et veut la tirer vers sa chambre. Un nouvel éclair illumine la chambre de sa lumière blanche, et je vois soudainement le tisonnier près de la cheminée. Si l'homme fait mal à Maman, je ferai mal à l'homme! Je saute et me saisis du tisonnier et je frappe l'homme de toutes mes forces d'enfant. Je frappe et frappe encore. Un nouvel éclair illumine la scène. Maman, terrifiée s'appuie contre le mur, une main devant sa bouche. Le blanc de ses yeux est violemment éclairé par la lumière de l'orage. Un liquide chaud et poisseux me trempe les mains et l'homme ne bouge plus, mais je frappe toujours. Je frappe. Je frappe. Je frappe. Maman hurle.

Il se réveille brusquement, en sueur. Il passe une main sur son front trempé en soupirant lourdement. Il le savait déjà de toute façon, il en rêve toujours. Il prend quelques longues inspirations. Puis il referme les yeux, sachant qu'il dormira mal.

« Poor thing... He's only 5, how could we explain ? »
Et comment leur dire à eux, à ces gens qui m'ont mis dans cette chambre fermée à clé avec des barreaux aux fenêtres, entre lesquels je passerais sans difficulté si je le voulais, tant je suis mince, comment leur dire que j'ai beau m'enfermer dans un mutisme post-traumatique, je n'en suis pas devenu sourd. Je suis assis sur la couchette, les jambes balançant dans l'air, mon regard fixé dans le vide. Je les entends qui déverrouillent la porte de ma chambre. Ils entrent. L'un est grand, en costume-cravate gris et l'autre est un policier, petit et enveloppé. Son regard suinte l'hypocrisie. Je ne l'aime pas.
« Anthony, am I right? »
Je ne regarde même pas l'homme en gris, qui vient de me parler d'une voix douce et désolée.
« Antony, your mum's dead. »
Je le savais de toutes façons. Quelque chose s'est brisé en moi il y a peu, et je savais au fond que c'était parce que Maman n'était plus.
« She commited suicide by biting her tongue. » précise alors le policier, prenant un plaisir évident à ma douleur.
Tout à coup, mû par une rage terrible, je me jette de la couchette et je frappe les jambes du policier de mes petits poings. Je frappe, je frappe. Maman s'est tuée à cause de moi. À cause de l'homme aussi. Maman est morte. Elle est morte par ma faute. J'ai tué deux personnes. J'ai tué l'homme pour protéger Maman, et j'ai tué Maman. J'ai tué Maman.

Il se réveille de nouveau, des larmes dans ses yeux. Il jette un coup d'oeil au dortoir vide. Normal, en pleine journée, rares sont les personnes qui dorment. Son regard glisse sans s'arrêter sur la photo de sa mère : il la connaît par coeur cette photo, et dans cette lumière presque trop vive pour lui, malgré les rideaux qu'il a soigneusement fermés, il ne distingue pas les traits de la jeune femme. Il se dirige vers le lavabo présent dans la salle de bain annexe et regarde l'heure. Il est 16 heures passées. Qu'est-ce qu'il s'en fiche en fait. Il se regarde dans le miroir. Ses cheveux lui tombent sur les épaules, mal brossés. Jusque là, rien de surprenant. Mais ils sont blancs, blancs comme neige. Sa peau est pâle elle aussi, comme de la porcelaine. Et ses yeux qui jadis étaient d'un beau bleu céleste, comme ceux de sa mère, se sont délavés jusqu'à devenir d'un gris si clair qu'on les penserait blancs. Une larme transparente perle et coule le long de la joue exsangue. Il se souvient, il se souvient du pourquoi de sa pâleur, il se souvient de sa misérable vie. Il se souvient...

Il se souvient de ces journées... D'aussi loin qu'il se souvienne, il a toujours été dans cette chambre. Avant, il n'y avait que cette fatale nuit, cette fatale journée. Et avant, rien. Tout ce qui a pu être heureux dans sa vie a disparu. Il s'en fiche, au point où il en est...

Il ne se souvient plus quand ça a commencé, par contre. Il sait qu'il était dans cette chambre de puis longtemps, tous les jours elle lui apportait un repas, parfois même deux dans la même journée. Accompagnés de quelques mots acerbes, agressifs, accusateurs, méchants. Il prenait l'assiette, et regardait ses larmes saler les plats insipides. Parfois, elle le frappait. Il y avait plus de larmes dans l'assiette. Et puis il avait arrêté de penser aux larmes, il avait arrêté de s'en rendre compte. Il restait assis sur son lit, un grand lit étrangement confortable dans cette chambre sans fenêtre, dans cette chambre toute noire et sans lumière. Il restait silencieux et désespéré sur le grand lit. Allongé, fouillant le noir de ses yeux aveuglés par l'obscurité, il attendait, patiemment.

Et puis un jour, elle avait ouvert la porte. Sa voix n'était pas comme d'habitude, elle était mielleuse. Il avait failli ne pas la reconnaître. Elle s'adressait à quelqu'un d'autre, qui se tenait à présent dans l'embrasure de la porte. Ébloui par la lumière du couloir, il ne put discerner le visage de l'inconnu. Une lumière tamisée éclaira la chambre, et le garçon se couvrit les yeux, habitué à l'obscurité la plus totale depuis trop longtemps. C'est aveuglé qu'il fut violé pour la première fois par un homme sans visage.

Il pleura de nouveau beaucoup. Il souffrit beaucoup. Tous les jours. Bientôt, elle eut l'idée de le vendre encore plus cher, en l transformant d'enfant gigolo, en enfant jouet. La chambre fut bientôt peuplée par toutes sortes d'instruments de torture, un fouet, des rasoirs, des menottes. Oui, les menottes furent le plus souvent utilisées, mordant sa chair tendre jusqu'au sang. Obéissant, il pleurait, criait, se débattait. Parfois, il tombait dans une sorte d'inconscience, d'immobilité silencieuse où il pourrait tout souffrir. Mais il avait compris que les tortionnaires préféraient ceux qui se débattent.

Après, elle venait, pansait sans gentillesse les blessures les plus dangereuses pour sa survie et le laissait là, dans l'obscurité, à souffrir en silence.

Il se souvient aussi de ce jour funeste, de ce jour où son tortionnaire avait jugé bon de le blesser sans le menotter. Un souffle de révolte s'était emparé de l'adolescent, il avait saisi le rasoir qui trainait là, qui venait de servir à faire une incision dans sa chair blanche, du milieu de sa poitrine à son téton gauche. Il avait saisi le rasoir et avait frappé, frappé, frappé encore l'homme.

Elle était arrivée, il s'était jeté sur elle, avait frappé aussi. Mais la lumière trop forte l'aveugla trop, et il s'évanouit.

Il se souvient de la conversation qu'il avait entendue. Un semblant de rictus étira ses lèvres pâles Ils avaient dit qu'il était un « cas social ». Qu'il n'était pas fou, donc que l'asile n'était pas une bonne solution. Que la prison ne lui apprendrait rien. Il avit donc atterri ici, quelque soit l'ici en question. De toute façon, tout lui était égal.

► Joueur/Joueuse

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• Comment avez vous découvert le forum : Double compte ~
• Commentaire : Toujours aussi génial ^_^