► État Civil

• Nom & Prénom : Cross Devan
• Surnom : Aucun (Dev peut-être)

• Age : 19 ans
• Date de Naissance : 19 juin 1990
• Lieu de Naissance : Medford, Wyoming
• Nationalité : Américaine

• Sexe : Masculin
• Orientation Sexuelle : Hétérosexuel

► Casier Judiciaire

• Nombre d'arrestations : 1
• Délits commis : Meurtre d’un homme et celui de son propre père

► L'institut Teenagers

• Présent depuis : Quelques jours à peine

• Chambre ou Dortoir : Dortoir, la solitude le rendant assez dangereux

• Intégré à cause : Double meurtre, dont celui de son père (patricide)

► Physique

• Taille : Il mesure 1m87. Devan est assez robuste suite aux nombreux obstacles qu’il a du franchir pour parvenir jusque ici. Il apprécie sa taille dans le sens où il se trouve lui-même ni trop petit, ni trop grand. En Afrique, la plupart des hommes noirs étaient plus grands que lui, il a été assez étonné de voir qu’aux USA il dominait, en taille, une bonne partie des gens.
• Poids : Il pèse pratiquement 85kg. Il est plutôt musclé et athlétique. Pendant qu’il était soldat, il pesait environ trente kilos de moins, la ration militaire étant assez peu équilibré et nourrissante. A présent il mange à volonté et n’hésite pas à en redemander pour satisfaire pleinement sa faim.
• Ses cheveux : Ayant toujours eu une préférence pour les longs cheveux, alors que son statut d’enfant soldat ne le permettait pas, il a maintenant laissé pousser ces cheveux. Ils sont généralement en bataille et il ne fait aucune coupe particulière ou "à la mode". A noter que ces cheveux sont bruns très foncés, pratiquement noirs même.
• Ses yeux : Ils tirent vers le gris et reflètent parfaitement son ancienne vie. Et ses anciennes souffrances. Ces yeux lui donnent aussi un coté particulièrement adulte et sérieux. Il observe énormément et a une vue d'aigle.
• Autres : Il a une balafre sur la gauche du visage, qui part du dessous de son oreille et descend jusque son épaule, il la cache avec ces cheveux. Son corps est recouvert de cicatrices en tout genre, traces de son passé, elles sont présentes pour sa vie entière.

► Caractère

• Qualités : Son passé de soldat n’est pas passé sans trace et il possède une bonne intuition et un bon esprit d’analyse. Il répugne toutes sortes de tortures physique ou mentale et se préfère à tenter de faire le bien autour de lui et ainsi, en quelque sorte, faire de sa vie actuelle une rédemption de celle qu’il a eu durant son enfance. Il se fie beaucoup à son instinct et ainsi, a beaucoup de réflexes. Il est en revanche très gentil quand le calme règne. Devan parle très bien l'anglais malgré qu'il n'a suivi aucun enseignement digne de ce nom durant ses années de captif et de soldat, il possède quelques rudiments de dialectes africains, juste assez pour se débrouiller en cas de besoin.
• Défauts : Il se sent rapidement agressé et est a donc, irréfutablement, une certaine impulsivité et des réactions violentes si il se sent visé. Il suit son instinct un peu trop rapidement, et dans ce cas-ci, cela se révèle être un défaut. Il n’est pas à l’aise quand trop de gens lui parle, il aime la compagnie mais il peut se renfermer si trop de personne s’adresse à lui en même temps. Il a une humeur très changeante, c'est à dire qu'une heure, il va être très sympathique et amical, puis l'heure d'après, il peut se révéler être quelqu'un de très sec et direct dans ses propos. Il change difficilement d'avis, c'est donc pour ainsi dire, une tête de mule !
• Centres d'intérêts : Durant ses années de soldat, la seule chose qui le rattachait au monde était les lettres, sous toutes leurs formes. Il affectionne donc la lecture, de toutes sortes de romans et nouvelles, parlant de sujet extrêmement divers, il peut lire un livre traitant de vampires puis subitement se mettre à lire un roman à l’eau-de-rose. Il aime s’informer, il aime lire les nouvelles du monde entier, en particulier en lisant le journal. Néanmoins, depuis qu’il est libre il eu diverses occasions de regarder la télé pour les mêmes informations. Tout en parlant de télé, il apprécie assez les films, mais à petite dose. Il aime écrire et durant sa sombre enfance, il a fait de nombreux essais de toutes sortes, en particuliers des écrits sur les tortures, domaine auquel il s’est frotté de très près après tout. Il aime aussi parler de musique avec les autres adolescent et discuter du pourquoi ceux-ci écoutent tels ou tels styles en particulier. Il apprécie fortement les forêts et les montagnes, il aime le calme qui y règne et cette sérénité....
Il a un penchant pour les films qui amènent à réfléchir sur la vie, ainsi que d'autres aspects. Son film préféré est d'ailleurs sans conteste "La Ligne Verte", qu'il a pu visionner en DVD il y a un an environ, bien au chaud dans son studio favoris. Ses années de solitude en Californie lui ont amené à apprécier la technologie, ainsi il aime les ordinateurs, les Ipod aussi .... qu'il entreprend d'écouter lorsque il se sent trop seul, mal aimé et que son âme le torture de trop. Un jour, et d'ailleurs ce fut le seul points positif de son épopée en Afrique, un vieux villageois appelé le doyen, avait voulut lui montrer quelques constellations une nuit de ciel clair... il a apprécié cette expérience et encore aujourd'hui il aime tout ce qui touche, de près ou de loin, à l'astronomie.

Affinités Particulières

• Aime/n'Aime pas :

Ce qu'il aime? Les gens qui réfléchissent.... les livres, écrire. Il aime aussi être en bonne compagnie (voire en charmante compagnie), à noter qu'il ne faut pas non plus une foule autour de lui, sinon il pourrait être mal à l'aise. Il aime le froid et la neige par la même occasion, il déteste le climat moite et humide des tropiques, cela lui rappelle sa vie de soldat et donc que de mauvais souvenir. Il déteste les menteurs, les "machos", les gens trop sûrs d'eux, les manipulateurs. Il déteste aussi toutes formes de tortures (voir son histoire...). Il rêve d'un voyage en Norvège, pour le froid tout d'abord, mais aussi parce que beaucoup de ses groupes favoris viennent de là-bas; mais aussi une dernière raison: vivre l'opposé de son expérience dans un pays chaud...

Centre d’intérêt :


• Goûts Musicaux : L’accès à la musique lui a été fermé pendant de nombreuses années et les seuls sons qu’il entendait provenaient des champs de batailles, ou au mieux, les chansons tribales de ses geôliers africains. En revenant sur ses terres natales, il se mit à écouter du métal, seul remède à ses souffrances, il trouvait un moyen de s’exprimer, ou plutôt d’exprimer la douleur de son corps, au travers des instruments électriques, des mélodies ou du bruit en général de cette musique. Il hais le rap, le R'n B, et bien sur les musiques traditionnelles africaine.
• Goûts Culinaires : Dès son enfance, Devan est ouvert à toutes sortes de nourriture, en particulier ce qui est cuisiné par sa mère, mais par la suite, comme son père était un homme devant souvent voyager, celui-ci apporta divers mets, entre autre du Mexique. Devan prit alors gout de tout ce qui est piquant et fort, et en particulier à la cuisine mexicaine. Il adora les pizzas, en particulier quand elles sont piquantes; des pizzas comme la "vulcano" ou une "orientale" font parfaitement l'affaire.
• Goûts Vestimentaires : Il a une certaine préférence pour les habits larges, dans lesquels il se sent bien. Il est toujours très couvert partout, bras, jambes, et même cou pour éviter le regard des autres sur ses nombreuses cicatrices et éviter revivre ses tortures. Il a gardé l'habitude des mitaines, qu'il portait toujours durant les batailles en Afrique et qui l'ont aussi accompagnées durant ses dix longues années d'errance sans repères à travers l'Afrique et le nouveau monde. Ses vêtements sont de préférences de couleurs sombres, tels que le noir, le vert foncé, le bleu foncé, le bordeaux, le bleu marine ...

►Histoire

La vie quand on est enfant devrait être généralement simple et sans encombre, mais ce n’est pas toujours le cas pour tout le monde. Devan est né et a grandi paisiblement jusqu'à l’âge de ses neuf ans, ou pour être plus précis : jusqu’au 2 juillet 1999.

Né dans le Wyoming, dans une famille composée d’une mère médecin et d’un père patron d’une grande entreprise de fabrication d’arme, Devan avait tout ce qu’il désirait et était très bien entouré et « chouchouté » par ses parents. De ses trois ans à ses sept ans, il n’eut aucun problème scolaire, ses parents y veillaient ; il n’avait aucun problème avec les autres élèves, il y veillait lui-même et s’entendait relativement bien avec les élèves de l’école. Il n’avait en revanche aucun but, ni aucun hobby, il restait des heures assis sans rien à faire, ou au mieux : à zapper les chaines télés. Sa seule occupation était d’accompagner ses parents partout où ils allaient, aller à l’école quand celle-ci était ouverte et manger ce que lui préparait sa mère. Vers l’âge de sept ans, il prit gout aux livres, que son père lui avait montré, il faisait maintenant passer toutes ces anciennes activités au second plan afin de se plonger dans les nombreux livres de son père.
Sa curiosité et sa soif de savoir l’amenèrent à découvrir, un jour, ce 2 juillet de l’année 1999, ce qu’il n’aurait jamais du ; en effet il prit connaissance d’un petit papier rouge à l’écriture bleue dans un livre de contes pour enfants. Ce papier n’était pas un conte, ni une anecdote, c’était un accord. Un accord de quoi ? Devan l’ignorait et il était trop jeune pour comprendre l’étendue de ce qu’il avait trouvé ; comme tout bon enfant qui fait des découvertes qu’il ne comprend pas, il demande conseil, en l’occurrence pour Devan, il s’agissait de sa mère. Il se souvient encore du teint livide de sa mère et la façon dont elle avait formé un « O » avec ses lèvres, elle était certes étonnée, mais aussi en colère et frustrée.

-Qu’est-ce que c’est Maman ?

Le cœur de la jeune mère battait à une vitesse folle et elle n’avait même pas entendu la question. Devan se répéta, mais sa mère le gifla violement, c’était la première fois qu’elle faisait ça et de plus il ne voyait aucune raison apparente… Néanmoins, il se fit tout petit et veilla à passer inaperçu toute la journée. Le soir même il entendait son père et sa mère se disputer violemment dans la cuisine. Son esprit d’enfant compris alors, le papier concernait papa et probablement pas en bien. Il n’en pouvait plus et sortit en trombe de la maison, malgré la pluie torrentielle. Il marchait dans la rue, en quête de calme, en quête de réponse peut être.
Il fit une halte à la librairie et acheta un tout nouveau livre, expliquant la polémique des enfants-soldats. Il s’assit sur le devant de la boutique et entreprit de le dévorer de sa première page et sa préface, jusqu'à en finir avec les cent nonante neuvième pages et ses remerciements. Environ Cinq heures s’étaient écoulées pendant cette lecture et Devan en avait oublié ses parents, qui de un se disputaient et de deux devaient se demander où leur fils était passé.

Il espérait trouver ses parents enlacés et juste inquiété de lui, mais la réalité était tout autre… la porte de la demeure était ouverte et fracassé. Et alors qu’il courait vers le couloir bien visible, il entendit un hurlement féminin, qui n’était qu’autre que celui de sa propre mère. Le cri fut suivi d’un bruit sec, le bruit d’une arme qu’on amorçait, puis qu’on utilisait. Il resta figé devant l’horreur de l’événement, sa mère venait d’être projetée, morte devant lui en le fixant de ses yeux désormais vides. Un homme suivit, marchant d’un pas rapide : son propre père. Cet homme habillé de gris et le visage maculé de sang, portant l’instrument de mort dans ses bras, qui n’était rien d’autre qu’un canon scié, était SON père ?? Devan ne put pas contenir ses émotions et se mit à hurler comme un homme torturé….ce qu’il allait devenir par après sans le savoir. Le père meurtrier fut surpris de sa présence, mais ne fut en aucun cas ému, Devan s’apprêtait à se faire lui aussi projeter par le canon, mais il fut plutôt …frappé par ce canon. Il perdit connaissance quelques secondes après, avec sa mère assassinée comme seule vision.
Ce qu’il avait vu là, n’était qu’un avant gout des six prochaines années de sa vie.


Il reprit connaissance (on ne sait pas combiens de jours après), il était dans une cabine de bois. Il pouvait sentir… l’air, celui-ci n’était pas celui de sa maison, ni celui de Medford, ni celui de l’Oregon, ni même le Wyoming entier ! Ni même les U.S.A !!
Il était loin, l’air était exotique, très loin, cet air était humide et tropical. L’Asie ? L’Afrique ? La réponse ne se fit pas attendre avec l’entrée d’un homme torse nu, ou plutôt un homme noir torse nu.
-Enfin réveillé petite canaille ? Il était temps, le chef a hâte de tester ses méthodes sur un jeune plutôt qu’un vieux tremblant.
Devan lui fit un regard en point d’interrogation, il voulut demandé « Mais de quoi parlez-vous monsieur ? » jusqu'à ce qu’il réalisa qu’il était bâillonné. Un autre homme entra, un noir au visage maigre, aux yeux sombres, qui reflétait la parfaite noirceur de son âme. Devan et le « chef » se fixaient jusqu'à ce que le noir empoigne une lanière de cuir sur la table et fouetta l’air avec celle-ci. Devan fit un bond sur sa chaise, ses yeux devinrent luisants, qu’allait-il faire ? L’homme s’approcha et lui envoya le côté clouté de la lanière en pleine figure, Devan sentait les larmes couler de ses yeux, tout autant que le sang se mettait lui aussi à couler. Ce jour devint un quotidien, chaque jour il se faisait fouetter de la sorte : visage, corps, pied, jambe et même ses parties intimes (il se demande même parfois comment il a su les garder en place). Ce noir, il ne l’oublierait jamais, cet homme était un monstre, un démon et prenait un plaisir sadique à varier les méthodes de tortures.

Six années de torture, où le jour se résumait à : un peu de bouillon, la lanière, un peu de bouillon, la lanière…. Au bout de toutes ces années, son âme d’enfant avait disparu et il était devenu un homme à l’air menaçant, un homme à l’air de chien sauvage qui veut mordre, mais qui a la gueule liée.
Son existence entière aurait pu être ça, aurait pu être cette vie (si on peut en appeler ça une) affreuse tout le long. Le temps lui avait quand même appris quelques petites choses élémentaires, telles que le lieu où il était et qui était ses ravisseurs. Il était littéralement sur une frontière entre deux pays d’Afrique, dont il ignorait les noms, mais il était sûr qu’il était dans une zone où aucun des deux états n’avaient de contrôle et par conséquent, ses ravisseurs étaient soit des rebelles, ou au moins des bandits. Il y a toujours une lumière au bout d’une allée sombre et cela s’applique aussi pour Devan, son opportunité se présenta le 3 juillet 2004, alors qu’il avait 15 ans depuis 15 jours environs. Il entendit un bruit intense provenant de l’extérieur, comme une sorte de grondement. Il entendait aussi les gens parler très fort et rapidement, des gradés hurler des ordres à gauche, à droite. Le démon déboula dans la tente et pointa son doigt vers le garçon :
-Nous sommes attaqués mon grand, tu vas rester bien sage et attendre que papa reviens pour le fouet compris ?
Devan était habitué à acquiescer sans rien dire d’autre, car il préférait recevoir une vingtaine de coups plutôt que cinquante et plus. La réponse provint plutôt de l’extérieur, en effet une sorte de bombe explosa près de la tente et celle-ci se démantela complètement. Le jeune ados tira profit de sa situation et il s’arrachait déjà hors des liens de sa chaise démolie. Il se mit à courir au milieu du camp, il n’avait jamais mis le nez dehors ici, il n’avait même jamais eu l’occasion de jeter un coup d’œil depuis six ans à la nature ou aux autres personnes que son tortionnaire attitré. Tentant d’esquiver par toutes sortes de manœuvres les tirs de gauche et droite, il se frayait un chemin vers un camion couleur sable, qui était situé à l’entrée du bastion. S’il parvenait à s’y glisser, il aurait peut-être une autre chance, une autre vie.

Cela fut plus facile qu’il ne l’aurait pensé mais l’attente fut extrêmement longue et il dut attendre environ deux heures avant le dernier écho d’une arme. Il entendait un grand nombre d’hommes revenir au camion et puisque Devan était à l’arrière de celui-ci, il jugea préférable de se tenir assis sur le bord, sans tenter de se cacher puisque il sera dans tous les cas, découvert sans attendre. Malgré qu’il ait fermé ses yeux pour ne pas voir le visage des autres hommes, il entendit le cliquetis métallique de leurs armes pointées vers lui.
-Qui es-tu ?
Cette voix…. C’était celle d’un enfant ! Il ouvrit les yeux en un éclair et il avait raison, la personne qui venait de lui parler faisait trois têtes de moins que lui et était aussi fin que son M4 qu’il portait avec prestance malgré tout. Les galons sur son bras indiquait un grade assez élevé, c’était donc bien un militaire et pas un civil qui faisait une rébellion pour son champ de céréales. L’enfant devint menaçant et répéta sa question en hurlant. Même si l’idée de se faire engueuler par un gosse ne lui plaisait pas particulièrement, celui-ci était légèrement plus armé.
-Mon nom est Devan et je suis captif ici depuis près de …
-Pas besoin des détails, imbéciles ! Le chef se chargera de ça..
Un homme cette fois, très grand, d’environ deux mètres vint au milieu du groupe, provoquant un salut général. Le noir avait un visage doux et semblait être heureux au milieu de ces enfants armés. Il se tourna vers Devan en souriant et donna une tape sur son épaule.
-Tu as été torturé par ces bandits n’est-ce pas ?
-Euh… oui
Le grand noir lui fit un clin d’œil et sortit un pistolet de sa poche.
-Prends ceci mon enfant et tu pourras te venger d’eux.
Devan fixait tour à tour l’homme et le pistolet. Etait-ce une bonne idée ? Torturer mes tortionnaires ? Tuer ce qui m’aurait tué ? Œil pour œil, dent pour dent, une loi plutôt sauvage ; il saisit le pistolet….. « Mais une loi qui a fait ses preuves ».



Ce pistolet avait changé sa vie et bientôt il fit la découverte de l’enfer de la guerre. On l’avait entraîné seulement pour qu’il sache porter une arme et un barda sans problème et qu’il puisse tirer sans se déboiter l’épaule, puis on l’avait envoyé raser un camp de bandit à l’est du campement.
« Ce sont tes ennemis, tes cibles, tes maux ! » lui avait rappelé le grand noir.
En effet, les hommes de ce campement étaient ceux qui l’avaient torturé, la vengeance avait sonné. Il avait déjà senti l’odeur du sang frais… mais jamais parce que c’était lui qui l’avait fait couler. Ici, le sang brulant qui tapissait la terre était en partie de sa faute, c’était son œuvre à lui aussi, il y avait participé activement à ce massacre. Il prit du grade et apprit à se battre de mieux en mieux, il eu même l’opportunité de torturer le démon, c'est-à-dire celui qui s’était délecté de sa souffrance quand il était captif. Cette fois c’était le noir qui tremblait sur sa chaise, enchaîné par le destin. Devan utilisa exactement la même technique, c'est-à-dire le fouet à lanière de cuir clouté …
-Le revers de la médaille …sal****….
L’ado s’est « amusé » pendant deux heures avant de l’occire d’une balle en pleine tête, mettant une croix sur son passé de torturé pour celui de vainqueur.

Sa vie était à présent rythmée par l’armée et ses écrits, en effet il avait écrit une sorte d’essai concernant ce qu’il avait vécu, donc ses diverses tortures. Il décrit la vie dans des cas comme celui-là. Il était aussi parvenu à voler quelques livres dans les camps ennemis.
Mais il se trompait amèrement, ceux qu’il croyait être ses alliés l’ont aussi torturés. C’était le 28 octobre 2006, lui et son unité avaient perdu la bataille d’un canal à l’ouest du camp et le grand noir, ainsi que ses sbires leur avaient fait regretter…. Ils utilisèrent les mêmes méthodes et les vieilles cicatrices de Devan revinrent à fleur de peau, redevinrent rouges et sanguinolentes comme elles l’avaient été maintes années auparavant… Certes ce n’était qu’une … « correction » mais cela permit à Devan de voir que ses « amis » n’étaient pas meilleurs que ses « ennemis » et qu’être avec l’un ou avec l’autre revenait du pareil au même.



Avec quelques économies qu’il avait réunies en cachette et un plan minutieux, il parvint à saisir un bateau pour retourner au nouveau monde ; il savait qu’il serait considéré comme un lâche et un déserteur, mais de toute façon, il n’avait pas l’intention de revenir ici de si tôt. Voyagent clandestinement, il était forcé de rester cloîtré dans un petit coin au fond de la cale, à ceci près que cela l’avantageait, dans le sens où il n’était ni contrôlé, ni fouillé et pouvait donc garder ses armes auprès de lui. Tous les clandestins furent mis dans de petites barques quelques kilomètres avant le port de New York et ils entreprirent de progresser assez loin de la ville pour arriver en pleine campagne. Devan se sépara rapidement du groupe de clandestin, premièrement car ceux-ci se dirigeait vers un hameau et deuxièmement parce qu’il était le seul blanc de cette troupe. Il préférait pour sa part, remonter vers la ville et immédiatement trouver de quoi se nourrir, avant de prendre l’avion vers Medford. Cette décision venait de fleurir dans sa tête, il avait décidé de retourner chez lui, voir son père… le tuer s’il le faut, comme pour reconquérir un domaine trop longtemps perdu à cause d’un usurpateur.
New York n’était pas sans opportunités et il trouvait rapidement un petit fast-food dans la périphérie. Goutant enfin de retour à la liberté, il s’offrit le luxe de la nourriture pour lui : des frites sauces samouraï ! La dose de sauce bien sûr, histoire de pimenter la journée.
Heureusement pour lui, la monnaie qu’il avait trouvée durant les batailles étaient bien des dollars américains, ce qui lui épargna de trouver un changeur et lui permit immédiatement de prendre le prochain vol pour le Wyoming.
Deux jours plus tard, il arpentait les rues qu’il avait si souvent parcouru dans son enfance, il voyait la librairie de Mc Yowel ; la boulangerie française, la seule de la ville, appartenant à monsieur Dupuis, un homme d’une bonté incroyable. Le seul lieu qui ne lui rappelait aucun bon souvenir était le manoir, la demeure familiale. Ce qu’il avait vu le soir du 2 juillet de l’année 1999, cette date fatidique, était toujours gravé en lui. La porte n’avait pas changé, ni la façade, ni les fenêtres. Tout était comme il y a huit ans… à l’exception de l’arme à feu qu’il portait dans ses bras et ses habits de soldat déchirés. Toquer ? Non. Sonner ? Non. Fracasser la porte ? Oui. Une folie meurtrière semblait animer ses yeux rouges de colère et de rage, mais aussi de tristesse et de souvenir, tandis qu’il défonçait la porte d’un coup de ses rangers, il chargea son arme et baisse le cran de sécurité : tout était prêt. Son entrée ne s’étant pas fait sans bruit, un homme en débardeur accourait arme au poing, Devan ne le dévisagea même pas et tira une rafale, mettant fin à la vie de l’infortuné. Il jeta un rapide coup d’œil au sol, cet homme n’était pas son père, peut-être un de ses hommes de mains… peu importe, ils payeront tous.
Le reste du rez-de-chaussée était désert et Devan entreprît donc de fouiller l’étage supérieur. Il passa toutes les pièces au peigne fin, il devait trouver son père … Il fouillait chaque étage jusqu'à à arriver au grenier : son père ne pouvant être que là. L’ado prit un plaisir sadique à parler dans l’escalier :
-Petit Papa, ton fils chéri revient te faire un câlin … ainsi que de la part de maman… vient voir.

Un homme barbu qui était en train de fouiller quelques caisses sursauta et se jeta à terre. Devan le reconnut, c’était son père et l’adolescent se mit à rire.
-Eh bien, cette fois c’est l’inverse petit papa ! C’est moi l’homme armé qui a tué quelqu’un quelques minutes plus tôt !
Petit papa chéri fixait intensément son propre fils, qu’il reconnût difficilement après toutes ses années.
-Mon fils…
-Pas le temps pour les retrouvailles ! Ce sera tes retrouvailles avec Maman dès maintenant !!
Il amorça son AK et entreprit de vider le chargeur complet, de toute façon, cela ne suffirait pas pour purger la haine qu’il avait envers lui. Il baissa son arme bouillante pour contempler le spectacle : un bain de sang et un homme méconnaissable.


-Tu m’as laissé une chance, une carte en main…. Qui t’as été fatale. Les jeux sont faits et j’ai gagné.
Devan avait écouté son cœur, son désir de vengeance et par là même il avait choisi de ne pas connaitre les autres méfaits de son père de sa propre bouche. Certaines questions subsistaient depuis son retour dans l’ouest …. Entre autre pourquoi son père l’avait épargné ?...... Journal intime ! Il fallait qu’il trouve le journal de son père, « J’ai consigné toute ma vie depuis ma dixième année d’existence » avait-il confié à Devan. Si son père avait continué à le remplir, il trouverait peut-être des réponses à ses interrogations ; puisque jusqu'à preuve du contraire un cadavre n’avait jamais dévoilé quoi que ce soit aux vivants, du moins pas directement.

Il redescendit et prit le livre qui était posé sur la petite table du couloir, c’était lui, c’était ce livre dans lequel il avait trouvé le petit papier des années plus tôt. Il rouvrit le livre à la page 48, comme il y a huit ans, et recommença la lecture du script qu’il avait début tant d’année plus tôt. Tout était plus clair maintenant, ce papier faisait état de son lien et son trafic d’armes avec l’Afrique du Sud, ceci expliquait pourquoi il était arrivé là-bas … Mais le pourquoi de sa... « Grâce » n’était pas dans ce gribouillis. Il entreprit de vider le bureau de son père, tiroirs après tiroir, étagères après étagères ; il vit de vieux livres qu’il avait déjà lus en étant enfant, des anciens contes, des histoires que…. Non son père ne lui a jamais raconté d’histoire, ce n’était qu’un menteur, un lâche et un conspirateur ! Il n’avait jamais eu de père en fait, juste un géniteur et un meurtrier comme faible substitut …
Livre sur la guerre, bouquin sur les enfants-soldats, recueil de poésie d’un torturé. Toutes ces œuvres, Devan les avaient lu en entier, sans savoir qu’il avait eu sa propre histoire sous les yeux durant sa tendre enfance. C’était choquant certes, mais bizarre aussi. « Au moins j’ai vérifié ce qu’il était marqué à l’intérieur des livres… » Pensais-t-il. Le voilà, il était là, dans le tiroir bleu en dessous du bureau. Un livre couleur cuir avec quelques dorures au coins et même le nom de son père, brodé sur la tranche d’un fil jaune. « David Cross », Devan avait envie de tisser une suite qu’il intitulerait « mort le 08 décembre 2006, tué par son propre fils ». Mais il n’avait pas le temps ni l’envie de le faire, il entreprit de feuilleter lentement l’ouvrage, qui débutait bien le jour de ses dix ans, comme son père l’avait dis et qui s’achevait à la date…. D’hier ! Chaque page étant munie d’un en-tête affichant le jour, la date, le mois et l’année, il n’eut aucun mal à retrouver le 2 juillet ’99. La page était bien à sa place, son père n’avait pas mis l’évènement aux oubliettes.


Le 2 juillet 1999 11 :48 A.M

J’ai été obligé, j’ai été forcé. Quand j’ai vu que ma femme tenait ce papier, j’ai su que je n’avais déjà plus de choix. Ma femme déteste les menteurs et les magouilleurs, donc en apprenant que son propre mari, l’homme de sa vie, en était un lui aussi, elle deviendrait folle.
Et ce fut le cas, à peine rentré dans la cuisine que je fus accueilli d’une baffe si puissante que j’en ai encore la marque maintenant, à cette heure. Elle hurlait, folle de rage face à l’accord qu’elle avait lu.
Ca faisait environ deux ans que j’avais entreprît mon commerce d’arme illégal avec l’Afrique du Sud et je n’aurais jamais pensé que quelqu’un l’aurait découvert. Madame Cross m’insultait de tous les noms : de menteur, de lâche premièrement, puis de salopard, d’égoïste ; sans oublier le chien galeux à mi-discours. Je tentais de lui expliquer mais elle ne voulait rien entendre … j’entendais le petit quitter la maison.
-Voila tu es contente ! Le petit est parti ! hurlais-je
-C’est de ta faute ! Tu n’es pas un père, mais un monstre !

Je pris cette remarque comme une profonde insulte et pour éviter de complètement dériver dans ma colère, je sortis prendre l’air frais du soir et peut-être y trouver mon fils. Notre jardinier, ou plutôt devrais-je dire un de mes hommes de main s’approcha de moi et se mit à parler.

-David ! Si elle a découvert l’accord tu dois l’éliminer ! Un quelconque témoin dans cette affaire pourrait être fatal !

Je le regardais avec dégouts, cet homme me demandait d’abattre ma femme comme une vulgaire bête de foire !

-Tu es malade ??! C’est ma femme ! Tu te crois capable de tuer ta moitié peut-être ? Hein ??!!
-Oui j’en suis capable, pour mon argent j’en suis capable ! Pour moi c’est l’argent puis les femmes ! Parce qu’avec l’argent on a des femmes David !
-Tu me répugnes …

Il entreprit de s’éloigner et à choisir entre sa femme hurlante et cet enfoiré qui lui servait de jardinier, il préférait affronter la haine et la colère de sa douce et tendre femme (quand elle n’est pas énervée.. elle est douce et tendre) ; mais le jardinier prit la parole avant qu’il ne tourne les talons.

-Si tu ne la tue pas, je le ferai moi !

Je savais malgré moi qu’elle devait mourir… même si je la regretterais, je prierais tous les soirs pour elle, pour qu’elle trouve son chemin dans l’au-delà.

-Non ! Si quelqu’un doit la tuer, c’est moi et uniquement moi ! Et pas un enfoiré comme toi.

Le jardinier éclata de rire et me tendit un fusil à pompe, le dernier modèle que la firme s’était procuré.

-J’ai rien de plus silencieux mon cher David ! dit-il en riant.

Je tournais le dos à ce monstre et je marchais sans réfléchir vers la maison … Je préfère passer les détails de la mort de ma bien-aimée…. C’est déjà assez douloureux pour moi. Après avoir assassiné ma femme, je vis mon fils dans le couloir, l’infortuné avait vu la scène ! Il avait vu sa mère se faire tuer ! Et par son père ! Sans réfléchir je l’assommais, il ne fallait pas qu’il observe cette scène plus longtemps !

Je ne voulais pas décimer le seul descendant de ma famille, le seul trésor qui me restait de ma femme… alors j’ai décidé de l’envoyer en Afrique … même si je sais qu’il y sera mal traité …. Je préfère être lâche et ne pas faire ce sale boulot de mes propres mains. Ma femme avait raison, je suis un lâche, mais néanmoins j’ai laissé une chance infime à mon Devan.
Quand au meurtre de ma femme, j’essaierais de le camoufler au mieux, je ne veux pas faire de la prison pour ça, ce n’est pas pour rien que nous avons dans notre entreprise ce que nous appelons des « pions », les pions sont des hommes qui sont chargés de camoufler le meurtre d’un supérieur ou d’un collaborateur, en allant jusqu'à peiner à sa place. Toute l’entreprise sait que le salaire des pions est extrêmement élevé et c’est probablement la seule motivation qui fait qu’il y en a autant de disponibles.
La journée a été dure, je vais arrêter cette page ici et prendre une bonne nuit de sommeil.


David


Devan arracha la page et la mit dans son sac. Il avait maintenant la réponse à toutes ses questions et à tout le mystère qui voilait le meurtre originel de ce 2 juillet… Son père n’était pas obligé, il pouvait abandonner la firme ! Mais ce lâche a choisi son argent à la place de sa femme, ce qui faisait de lui un meurtrier et un enfoiré, au même titre que son jardinier. « La police mettra pas mal de temps à découvrir le meurtre, les deux personnes assassinées étant eux même des criminels, leurs amis ne seront pas enclins à prévenir les autorités rapidement…. Cela permettrait à Devan de décamper, et être loin lors de la constatation …





Le meurtre fut constaté une dizaine de jours plus tard, mais Devan était déjà loin. Il errait à présent sans but et vivait de l’argent qu’il avait pris au manoir et celle de ses guerres. Il s’était offert un petit studio modeste en Californie, à Los Angeles plus précisément. Le studio donnait une vue splendide de la cité lumineuse et ses merveilles, chaque soir Devan contemplait ce spectacle et chaque matin il travaillait au noir dans une épicerie. Il avait enterré l’arme du crime dans une place déserte près du studio et n’y touchait plus depuis longtemps. Néanmoins, au fur et à mesure des années, il prit conscience de son acte, son meurtre… et décida de se dénoncer.
La cour, après son témoignage et donc après avoir appris la vérité sur son père par la même occasion, décida de le donner à l’institut Teenagers plutôt qu’à la prison locale. Pour Devan, la vengeance était devenue une chose inutile et elle ne soigne qu’à court terme… la blessure au fond reste malgré la vengeance, ainsi la seule manière de se redresser est peut-être de faire le contraire de ce qu’on a subi comme … une sorte de …. rédemption ?



► Joueur/Joueuse

• Mot de Passe pour la Validation :
• Comment avez vous découvert le forum : Quelqu’un qui compte beaucoup pour moi (qui se reconnaitra héhé =P)
• Commentaire : Je débute quasi totalement dans le RP, ma seule expérience de role play s’étant fait dans un jeu video avec un ami. Je souhaite donc le max de commentaire !! Pour me perfectionner (même si je sais que même en le précisant pas, vous ne devez pas hésiter à vous lacher^^, je tiens à le dire).

Merci, j'apprécie le compliment =P. Même si je trouve moi-même que mon style d'écriture est légèrement répétitif ^^

Hum. O.O Eh ben. C'est assez space comme histoire. Ton personnage a fait des choses qui lui vaudrait de la taule mais comme les autorités sont pas au courant du plus gros ça passe. Néanmoins y'a quelques détails qui me semblent un peu anodins :

- Pourquoi ton père est-il en liberté? Y'a personne qui s'est inquiété de ta disparition et celle de ta mère?
- Pourquoi ton père t'as envoyé dans un trou perdu au lieu de te tuer, tout simplement? Et pourquoi en Afrique, pourquoi pas ailleurs, comment?
- Le code de validation est pas le bon
- Il manque des lignes à certains endroits, comme le poids ou les yeux. Je t'invite à relire le modèle de la fiche et vérifier que tu en as fais assez partout.
- Et pour finir, il faut que tu mettes un avatar.

Voilà je crois avoir tout dis. Bienvenue dans le monde impitoyable du RP, et bonne chance pour les corrections

Très bien merci, je vais peaufiner tout ça et ajouter des détails dans l'histoire afin d'éclaircir certains points qui, c'est vrai, sont élémentaires quand même.

Par contre, je sais pas pour quoi vous allez me prendre mais je capte pas ce système de code de validation >< (*sors*)

Lis bien le règlement. Il est marqué dedans

__Welcome here, li'l dude~
__Amuse toi bien parmi nous et bonne continuation ( À moins qu'elle soit déjà finit °°; )

Bienvenu parmi nous .

Voila j'ai modifié l'histoire pour éclaircir certaines zones d'ombres (les parties vertes et oranges ont été rajoutés pour cela ).
J'ai ajouté quelques détails sur la fiche... ^^

Bon je vais relire tout ça le code est bon (y) mais t'as toujours pas d'avatar.

Ah, pour l'avatar, n'oublie pas de l'uploader sur un autre site et non directement sur le forum, afin qu'elle ne soit pas redimensionnée

Bienvenue parmi nous =p

Ben voilà, l'histoire est bien plus cohérente comme ça
Par contre il te manque toujours des phrases (et non pas des lignes) dans certaines catégories. Par exemple pour les qualités il t'en faut 5. Tu n'en as que 4 (et c'est pas la seule )

Ok ok =) . Aucun problème je vais régler tout ça

Edit: Voila j'ai rajouté quelques lignes de qualités, défauts, ainsi que gouts vestimentaires

Yes Bientôt finie ta fiche =)

Il en manque encore xDD bon je vais te dire où exactement, on on va jamais y arriver ><

- 1 phrase dans les défauts
- 3 dans les centres d'intérêts
- 1 dans les gouts culinaires

Allez t'y es preeeeeesqueuh /o/

Ok merci beaucoup, défauts j'avais mal compté, j'avais cru cinq déja et les autres j'avais pas vraiment vérifié... (trop pressé m'voyez^^)

Voila, j'ai modifié, j'espère que je n'ai rien oublié ^^

Ouf ben voilà ^^ c'est bon cette fois, j'arrête de te torturer



Bon jeu à toi

Merci beaucoup ^^. Et bon jeu à toi aussi

Merci bien

Petite question d'ordre pratique. On peut poster un sujet de Rp sans demander avant?

Bien sûr mais si tu veux être certain qu'on te réponde, je te conseille de au moins créer un sujet dans les demandes de RP (secrétariat), ou de demander à quelqu'un. À toi de voir

Je te remercie encore . Maintenant j'ai tout ce qu'il faut comme infos

Je t'en prie, j'suis là pour ça. Si tu as d'autres question, n'hésites pas